Le renforcement de la fierté identitaire, à la base du désir de l'indépendance
13 octobre 2010
Accepter le statu quo ou vivre dans le déni en disant que tout va bien, en évitant de discuter des problèmes, qu'il soit au sujet de la perception de Pauline Marois dans la population, l'inadaptation du mode de scrutin à la réalité ou encore demeurer dans le paradigme gogauche et droidroite, pour moi, ça revient à accepter le statu quo, mais dans la non-indifférence.
Je préfère un Joseph Facal ou un François Legault, qui font de la politique active, plutôt que ceux qui acceptent le statu quo et le tout pour le tout, même de descendre une côte abrupte sans freins. C'est noble et courageux de descendre la côté sans frein, en se disant que le peuple québécois sera en bas pour vous arrêter, mais il faut vous réveiller: le peuple n'est pas en bas de la côte, si vous ne l'aviez pas remarqué.