Info-Québec: un droit à l'information
24 février 2014
M. Gignac,
Vous pourriez nous fournir les paramètres de cet article de La Presse?
La lettre des 12 jeunes à Parizeau
Psychodrame au PQ
Vers une plus grande démocratie
24 février 2014
M. Gignac,
Vous pourriez nous fournir les paramètres de cet article de La Presse?
23 février 2014
Après des années j'ai, comme bien d'autres, mis fin à mon abonnement au devoir.
Voici le mot que j'ai alors adressé à ce journal:
Je suis un abonné du Devoir.
Vous faites un prélèvement mensuel automatique,
Je vous prie de cesser ce prélèvement une fois la période mensuelle en cours terminée.
Depuis des années, j'étais un abonné de votre journal électronique. De plus, tous les samedis, chez Métro, je me procurais l'édition de la fin de semaine.
C'est fini.
Le Devoir, pour plaire aux Desmarais et Sirois de ce monde, n'est plus que l'ombre de lui-même.
23 février 2014
Info-Québec (suite)
L’État du Québec a l’obligation de fournir cette information complète à tous ses citoyens.
Nous avons déjà Télé-Québec qui esr là et dont les coûts sont défrayés par la population québécoise. Télé-Québec fait de très belles et de très bonnes choses. Excepté nous donner une véritable information citoyenne. Parce que le CRTC ne nous le permet pas.
Notre droit à l’information est brimé parce que le gouvernement fédéral nous refuse cette information essentielle pour une véritable démocratie.
Le temps est maintenant venu d’agir. Le Parti Québécois, s’il est sérieux dans sa quête d’indépendance, doit immédiatement donner le mandat à Télé-Québec de nous mieux renseigner.
C’est notre droit à l’information qui est en cause.
François Ricard
23 février 2014
Texte original
Info-Québec
"Je me suis souvent demandé ce que signifiait exactement l’expression liberté de presse . Est-ce celle des journalistes, des propriétaires ou des rédacteurs en chef? De toute évidence, la liberté de la presse signifie en définitive la liberté du propriétaire qui peut en user pour de tout autre objectif que le bien public." Voilà ce qu'écrivait Nehru.
La liberté de la presse n’est plus la liberté d’un individu désireux de propager ses idées, c’est la liberté de l’appareil thermodynamique maintenant possédé par des groupes d’intérêts financiers mais ce n’est pas celle du contenu, la liberté de l’information.
La liberté de presse, c’est, et c’est uniquement, la liberté de publier ou non ce qu’on veut, quand on veut, où on veut et de la manière que l’on veut, pourvu que cela rapporte économiquement ou politiquement.
Il n'y a plus de véritables journalistes.
La section éditoriale de tous nos médias est ouvertement et foncièrement fédéraliste et , oligarchie oblige, favorise la droite politique.
Les journalistes, consciemment et inconsciemment, tiennent compte de cette orientation biaisée de nos médias. S'ils ne le faisaient pas, non seulement ils limiteraient leurs chances de promotion, mais ils pourraient encourir le licenciement.
Nos médias sont des organes de propagande d'une droite fédéraliste qui est au service d'une oligarchie qui se veut de plus en plus forte.
Ce sont tous des scribes à la solde d'un propriétaire dont ils doivent satisfaire entièrement les désirs et les objectifs.
Alors la nouvelle est toujours tripotée en fonction des besoins du propriétaire. Surtout si la nouvelle a des incidences politiques et\ou économiques.
Un droit est une habileté, une faculté, un privilège appartenant à chaque personne du seul fait qu’il est une personne et à chaque société du fait qu'elle réunit le destin d'un groupe de personnes.
Pour qu'une démocratie fonctionne, il est essentiel que tous ses membres disposent de toute l'information nécessaire pour prendre les meilleures décisions. En démocratie, le droit à l'information est un droit fondamental de la personne et de la collectivité de savoir ce qui se passe et d'apprendre ce que l'on a intérêt à apprendre pour agir en citoyen responsable.
Si la personne et la société ont le droit de savoir, les personnes et les organismes chargés de l'informer ont le devoir de fournir une information pleine, entière et impartiale. Ce qui est loin d’être le cas. L’État, pour bien renseigner la personne et la collectivité, a donc le devoir de remédier à ce manque probant d’information citoyenne.
