Monsieur Labrie...
Saviez-vous que l'immigrante et politicienne, Yolanda James, à qui vos impôts ont payé une éducation anglo-saxonne à Concordia, a aussi changé les politiques d'intégration du MICC du Québec ?...

Depuis avril 2003, le gouvernement libéral du Québec ne fait plus de l'intégration des immigrants à la majorité latine et française du Québec. Plutôt, il fait de l'intégration « nord américaine », des immigrants.

Si vous n'imaginez pas ce que intégration « nord américaine » veut dire, je vous résume le tout en disant... Pour Yolanda James et ses collègues libéraux, vous et vos compatriotes êtes maintenant considéré comme une ethnie, dans votre terre natale, le Québec.

À temps libre, prenez connaissance des déclarations du porte-parole du MICC, Claude Fradette, dans l'article de Robert Dutrisac du 1 mai 2008. Prenez des copies de ces billets, pour vos archives, au besoin. Bonne lecture...

« L'arnaque de l'immigration francophone... »
« Remplacer le français est un atout, dit Yolanda... »

C'est vraiment astucieux.
Nous avons du attendre cinq ans, avant de savoir vraiment ce que l'immigrante anglophone Yolanda James faisait au ministère de l'immigration MICC du Québec.

Encore aujourd'hui, 99 % des souverainistes et indépendantistes, forcément abrutis par la rectitude politique et les médias fédéralistes, ne savent pas du tout à quel point ils sont minorisés et ethnicisés, par les nouvelles politiques libérales de l'immigration.

SP

RCdB

Vers midi, un article concernant la pétition de demande de démission de JJ Charest sur le site de l’assemblée nationale a été publié ici sur Cyberpresse par Paul Journet.

Il a été mis à jour 3-4 fois depuis sa publication pour ajuster le nombre de signataires qui monte à une vitesse vertigineuse.

Dans la dernière mise à jour, le lien vers la pétition sur le site de l’assemblée nationale a (****sans doute par erreur***** j’essaie ici de ne pas m’étouffer) disparu……………

Voici ma question:

QUI A DONNÉ ORDRE DE RETIRER CE LIEN?????? Qui dans la famille libérale? L’ordre viendrait-il directement du grand décoré de la grande croix de la légion d’honneur Française en direct de Sagard?

Poser la question c’est presque y répondre… p-être que la nouvelle marionnette n’est pas encore prête pour prendre la relève?

Cette pétition pourrait même avoir un effet contraire à celui souhaité.

Pourquoi?

Cette pétition sera en ligne jusqu'en février 2011. Aujourd'hui et durant quelques jours, il y aura peut-être 20 000?!? personnes qui vont la signer. Mais après, quoi?

J'encourage les gens à la signer, mais il faudra aussi "Une affiche, une signature".

Si 20 000 personnes allaient afficher dans leurs villes respectives, ça ferait 20 000 affiches, avec sur chacune d'elles l'adresse www.ecoeurement.com

Pourquoi Gesca fait de la promotion en grande pompe pour cette pétition?

Moi j'ai la réponse.

Pourquoi Gesca ne fait pas exactement la même chose avec www.ecoeurement.com ?

Je crois aussi avoir la réponse. C'est parce que Gesca sait que cette pétition pourrait donner du répit à Jean Charest, pour lui laisser du temps pour placer ses pions. Les gens, plutôt que de sortir dans la rue, vont se satisfaire en signant la pétition.

Enfin, signez, mais pour chaque signature, il faudrait aussi sortir dans la rue et afficher.

La fédération actuelle n’est pas acceptable et la simple séparation n’attire pas assez de Québécois, faut juste trouver la solution plus rassembleuse, entre les deux.

