Léo et les paradis fiscaux
20 novembre 2017
Merde je viens juste de voir que vous l'avez ajouté sur le site. Ça fera deux endroits pour la lire.
Belle victoire d'un petit village
Informer ou influencer? À vous de choisir.
Pourquoi le mot islamophobie dérange: réponse à Justin Trudeau
Le désastre des paradis fiscaux
20 novembre 2017
Merde je viens juste de voir que vous l'avez ajouté sur le site. Ça fera deux endroits pour la lire.
20 novembre 2017
Et dernièrement notre bon ministre de la justice sociale fait faire une étude sur la misère sociale au Québec et comment on pourrait y remédier ou enfin la soulagé un peu peut-être. Naturellement cette étude est faîtes par trois économistes qui de mieux placer pour comprendre la misère du monde.
Voici le rapport finale
http://www.gouv.qc.ca/FR/RevenuMinimumGaranti/Pages/Accueil.aspx
Et ici une chronique Jean Francois Nadeau du Devoir qui portera à réfléchir pour ceux qui voteront en Octobre 2018. Je la copie parce que le Devoir n'est pas gratuit.
La noyade d'archimède
Au temps où il m’enseignait à l’Université Laval, le ministre François Blais posait en arbitre de la pauvreté. Le principe d’un revenu de base inconditionnel versé à tous, il l’agitait telle une idée capable d’aider l’humanité de la main blanche de la science, mais tout en se gardant de s’approcher de la réalité. Cette capacité à ne cavaler que dans les champs glacés d’une égalité théorique avait déjà quelque chose d’inquiétant.
En plaçant les inégalités sociales en apesanteur, en les masquant derrière un voile, il réglait en quelque sorte à l’aveugle le sort du monde en d’impeccables équations vidées d’émotions, mais néanmoins chargées d’enjeux idéologiques. Comme si cette pensée n’était pas déjà suffisamment suspecte, il a fallu que ce professeur attache le train de sa pensée à un des gouvernements les plus antisociaux de toute l’histoire du Québec.
Ce gouvernement a fini par confier l’examen des velléités de François Blais à trois économistes. Ils viennent de publier leur rapport. À la plus grande déception du ministre, ils ont constaté que l’application pratique d’un revenu minimum garanti s’avère irréaliste. Or c’est une chose que de le l’affirmer, mais c’en est une autre de constater que ces économistes préfèrent par ailleurs miser sur des mesures vouées à forcer les individus à travailler plutôt que de travailler à changer les conditions sociales qui prédisposent à la pauvreté. Ce rapport propose au bout du compte, comme bien d’autres du genre, de « récompenser l’effort en favorisant les initiatives entreprises par les individus pour intégrer le marché du travail et s’y maintenir ».
La dynamique de délitement social qui préside au chômage et à la pauvreté est chez nous sans cesse réduite à une simple affaire de volonté individuelle, que l’on peut stimuler par des bonbons ou des punitions. Encore récemment, s’ils n’acceptaient pas de se soumettre à sa volonté, le ministre jugeait raisonnable d’amputer jusqu’à 224 $ de la maigre allocation mensuelle de 628 $ des indigents dont il a la responsabilité.
Dans ce système qui assure sans faillir sa reproduction, la pauvreté n’est que rarement considérée comme un résidu de l’enrichissement de quelques-uns. On en arrive alors à faire passer pour une vertu la volonté d’un entrepreneur de faire porter à des itinérants, comme ce sera bientôt le cas à Montréal, semble-t-il, une puce qui gère leurs achats et leur argent, afin de s’éviter de détourner le regard des problèmes sociaux globaux.
Au XVIe siècle, à l’époque de la grande expansion économique de l’Europe, puis au XIXe siècle des usines, la misère a progressé à grande vitesse. On prit le parti de l’étouffer. Faute de résultat, on tenta de la soulager quelque peu, souvent dans un esprit religieux, tout en ne renonçant pas pour autant à la réprimer.
En 1530, sous le règne d’Henri VIII, les gens incapables de travailler doivent obtenir un permis pour obtenir la charité. Ceux d’entre eux qui sont jugés assez bien portants pour travailler et qui, pour des raisons que l’on ne s’efforce pas de comprendre, n’y parviennent pas sont soumis au fouet, puis à l’emprisonnement. L’idée est de les « remettre au travail » à tout prix, tout en fermant les yeux sur les conditions qui font qu’ils en sont privés. Comme ces mesures sont jugées trop douces et surtout sans effet, les peines sont durcies. En plus d’être fouetté, jusqu’au ruissellement du sang, il fallut désormais qu’une oreille de ces malheureux soit coupée.