(suite dans un autre commentaire)
23 février 2014
Mon article original a des paragraphes.
Ils ont disparus dans la mise en page de Vigile.
21 février 2014
Je suis pour une assemblée constituante. Mais pareille assemblée ne sera jamais mise sur pied que par un parti majoritaire au pouvoir.
Possiblement, si nous faisons pression, obtiendrons-nous du PQ de proposer pareille démarche.
C'est la seule voie possible.
4 février 2014
M. Parizeau a déjà suggéré que le Vérificateur général du Québec soit mandaté de faire la lumière sur ces pertes de la Caisse.
Pourquoi ne le fait-on pas?
2 février 2014
"...on ne réalise pas que seule une immigration plus forte et bien intégrée peut permettre à notre économie et à notre culture de continuer de croître d’une façon générale..."
Voilà où le bât blesse: une immigration bien intégrée. Le nombre d'immigrants que nous admettons annuellement est de beaucoup supérieur à notre capacité d'intégration. C'est l'évidence même.
Aussi il ne faut pas prendre l'immigration comme une panacée à tous les problèmes.
Nos régions se vident. On y trouve beaucoup de chômeurs. Ça va donner quoi d'y envoyer des immigrants?
Nos médecins nous quittent. Leur formation nous coûte cher. L'immigration ne résoudra en rien ce problème.
Le Québec est trop petit pour être souverain. Alors faudrait-il enlever la souveraineté à des pays comme la Suisse, la Bulgarie, la Slovaquie, l'Autriche, la Finlande, le Danemark et combien d'autres? Tous des pays moins populeux que le Québec.
Nous avons d'excellents démographes. Nous avons d'excellents sociologues. Nous avons d'excellents économistes. Pourquoi ne pas former une équipe de gens spécialisés qui pourrait nous dire de façon plus exacte de quelle immigration nous avons besoin, qui pourrait nous définir clairement les conditions pour une intégration optimale des immigrants.
31 janvier 2014
Le temps est maintenant venu au gouvernement Marois d'agir.
Il siège sur cette commission un commissaire fantôme que nous n'avons jamais vu, que nous ne voyons jamais. Quel rôle joue-t-il? Quelle influence exerce-t-il? Écoute-t-il seulement les débats?
Il faut que le gouvernement remplace ce personnage fantôme par une personne de chair et d'os qui pourra questionner les témoins, entendre tous les témoignages et faire valoir son point dans le rapport final. Il en va de la crédibilité ultime de la commission.
27 janvier 2014
J'ai commenté cet article du Devoir. Voici:
En se dotant d'une charte qui proclame haut et fort l'égalité des hommes et des femmes, la laicité totale de l'État assurant ainsi sa complète neutralité vis-à-vis toutes les religions, le Québec, en pionnier au Canada, pose un geste fort marquant.
Cette loi, à terme, permettra une meilleure intégration des nouveaux arrivants à la nation québécoise plutôt qu'une inclusion immédiate qui mène au communautarisme.
Depuis plus de quatre mois, ce projet de loi démontre le profond fossé qui existe entre notre élite intellectuelle, aussi bien fédéraliste que souverainiste, et la population.
L'IPLI représente la crème de cette élite souverainiste. L'ON, nouvelle mouture, est son pendant politique.
23 janvier 2014
Se donner une constitution républicaine abolirait par le fait même la monarchie.
15 janvier 2014
"Québec inclusif" prétend que l'interdiction de porter des signes religieux ostentatoires par les employés de l'État empêchera certaines femmes de travailler comme fonctionnaires parce qu'obligées d'enlever un voile auquel elles tiennent mordicus. Elles seraient donc "exclues" .
Pourtant ces mêmes femmes s'auto-excluent déjà de certaines fonctions, comme de travailler à la SAQ car il ne leur est pas permis de manipuler des boissons alcooliques. Faudrait-il, pour les "inclure" dans notre société, fermer la SAQ et, par le fait même, tous les débits de boissons?
Ce voile, qu'on veut nous imposer, cache bien plus que des cheveux.