Dans le cadre Auteurs de Vigile.net, vous trouvez mes texte sous Ouhgo, qui se définit comme fier fils de bûcheron. J'ai donc hérité aussi d'un vocabulaire tant authentique que antique. Je déplore aussi qu'on nous en ait fait sentir honteux au point que nous hésitons aujourd'hui à l'employer, ce qui rend notre élocution hésitante. Nous avons ainsi procréé une génération qui a inventé un langage décadent. Plusieurs envient la langue anglaise, qui peut se parler en quelques dizaines de mots parce qu'on leur a dit que l'accord des participes passés en français, c'était pas nécessaire, c'était un tas d'exceptions. Alors, quand vous dites: "Peu de peuples, qui ont dû ne compter que sur eux-mêmes pour reconstruire leurs structures, ont pu comme les Québécois conserver autant de leur originalité." Alors je me questionne: "Quelle originalité avons-nous réellement conservée?" Raté la rigueur, raté le sens critique, raté la fierté de notre différence. Je peux admirer votre optimisme, qui pourrait se teinter d'une certaine naïveté, quand on connaît les sondages d'opinions actuels. C'est cet optimisme basé sur le courage des ancêtres que je comparais aux flatteurs textes de Marie-Hélène, qui tente parfois de nous réconforter ici, de stimuler notre esprit combatif, du fond de ses collines de Provence. Mon allusion fut très spontanée, et vous devriez la prendre pour un compliment envers un Québécois authentique.

Bon débarras

Brett Gundlock/National Post

Norway Progress Party leader Siv Jensen.

13, 2010 – 6:00 am

Siv Jensen, the 41-year-old leader of Norway’s Progress Party, is something of a curiosity in socialist-inclined Scandinavia.

Her parliamentary office in Oslo sports a bust of former U.S. president Ronald Reagan and a small Israeli flag. She brags that her chief political hero is former British prime minister Margaret Thatcher.

“I think she is one of the toughest politicians ever,” Ms. Jensen said, who has been dubbed a “Norwegian Thatcher,” told the National Post this week, as she toured Toronto after attending an international conference in Ottawa on anti-Semitism.

“She handled some serious reform work in Britain. She may not have been popular at the time, but her reforms still stand.”

A breakthrough politician in her own right, who came within a whisker of seizing power in Norway’s September 2009 elections, Ms. Jensen appears poised to transform politics in her homeland.

With 41 seats in Norway’s 169-seat parliament, she heads the country’s second-largest party and led the Progress Party to winning its highest percentage of votes ever — 22.9%.

She recently changed her formal party title, from the more male-oriented “foreman” to “leader.” But, more importantly, she intends to overhaul Norway’s cradle-to-the-grave welfare system.

“We are a classical liberal party that is very much in favour of market mechanisms,” she said.

“I think those values are applauded by a substantial number of people. They are sick and tired of politicians taking more and more of their salaries in taxes and then redistributing them for whatever reason.

“The problem with this is you make people so dependent on donations through budgets that you end up unable to think for yourself. I want these people to be free, to make their own decisions, to take more control of their own lives. That means they have to take more control of their own income as well.”

It is a message that resonates with voters weary of high taxes and declining social services. But it’s also a message that has shattered the old politics of Europe, which used to be split between a conservative Christian democratic right and the social democratic left.

Europe has experienced its biggest shake-up since the collapse of communism with a surge of support for right-wing political parties such as the National Front in France, the Northern League in Italy, Geert Wilders’s Dutch Freedom Party in the Netherlands, the Swiss People’s Party in Switzerland and Hungary’s Jobbik Movement for a Better Hungary.

Last month the far-right Sweden Democrats, a populist, anti-immigration party with neo-Nazi roots, garnered an unexpected 5.7% of the vote in national elections, winning 20 seats in parliament for the first time.

While most new right parties are manifestations of local economic discontent, they share a perceived loss of national identity and an anger over immigrants and outsiders who threaten established cultures.

Ms. Jensen has earned a reputation for taking a hard-nosed stance on immigration. She has demanded immediate curbs to limit immigration to no more than 1,000 people a year and advocates tough new measures to force new immigrants to integrate more fully into Norwegian society.