Sous Édouard VI, les individus considérés capables de travailler mais qui n’ont pas de travail sont soumis à l’esclavage par la force. Toujours en Angleterre, en 1572, on réitère l’usage du fouet pour les sans-travail. On les stigmatise davantage grâce à une marque au fer rouge que l’on applique sur l’oreille. Durant ce règne, on pend en moyenne 400 personnes par année parce qu’elles ne travaillent pas.
En Espagne, c’est à peu près la même chose. Un citoyen peut s’emparer d’un démuni et le forcer à travailler à son profit pendant un mois entier sans le rémunérer. À Tolède, on les ampute des deux oreilles pour bien fixer le déshonneur qu’ils ont d’être à jamais les laissés-pour-compte de leur société.
À Paris, on condamne les gueux à descendre dans les entrailles des égouts pour en écoper la merde et ses jus gras. Sous le règne de Louis XIV, le roi Soleil, ce sera le fouet et les cales sombres des galères. Sur les rives du Saint-Laurent comme ailleurs en Amérique, au temps pas si lointain des disettes, des maladies et de l’immigration de malheureux privés de tout comme les Irlandais, l’activité de la police consiste à réprimer les pauvres tandis que de bonnes âmes se félicitent de leur jeter quelques miettes de pain.
Sitôt ce rapport d’experts déposé mardi dernier sous le nez du ministre dépité, le Groupe de recherche et de formation sur la pauvreté au Québec et le Front commun des personnes assistées sociales du Québec se demandaient publiquement pourquoi, derrière ces parades, l’aide sociale est de moins en moins garantie et pourquoi les contraintes pour le soutien des plus démunis ne cessent d’augmenter.
Au fond, nous en sommes encore à croire qu’en plongeant quiconque dans un bain de misère on l’aidera à remonter à la surface, selon une sorte de principe d’Archimède social dont la pratique n’a pourtant conduit qu’à d’effroyables noyades.
20 novembre 2017
Vous savez les Suzuki, Equiterre et Greenpeace de ce monde qui opèrent des budget dans les millions et qui s'accaparent les réalisations comme si ils en étaient les seules responsables quand c'est un ensemble de facteur. Bien moi tout cela ça me laisse froid ces causes nobles qui deviennent des jobs trop payantes pour que ça passe pour de la charité chrétienne.
20 novembre 2017
Accusé, jugé et condamner sur un tweet. Finalement, le système de justice nous en avons plus besoin dans notre société des licornes de reines et rois. Le retour de la peine de mort c'est pour quand, on fait un référendum.
20 novembre 2017
Pour en ajouter une couche sur le déplacement des civilisations tout azimut vers l'occident.
http://institutdeslibertes.org/hollywood-prepare-un-nouveau-film-catastrophe-la-turquie-va-sauter/
Surtout Justin, oublie pas de leur dire qu'ici y faut respecter les droits des femmes et des LGBT quand y vont demandé l'asile et que ce serait souhaitable qu'ils le fassent chez eux aussi. Et nous bien on ré-ouvrira les asiles pour y entrer volontairement.
20 novembre 2017
Merci Me Neron,
Donc si je suis votre logique, nous ne sommes pas à la veuille de voir la lumière au bout du tunnel. La grande noirceur ne fait que débuter car dans l'ensemble notre société dysfonctionnelle est encore fonctionnelle. Pour combien de temps quand tu vois tous ces dirigeants qui prônent le mélange des genres.
Quelle utopie de croire que des civilisations que tous mets en opposition depuis le début des temps puissent aujourd'hui vivre ensemble en harmonie dans le même lieu physique quand celle-ci ont à peine été capable de se tolérer à distance. Le chaos comme vous dîtes est maintenant à nos portes et on célèbre tout cela au nom de l'ouverture à l'autre en prônant un vivre ensemble aveugle dans un but économique.
Dans un passé réçent les esclaves ont les commercaient, aujourd'hui ont les transiges comme de l'import, export. Des marchandises humaines qu'on déplace selon les besoins économiques. Dernièrement, pratiquement chaque semaine on entends un entrepreneur qui nous dit qui trouve pas personne pour combler ses postes disponibles, je n'ai pas le choix d'aller sur les marchés extérieurs. Dans le journal de ce matin, le petit couple de Colombie qui répond à une demande dans la santé, une infirmière et son mari très heureuse de s'installer chez nous non sans difficulté. Mais quand est-il de ceux qui ne sont pas de même confession et pour qui l'adaptation passe par les accomodements continuels...on verra dans 10, 20 ans.
19 novembre 2017
L'affaire Michaud est une honte et je me demande encore aujourd'hui comment certaines personnes peuvent encore se regarder dans une glace.
