Les amitiés sulfureuses de Philippe Couillard
1 juin 2017
Le récent épisode de la relation amicale qui implique Philippe Couillard et Marc-Yvan Côté me rappelle la parabole du bon Samaritain, dans l’Évangile selon Luc, dans laquelle la leçon à tirer est la compassion envers le prochain.
En paroles d’aujourd’hui, selon la version du premier ministre, « Je ne mets pas les gens à la poubelle, je ne les renie pas, je leur donne un droit de parole et je veux les écouter… » Or, il appert que les « gens » dont parle M. Couillard, notamment les Arthur Porter, Hans Black, William Bartlett et Marc-Yvan Côté, trainent avec eux un passé peu reluisant.
Philippe Couillard peut bien évoquer que ces relations se sont passées au moment où il n’était pas en politique active, la « compassion » dont il a fait preuve envers ses amis relève davantage d’un « manque de jugement » patent, particulièrement pour quelqu’un qui envisageait se lancer en politique.
De toute évidence, notre « bon Samaritain » manifeste une prédilection hors du commun pour les « âmes égarées »…