It should be easy to revoke the citizenship of immigrants who defy Norwegian laws, she said.

“We need to be better at integrating the immigrant population,” she insisted. “I want Norway to be a free country — where everybody has the right to free speech, to experience democracy and is not afraid, where women have the same rights as a man.”

Norway, a small country of about 4.6 million people, is reeling under immigration from Muslim countries such as Pakistan, Iraq, Bosnia, Somalia and Turkey.

Foreign-born immigrants now account for about 10% of its population.

“In Oslo, the capital, now, almost 25% of the population is foreign-born. And in many schools you will find 95% non-ethnics and, of course, that creates disturbances, problems and debates. Of course, we have problems with integration,” said Ms. Jensen.

“There are demands for not wanting to adapt to the mainstream society. They don’t want to stick to Norwegian law. Some argue that they want to implement shariah laws. In schools children are prevented by their parents from participating in gymnastics or swimming because there are other children there.

“We have forced circumcision going on, forced marriages. We have equality in Norway, but for many young women from certain countries, they don’t experience it. We would like them to.”

In last year’s election, Ms. Jensen received a groundswell of support when she objected to government attempts to accommodate Muslim religious sensitivities and traditions by permitting female police to wear the hijab.

She angrily warned Norway was facing “sneak-Islamization” and accused the other political parties of being cowardly and ignoring the problem.

She has branded radical Islam, a “dark and scary ideology” and declared its defeat “the most important fight of our time.”
“We are not going to allow special demands from any single group in society,” Ms. Jensen promised voters.

“We will enforce Norwegian law and Norwegian rules.”

The Progress Party’s fortunes have soared along with its tough anti-immigrant rhetoric.

In the 2005 election, the party’s television ads showed a long-haired youth in a hooded sweat suit, pointing a gun at viewers.

A caption beneath the picture read simply, “The perpetrator is of foreign origin!!”

At the time, Statistics Norway had compared crime rates and ethnicity and concluded non-western immigrants committed twice as many crimes as native Norwegians.

But Ms. Jensen insists you can’t “win election in Norway on this issue [immigration] alone.” Health care, infrastructure spending and schooling are the main issues people really worry about she said.

Still, strong forceful leadership is important and she has developed a Thatcher-like reputation for firmness in the 13 years she has been in the Norwegian parliament.

She wasted no time castigating the current Norwegian government for being the first in the world to officially recognize Hamas’s hold on Gaza, saying, “You don’t negotiate with terrorists.”

Two years ago, her party was the only one in Norway to publicly support Israel during its invasion of Gaza in December 2008. In interviews she has recalled being in Sderot in Israel when it was bombed.

The Progress Party also advocates abolishing development aid to the third world, saying most of the money is spent on “arms and luxury goods” for corrupt elites.

Tax relief tops the party agenda. It wants lower income taxes, lower alcohol taxes, lower taxes on cars and more money for pensioners, police and care for the elderly.

It also favours more oil exploration in the Arctic, to offset dwindling oil and gas reserves in the North Sea, and it questions the need for measures to combat climate change, dismissing predictions of global warming as unreliable.

Party members, who oppose capital punishment, also support proposals to make euthanasia legal in Norway, saying the terminally ill should be allowed to end their lives under controlled circumstances involving at least two doctors.

“The hallmark of a free society is individual liberty,” said Ms. Jensen. “Individual liberty is a fundamental requirement for human progress and prosperity.”

S'il est déçu, pourquoi est-ce qu'il ne consent pas simplement à créer cette commission ? Parce qu'il a simplement peur de ses conclusions.

À qui profitera le crime ? Qui contrôle, qui est derrière ces entreprises ?

Il y a quelques mois , nous n'aurions jamais pu penser que la mafia s'était infiltrée dans tous les domaines de l'activité économique du Québec. Quant à moi, aujourd'hui, la preuve en est faite.