La mystique anti-Trump
29 janvier 2017
Donald Trump : Les 100 premiers jours
Ils ont dit que sa candidature n’était pas sérieuse lorsqu’il l’a annoncée le 16 juin 2016, ils se sont trompés.
•Ils l’ont donné perdant à la primaire présidentielle, ils se sont trompés.
•Ils l’ont donné perdant contre Hillary, ils se sont trompés.
•Ils l’ont dit incapable de former un cabinet, et son gouvernement est composé d’hommes et de femmes remarquables.
•Ils ont dit qu’il ne tiendrait pas ses promesses. Trump a montré le contraire.
•Ils disent que ses promesses sont impossibles à mettre en pratique, et qu’elles n’auront aucun effet, Trump met en pratique ses promesses, et les premiers effets sont déjà là.
Les journalistes penchent tellement à gauche qu’ils se sont coupés du monde, qu’ils ne comprennent plus du tout, et qu’ils n’arrivent pas à s’ajuster à la présidence de Donald Trump.
Maintenant, ils ont décidé de ne pas rapporter honnêtement les décisions et les actions du président, ou de les passer sous silence, alors que les gens veulent savoir ce que l’homme le plus puissant du monde décide et fait.
C’est pour eux que Dreuz a mis sur pied une team 100 jours (Magali Marc depuis le Canada, Annika depuis la Floride, Jean Patrick Grumberg depuis Los Angeles et Tel-Aviv) qui va couvrir les 100 premiers jours de Donald Trump.
Samedi 28 janvier
•Trump, accusé d’isolationniste par les journalistes qui ne suivent pas l’information– un comble- a parlé avec cinq dirigeants étrangers : le Président russe Vladimir Putin, le Premier ministre japonais Shinzo Abe, la chancelière allemande Angela Merkel, le président français François Hollande, et le Premier ministre australien Malcolm Turnbull.
•Trump a signé un ordre exécutif pour restructurer le Conseil de sécurité de la Maison-Blanche.
Vendredi 27 janvier
•Trump, respectant ses promesses de campagne– du jamais vu à Washington– a signé un ordre exécutif pour limiter le flot de réfugiés de pays à risque afin de protéger les Américains de la menace terroriste de jihadistes infiltrés parmi les migrants. Les pays concernés sont l’Irak, la Syrie, l’Iran, le Soudan, la Libye, la Somalie et le Yémen, soit des nids à terroriste. Le programme d’entrée des réfugiés est également totalement gelé pendant 120 jours pour y voir plus clair.
•Signature d’un ordre exécutif pour «reconstruire la puissance de l’armée américaine», une autre promesse de campagne destinée à imposer la paix par la puissance dissuasive– du bon sens à l’état pur, si l’on veut regarder les leçons de l’histoire. Trump a chargé le Secrétaire d’État MAD Dog Mattis de «développer de nouveaux avions, de nouveaux navires, de nouvelles ressources et de nouveaux outils pour les soldats américains».
•Trump rencontre la Première ministre britannique Theresa May et lors de la conférence de presse commune, rappelle les liens privilégiés entre les États-Unis et la Grande-Bretagne, et s’engage à les renforcer.
Jeudi 26 janvier
•Trump averti le président mexicain Enrique Peña Nieto– par ailleurs extrêmement impopulaire dans son pays– que ce n’est pas la peine qu’il vienne le rencontrer s’il ne veut pas payer pour la construction du mur de séparation avec le Mexique.
•Trump se rend à la réunion du Congrès républicain de Philadelphie et s’adresse aux républicains.
Mercredi 25 janvier
•Trump signe un ordre exécutif pour avancer le projet de construction du mur de protection contre l’inondation de drogue, de gangs et d’illégaux traversant par le Mexique. L’ordre exige de toutes les agences et départements concernés de «déployer tous les moyens légaux» pour sécuriser la frontière sud du pays.
•Immigration : Trump décide d’engager 10 000 agents de l’ICE, l’agence anti-immigration illégale dont la tâche est d’arrêter et expulser les illégaux.
•Trump se rend au Département de la Sécurité intérieure.