19 novembre 2017
Le choc des civilisations de Samuel P. Huntington
Un beau passage d'un roman du Vénitien Michael Dibdin ''Dead Lagoon''.
On ne peut avoir de vrais amis si on n'a pas de vrais ennemi. À moins de haïr ce qu'on est pas, il n'est pas possible d'aimer ce qu'on est. Voilà des vérités très anciennes que nous sommes en train de redécouvrir avec douleur avec plus d'un siècle de sentimentalité. Ceux qui les nient, nient leur famille, leur héritage, leur cuture, les droits qu'ils acquièrent en naissant, et jusqu'à leur moi.
Les hommes politiques et les universitaires ne peuvent ignorer la vérité qui se cache derrière ces vérités très anciennes, fût-elle déplorable. Tous ceux qui sont en quête d'identité et d'unité ethnique ont besoin d'ennemis. Les conflits les plus dangereux aujourd'hui surviennent désormais de part et d'autres des lignes de partage qui séparent les civilisations majeur du monde.
Ce livre devrait être un passage obligé pour tous, spécialement pour ceux qui aspirent à gouverner les états et vugariser pour tous ceux qui auraient des difficultés à en comprendre tout le sens.
18 novembre 2017
Une dernière chose M.Marineau,
Quand ton système politique et ses administrateurs gouvernementaux sont colonisé, comment peut-on aspirer à mieux que ce que nous avons présentement.dans notre société.
Toute réflexion sur l'avenir est inutile si on ne règle pas certaines problématique en aval et ça commence par la gouvernance et ceux qui y sévissent. Sinon, nous allons demeuré dans l'ère fossile à laquelle nous appartenons avec nos dirigeants préhistorique.
Bon c'est assez, je vais laissé la place à d'autres pour s'exprimer.
Yves Corbeil
18 novembre 2017
Ajouter à mon dernier commentaire.
Pour enseigner toutes ces connaissance aux étudiants ça prends des gens avec des connaissances. Donc pour faire court, on es-tu loin de notre profit pour virer la situation de bord quand certains de tes profs sont à peine capable d,écrire un etxte sans qu'il soit bourré de fautes.
Les miens en sont rempli mais je ne suis pas enseignants seulement un retraité qui a été formé pour l'industrie dans le temps.
18 novembre 2017
M.Marineau,
À l'heure ou les besoins du marché sont dans la connaissance. Les systèmes d'éducation sont encore à l'air industriel. Et quand le secteur pour lequel ils ont été formé s'écroule, bien on essaie de les retapés aux cours du soir.
Le problème il est où, le problème il se situe au sommet de la hiérarchie des états qui comblent ses postes avec des incompétents, sans saveurs, sans valeurs, sans visions et sans grands choses pour faire face aux réalités auquel toutes les sociétés sont confronté.
L'acquisition de connaissances générales, ça fait longtemps que ça ne fait plus parti de nos écoles. Alors comment peut-on demander au gens de s'adapter aux nouvelles réalités, impossible ou presque. Quand tu as été former pour être assembleur sur une chaine de montage, tu ne deviens pas un inventeur de logiciel pour les besoin futures du marché des connaissances avancées. Tu ne peux même pas devenir un plombier sans deux, trois ans de retapage.
Système d'enseignement=échec et maintenant on essaie de rapiècer avec des bout de programmes tous vouer à l'échec comme les précédents.
18 novembre 2017
Finalement je pense qu'on perd notre temps. Quand tu regarde partout et lit tout ce qui s'écrit sur notre société et ces carences en toutes sortes. Je pense que les 15 années libéral passé on fait leurs oeuvres dans tous les domaines.
Et pour revenir au sujet de votre chronique, quand la société dans laquelle tu vis et tente temps bien que mal d'élever une famille comme du monde et que tes dirigeants s'apprètent à permettre de fumer du pot partout sur la rue à partir de 18 ans et qu'on voit certain d'entre eux pas tous là mais certains, saliver sur les profits à venir. Le lobby est parti en peur avec tout ces ex qui font des pieds et des mains pour se positionner sur le marché de la ''drolle''.
Sur le cul, rien de moins. Bravo les champions, continuer à vous occupez des vrais affaires epndant ce temps là on entends les entrepreneurs qu'il faut allé chercher la main d'oeuvre à l'étranger. Ça va prendre plus de conflit pour amener des flippers de burgers, des vendeurs de guenilles et des chauffeurs de trucks à salaire de crève la fin pour des heures ridicule. Pour quelqu'un qui arrive du désert et qui mangeait des bibittes chez lui, c'est la paradis. Et tantôt les supers économistes pourront ramener les industries ici car on aura finalement la main d'oeuvre bon marché pour combler tous les postes.
Personne ne suit Yves Corbeil. Soyez le premier!