L'Indépendance
30 août 2011
« Vaut mieux en être le curé que le fossoyeur... »
Le problème monsieur Jeannot Duchesne, c'est que présentement, le curé est aussi le fossoyeur de par son discours et le rictus de prêcheur qui tord son visage.
La vie bouge monsieur Jeannot ; moi, « je demande à manger aux espoirs de toutes sortes... » Et les curés, mis à part le ciel et l'enfer... côté espoir, c'est du toc.
Comme dit si bien le poète Desjardins (je cite de mémoire) : Les églises ou les mosquées, les seules lumières qu'elles dégagent, c'est lorsqu'elles passent au feu !
Je redis que ce qui se passe maintenant ressemble drôlement aux années '60, c'est un changement complet de couleurs, et d'époque. Et je ne crois pas me tromper, y'a qu'à regarder dehors.
Et si vous avec des petits-fils ou filles, prenez le temps de les écouter, de les entendre, et de les regarder vivre.
C'est très... coloré.
André Vincent