http://horsdutemps.info/2013/divers/bouchard-T.jpg

...

Jugez par vous-mêmes:

Terrorisme 2.0
Radicaux libres
On lance des roches. On pète des vitrines. On enfume le métro. On dépose des bombes incendiaires sur le balcon d'une ministre. On demande à l'Assemblée nationale de saluer la mémoire d'un kidnappeur, d'un poseur de bombe et d'un meurtrier.
Ect...

Je n'ai pas accès sur Internet à l'article en question mais c'est dans le JdQ de Mardi, 16 avril 2013.

Ce n'est pas un mythe, c'est la réalité."Par la flamboyance de son discours", oui....mais, aussi, par l'effet "Jack Layton"(il attirait la sympathie suite à sa maladie et la perte de sa jambe)...et aussi par la forte présence des députés du Bloc.

Dans beaucoup de comtés, nous avions des députés bloquistes et leur organisation avec nous. Aujourd'hui on aurait Mulcair et les ndpistes contre nous.

Mais vous avez raison de rappeler les adéquistes de Allaire, Dumont, Marie Grégoire et autres.

Le choix de certains souverainistes de se présenter pour le NPD est du fait que le NPD est présentement plus à gauche que le PQ et le Bloc. La réforme à la Harper de Maltais prouve amplement que le PQ et le Bloc Québécois ne défend pas les intérêts des québécois. La droite au sens large à travers ses politiques économique ne défendent pas les intérêts des québécois d'où le choix du NPD pour certains, car oui globalement si on tient compte de l'ensemble du programme, le NPD défend plus les intérêts des québécois que le PQ. Ensuite, le Bloc Québécois étant qu'un parti à la remorque du PQ, il ne vaut guère mieux que le PQ.

Le NPD devient alors un choix logique pour eux, car le Bloc Québécois est trop à droite. L'idéal pour eux aurait été de fonder un autre parti sur la scène fédérale qui serait plus à l'image de QS tout en permettant aux élus d'afficher leur appartenance à la souveraineté, car je m'attend éventuellement à un schisme au sein du NPD qui irait dans ce sens à plus ou moins long terme surtout depuis que Mulcair est chef de ce parti. Ensuite, vous devez prendre conscience que le NPD est en train de devenir le seul parti des francophones hors-Québec, car la vague orange n'a pas frappé que le Québec, mais toute la francophonie hors Québec, ce qui a d'ailleurs permis au PC de rentrer au nouveau Brunswick, car la vague orange a largement affaibli le PLQ par le vote francophone. Stratégiquement, il est de loin préférable que les Québécois s'unisse avec les franco hors-Québec sur la scène fédérale que de rester seul dans leur coin avec le Bloc Québécois.

D'ailleurs, j'envisage très bien l'émergence d'un nouveau bloc francophone sur la scène fédérale plus à gauche que le Bloc Québécois et plus à l'image de QS.

Pour ce qui est de M. Frappier, il a déjà déclaré à la Presse qu’une des conditions qui l’a poussé à se présenter pour le NPD, c’est qu’il avait une entente avec Jack Layton qui lui permettait d'être identifié comme étant un souverainiste. Il n’a jamais caché son allégeance à la souveraineté et cela même lorsqu’il était candidat au NPD.

Ensuite, voulez-vous qu’on énumère tous les députés du bloc québécois qui se sont déjà présenté sous la bannière du PC ou du PLC qui soit dit en passant sont tous des partis de droite.

Bravo M. Fortin.

Je vous remercie pour votre article à propos du petit vaniteux nommé Lucien Bouchard. En effet, ce vaniteux a bien démontré toute sa petitesse dans l'affaire Michaud.

Monsieur Jean Brilland écrit ce qui suit à propos Bouchard, le lucide auto-proclamé: « Au final, il ne sera jamais parvenu à se libérer de sa cupidité et de sa fierté.» C'est très bien dit, mais permettez-moi une variante par souci de précision: Au final, le malheureux ne sera jamais parvenu à se libérer de sa cupidité et surtout de sa vanité infantile.

On ne pourra jamais vous empêcher de penser ce que vous voulez, mais la latitude vous aurait quand même suggérer de venir à la contradiction avec un minimum de preuves pour appuyer vos allégations au risque de brasser désespérément du vent surtout quand on vient sur une tribune aussi démocratique comme VIGILE.

Merci néanmoins de concéder à Monsieur GBAGBO « du respect pour son parcours du combattant qui a lutté pour instaurer le multipartisme en Côte d’Ivoire.»

Ce qui suffira aux lecteurs de comprendre que celui qu’on veut accuser de tous les péchés d’ISRAEL n’était pas aussi dénué de vertus.

Vous prétendez avoir vécu physiquement cette crise pour arriver à conclure que les agissements de Monsieur GBAGBO à cette période sombre de la COTE DIVOIRE étaient inacceptables. Si c’est le cas, votre regard semblait avoir été couvert d’œillère pour tronquer la réalité.

Vous trouverez néanmoins acceptable que OUATTARA depuis son hôtel du GOLF actionne les lobbys pharmaceutiques français pour priver de médicaments des dizaines d’ivoiriens en attente de soins dans des hôpitaux du pays parmi lesquels bons nombres de malades d’insuffisance rénale qui ont péri dans l’attente désespérée de leur traitement médicaux ?

Quelle qualité humaine peut-on attribuer à un individu qui hiérarchise la valeur humaine devant la mort seulement pour diriger son pays ?

Entre l’un qui propose un recomptage des voix et l’autre qui préfère la puissance de feux d’un corps expéditionnaire pour résoudre un contentieux électoral, lequel des deux faut-il vouer au mépris public ?

C’est vraiment lamentable que l’exercice de la raison chez vous, succombe aussi aisément et sans concession à votre parti pris.

http://www.soreltracy.com/liter/opinion/Gouin/2002/mai/12mai.htm

Un hommage dans les mots mêmes de Sylvain. Si je puis dire.

Désolé, j'avais oublié d'insérer le hyperlien en question.

Il abandonne sa femme.

Il abandonne son chum Mulroney.

Il abandonne le Bloc.

Il abandonne le PQ.

Il abandonne sa deuxième femme.

Il abandonne la Cause souverainiste.

Il abandonne les Québécois.

Au final, il ne sera jamais parvenu à se libérer de sa cupidité et de sa fierté. Il terminera son dernier tour de piste, étouffé par la hargne de ne pas avoir été reconnu pour qui il croit être.

Il devient une autre preuve que l'on récolte ce que l'on sème.

« Des opinions, oui ; des convictions, non. Tel est le point de départ de la fierté intellectuelle. »
Emil Michel Cioran

Le PQ n'a jamais été un parti de pouvoir. Même Lévesque a vu de ses ministres s'en aller. Si Parizeau était resté en poste, lui aussi aurait eu des problèmes.

Le PQ a toujours été un parti difficile à gérer en raison des diverses tendances: gauche versus droite, les plus pressés en regard de l'indépendance versus les moins pressés.

D'accord avec vous, que l'indépendance elle n'est ni à droite ni à gauche.

Les péquistes sont très exigeants envers leur leader.

Regardez le PLQ. Avez-vous vu des députés et ministres démissionner, l'an dernier, dans la tourmente? Non. Le PLQ est un parti de pouvoir.

Non seulement le PQ est un drôle de parti, mais notre option est une drôle de patente. Regardez nos divisions et subdivisions, en termes de partis politiques. Nous ne sommes pas capables de nous unifier: c'est une tragédie!