OUI, Lucien Bouchard est toujours SOUVERAINISTE
17 février 2010
Avec des amis comme les Bouchard qui régalent les fédéralistes à la Trudeau et à la Charest, les souverainistes n'ont plus besoin d'autres ennemis.
Idée pour les Péquistes et les Adéquistes en conseil et en congrès en fin de semaine
17 février 2010
Avec des amis comme les Bouchard qui régalent les fédéralistes à la Trudeau et à la Charest, les souverainistes n'ont plus besoin d'autres ennemis.
16 février 2010
À M. Jean-François-le-Québécois, un fédéraliste mou me semble être comme un souverainiste mou mais...à l'envers de l’option constitutionnelle. Même chose pour les durs des 2 côtés sans compter les durs à l'extérieur mais mous à l'intérieur ou vice versa. Un fédéraliste mou est un souverainiste en devenir qui s'ignore encore.
Pour ce qui est de cette crise de Vancouver, "affront au Québec et au bilinguisme officiel", le mouvement souverainiste québécois va probablement la conserver, avec d'autres, comme argument futur, contre la bise fédéraliste. "Bise ici, dans le sens du vent du nord froid et sec de «la cigale et la fourmi» et pas la bise du genre bisou".
16 février 2010
La première médaille d'or canadienne en sol canadien a été gagnée par un Québécois francophone, ça doit certainement faire un petit quelque chose de déplaisant à certains red necks racistes.
16 février 2010
Je comprends, M. Parent que : "Ottawa est «déçu» et qu'il n’exigera pas plus de français pour la clôture" parce que nos anglos du ROC croient que nous voulons leur entrer la langue française de force dans la gorge, ce qui étoufferait bien bleu.
Si le gouvernement fédéral Harper demandait et obtenait plus de français aux JO, il se ferait battre dans le ROC, à la prochaine élection, par la majorité anglaise qui se croit faussement obligée d'apprendre le français.
Nos Canadiens anglos ne vont pas dépomper tant que nous ne leur prouverons pas que : Savoir la langue française n'est pas une pénitence pour être un bon Canadien mais une preuve d'intelligence, de portes ouvertes sur le monde et de grande culture.
15 février 2010
M. Jean-François-le-Québécois, je comprends souvent ici, que pour plusieurs souverainistes, « militer pour LA cause » c’est de taper sur le PQ. et, principalement, sur son chef.
Militer, selon nos dictionnaires, veut dire : Participer à la vie d’un parti et se charger d’en défendre les idées. Excellente idée entre 2 votes.
Quand un militant pense perdre son temps à militer, parce que sa foi au parti est ébranlée, il est mieux de s’en exempter et de changer d’objectif ou de parti s’il croit en avoir trouvé un meilleur mais il risque alors le pire.
Les Québécois(es) qui ne militent pas devraient, au moins, voter et non pas s'abstenir en grand nombre, comme la dernière élection provinciale de 2008, ce qui a fait passer M. Charest et SON très provincial PLQ.
Tenter correctement de convaincre un cousin ou un voisin fédéralistes des avantages de la souveraineté milite en faveur du militant souverainiste.
15 février 2010
Bien oui, M. Tellier, est-ce que les Acadiens ont été reconnus comme nation comme les Québécois dans le Canada ?
Pas bête l’idée de tribu. À la place des plumes, nous avons nos ceintures fléchées, nos bottes à raquettes, nos tuques et tout ce qui peut compléter nos habits de patriotes canayens "On est Canayen ou ben on l'est pas".» comme chanson identitaire avec le swing la baquaise dans la boite à bois ! Et notre chasse-galerie pour faire une bonne tribu à présenter aux touristes du monde entier, principalement, à l’ouverture des prochains olympiques canadiennes.
15 février 2010
Si nous voulons que votre rêve devienne réalité, vaudra mieux voter aux élections et au prochain référendum…simple.
En attendant, brandissons notre drapeau québécois sur nos balcons. Nous plus sommes bilingues au Québec, un plus de plus que beaucoup de Canadiens du ROC qui ont peur, depuis la loi 101, que nous leur poussions, de force, notre belle langue française, dans la gorge.
Une personne qui possède 2, 3, 4 ou même 5 langues est supérieure à une autre qui est unilingue et peut mieux gagner et jouir de la vie à cause de son ouverture d’esprit. Tant pis pour eux.
14 février 2010
D’accord avec Mme Poulin qu’il faut bien déranger le statut quo mais nous ne le changerons pas en donnant des coups d’épée dans l’eau à la place de d'agir où et quand il le faut.
13 février 2010
Totalement pas d’accord avec m. St-Gelais et d’accord avec M. Pomerleau. Affaiblir le groupe Péladeau ne pourrait que renforcir le groupe Desmarais, full-fédéraliste et anglophile par excellence. Contre les nationalistes québécois.
11 février 2010
Non M. Lapointe, M. Trudeau n'était pas nationaliste. Il haïssait férocement, jusqu'à sa mort, tout ce qui était nationaliste.
Je ne crois qu'il faut le remercier pour ses actions passées à moins d'être fédéraliste.
Mme Ferretti a bien raison de dire que c’est au peuple du Québec de décider majoritairement. Tant que les fédéralistes vont être majoritaires ici, en nombre et en fortune, la constitution de 1982 va s'appliquer au Québec comme si nous l'avions signée.
10 février 2010
Bien oui, Mme Poulin, ce site fédéraliste aborde, pour les enfants, le mot "trahison" dans un site Internet sur notre « Confédération » qui se rapporterait aux citoyens d’un pays qui tenteraient de créer leur propre gouvernement et de se débarrasser du gouvernement en place, ce qui me semble en dire long sur leur éventuelle motivation.
10 février 2010
Mme Simard a raison de souligner le nom de M. Riel, injustement pendu par le pouvoir canadien. La majorité des Canadiens le considèrent maintenant comme un héros qui s'est levé pour les droits des siens face à la politique du gouvernement.
Il est à noter que dans les années 1960, le Front de libération du Québec est allé jusqu'à baptiser l'une de ses cellules terroristes du nom de Louis Riel.
Une statue de Louis Riel est érigée sur la colline du Parlement d'Ottawa, et deux autres peuvent être vues à Winnipeg.
Personne ne suit Gilles Bousquet. Soyez le premier!