Les autres langues sur la pente glissante
26 mars 2011
M. O, faudrait bien que notre réseau scolaire francophone devienne attirant par lui-même, ce qui serait bien mieux que d’obliger les Québécois à l’adopter. Comment faire ? Commencer par exiger le français, langue de travail aux petites entreprises comme c’est le cas pour celles de 50 employés et plus en plus d’améliorer l’enseignement du français et de l’anglais à partir de la maternelle.
L’enseignement de l’anglais pourrait être libre. Les élèves de parents qui ont peur de faire angliciser leurs enfants, auraient le choix de remplacer l’heure de l’anglais pas du bricolage, peut-être un peu de macramé ou du tricot ou des jeux de ballons.
Si les profs manquent de temps pour améliorer l’apprentissage des langues, qu’ils allongent leur semaine de 2 heures ou coupent sur les journées de relâche, pédagogiques, congés de plein air, de maladies etc.
Ce n’est pas l’apprentissage de l’anglais jeune qui anglicise, autrement, le plus anglicisés aurait été M. René Lévesque qui a appris l’anglais très jeune avec ses voisins anglophones à New Carlisle. M. Parizeau est devenu économiste en Angleterre, ce qui ne l’a nullement anglicisé, vous en conviendrez.