•Trump donne l’ordre au Secrétaire de la sécurité nationale et l’Avocat général (garde des Sceaux en France), de préparer le retrait des aides financières de l’État fédéral aux villes qui refusent d’appliquer les ordres d’expulsion de criminels étrangers (appelées villes sanctuaires).
Mardi 24 janvier
•Trump autorise la reprise de l’exploitation du pipeline Keystone XL et celui du Dakota, gelés pendant 8 ans par Obama pour faire plaisir à une poignée d’écolos illuminés, afin de diriger le pays vers l’indépendance énergétique par rapport aux pays arabes et le chantage qu’il implique. Il met comme condition que l’acier utilisé soit d’origine américaine chaque fois que possible.
•Signature d’un ordre exécutif pour accélérer la rénovation et la reconstruction des infrastructures du pays.
•Trump impose un black-out média à certaines de ses administrations hostiles à sa politique. Le service de la recherche agricole, le Département de l’agriculture et l’EPA, l’agence pour la protection de l’environnement reçoivent l’interdiction de publier «tout communiqué de presse, mise à jour de blogs ou articles, tweets, et toute publication sur les médias sociaux de ces administrations». La manœuvre a pour but de mettre ces agences éprises des théories bidon du réchauffement climatique et d’écolo-totalitarisme, d’émettre des avis différents du Président, et de bien rappeler, comme Reagan l’avait fait en licenciant en cinq minutes la totalité des contrôleurs aériens d’Amérique parce qu’ils avaient refusé de rompre leur grève et avaient désobéi à Reagan, qui est le patron.
•Trump rencontre les dirigeants des trois constructeurs automobiles, et leur promet une baisse massive des impôts de 38% en moyenne à moins de 20% (15 à 20%) pour les entreprises, la réduction massive (au moins 75%) des réglementations et normes qui étouffent les entreprises sous de la paperasse inutile, et leur imposent des tracasseries coûteuses et inutiles, afin de les encourager à construire des usines sur le sol américain. En sortant de la réunion, les dirigeants se sont déclarés enchantés par les propositions de Trump.
•Trump a échangé au téléphone avec le président indien Modi.
Lundi 23 janvier
•Annulation du traité de libre-échange avec 11 pays ou TPP (Trans-Pacifique Partnership), signé par Obama en 2015, dont la stupidité de ceux qui l’ont pensé fait qu’il pénalise fortement les États-Unis.
•Trump signe l’interdiction faite à l’État fédéral de financer le remboursement des avortements pratiqués à l’étranger, connu sous le nom de «accords de Mexico City.»
•Trump signe le gel de toute embauche de fonctionnaires, excepté pour les militaires.
•Trump a invité les dirigeants des principaux syndicats américains– tous des électeurs démocrates qui ont voté pour Clinton– qui en sortant de la réunion, ont déclaré avec enthousiasme avoir été emballés par les propositions de Trump. Certains gros syndicats ont même déclaré qu’en 8 ans, ils n’avaient pas été reçus une seule fois par Obama.
•Trump a discuté sécurité et collaboration avec le président égyptien al-Sissi.
Dimanche 22 janvier
•Trump a discuté longuement accords de paix avec les Palestiniens, nucléaire iranien et d’autres sujets avec le Premier ministre israélien.
•Trump a confirmé plusieurs membres de son administration y compris sa brillante conseillère Kellyanne Conway.
Samedi 21 janvier
•Trump se rend au quartier général de la CIA à Langley, et s’engage à détruire l’État Islamique et se débarrasser du terrorisme de l’islam radical. Trump reçoit une ovation debout pendant de longues minutes.
20 janvier– 1er jour
•Interdiction faite aux administrations concernées de sanctionner les personnes ou entreprises qui ne s’assurent pas à l’Obamacare, et interdiction de mettre en place toute réglementation qui pourrait gêner les entreprises, en attendant son remplacement.
•Face au «carnage» qui se produit à Chicago, Trump offre au maire démocrate son aide pour mettre fin à la tuerie entre noirs.
•Trump a également demandé à toutes ses administrations l’arrêt total de toute réglementation en cours d’élaboration, ou en cours d’application jusqu’à ce qu’un audit soit établi pour déterminer lesquelles entravent les entreprises.
http://www.dreuz.info/2017/01/29/donald-trump-les-100-premiers-jours-mise-a-jour-quotidienne/