Réponse à Robert Barberis-Gervais
25 août 2013
Une couleuvre (inoffensive mais détestable) qu'on finit par coincer peut essayer de mordre. Que dire d'un python?
Fier fils de bûcheron exploité. Professeur retraité d'université. Compétences en enseignement par groupes restreints, groupes de réflexion, solution de problèmes. Formation en Anglais (Ouest canadien), Espagnol (Qc, Mexique, Espagne, Cuba), Bénévolat latin...
Fier fils de bûcheron exploité. Professeur retraité d'université. Compétences en enseignement par groupes restreints, groupes de réflexion, solution de problèmes. Formation en Anglais (Ouest canadien), Espagnol (Qc, Mexique, Espagne, Cuba), Bénévolat latinos nouveaux arrivés. Exploration physique de la francophonie en Amérique : Fransaskois, Acadiens, Franco-Américains de N.-Angl., Cajuns Louisiane à BatonRouge. Échanges professoraux avec la France. Plusieurs décennies de vie de réflexion sur la lutte des peuples opprimés.
A nous d’insister pour qu’il trouve les moyens de le produire
"Tyler strikes again for anglo rights"
25 août 2013
Une couleuvre (inoffensive mais détestable) qu'on finit par coincer peut essayer de mordre. Que dire d'un python?
25 août 2013
Et le mercenaire continue de se répéter, à l'écoeurement! Un singe habillé de soie!
24 août 2013
Ai-je utilisé "Lupin" ? (pour le moins, avec un L majuscule ). Wow ! je ne pensais pas que je réveillerais la Vigile. J'aimerais, un peu, vous rappeler à l'ordre Monsieur. Vous connaissez ça - rappeler à l'ordre - comme professeur à la retraite ?. Premièrement, vous êtes présentement sur "La Métropole" et le blog présentement c'est "Les sous-sols de Montréal m'inquiètent". Tout ça pour vous dire que vous n'êtes pas à la "Vigile". Bonne journée !!!.
Arsène - 7 août 2013
Arsène fonctionne exactement comme Alain: provoquer une polémique et refuser ensuite de suivre. S'il prétend que les inquiétants sous-sols n'ont rien à voir avec la "question nationale", pourquoi attaque-t-il dès le début les méthodes politiciennes d'une aspirante à la plus haute fonction? J'invite à la participation au vote, le sosie de Alain repart sur le ridicule. Je n'ai que suivi son style, le ridicule. S'il manque d'humour, je peux suivre assez bas dans ces ruelles. Et si par contre, Arsène est de la gestion du site, son rappel à l'ordre sera-t-il suivi d'un bannissement d'un tel modèle de modération (Métropole)? Je pourrais y survivre.
Ouhgo - 7 août 2013
Nom (pseudo)
-« Saint Catherine Street » :
Je suis parfaitement quadrilingue mais je force qui que ce soit à me parler en français quand je suis dans la province! Même à l’extérieur de la province, j’essaie de pousser le français et étonnement, les gens embarquent. C’est mon petit geste pour préserver la langue. Je m’en fou du nom du magasin, je parle français à l’intérieur de toute façon!
Marc
Qu'il prenne le nom de Marc, d'Arsène, d'Alain ou autre, il ne fait jamais que de la propagande, i.e. répéter à l'écoeurement, sans tenir compte des arguments des autres, le même catéchisme de mots: "Vous n'avez pas de cause, croyez-moi, vous n'êtes pas de taille, écrasez-vous. Un Québec français, oubliez ça. C'est l'anglais qui prévaudra dans ce pays conquis.."
Ça nous convient, à tous?
Ouhgo - 13 août 2013
En conclusion, si Alain a ses forces, il n’a vraiment pas le ton pour convaincre. Antagonizing! Anti-Québec. Pas d’accueil sur un site indépendantiste ! Ici, on cherche l’union du vote, comme le fait l’adversaire.
24 août 2013
Extraits de deux billets publiés sur le site LA METRO POLE.
(et non Le Devoir comme à mon premier souvenir).
-« Les sous-sols de Montréal m’inquiètent » :
Quand un pays saigne sa minorité linguistique pour la faire obéir, en privant sa "métropole" de revenus équitables (bourse, sièges sociaux, infrastructures de toutes sortes, transports, assurance emploi, éducation supérieure, immigration non intégrée, tourisme, valorisation internationale, etc...) il obtient une situation de perte de confiance au public, de retrait du vote, de gouvernement autoritaire.
Québécois, vous êtes écoeurés? Cessez de fuir les bureaux de votation!
Ouhgo - 6 août 2013
En réponse à Monsieur Ouhgo... Quand une province fait élire comme gouvernement un parti politique dont la tête dirigeante se permet de se promener dans les rues de Montréal avec des chaudrons je pense que cette majorité se saigne d'elle même Monsieur, pas besoin du pays pour ça. Faut juste SE regarder et pas toujours laisser entendre que c'est la faute des autres. C'est enfantin comme attitude. Vous parlez de la "valorisation internationale" ?,,Quelle belle manifestation pour se faire valoriser que de descendre dans la rue, pour un(e) élu(e) et frapper les chaudrons,, c'est très valorisant...
Arsène - 6 août 2013
à suivre
24 août 2013
On échangerait, dans une pouponnière montréalaise, un enfant de couple de notaires d’Outremont (A) et celui d’une mère monoparentale bénéficiaire d’aide sociale du quartier Ho-Ma (B).
L’enfant A manquerait de stimuli moteurs de par ses parents et ses amis de quartier. Serait traîné dans des écoles moisies, tenté par des voyous mieux fagotés et les joindrait dans le crime.
L’enfant B suivrait l’exemple de langage et de tenue raffinée. Serait stimulé par écoles alléchantes, serait en compétition avec son milieu pour meilleure formation supérieure.
Allons, le comique, qui parle de misère héréditaire, atavique, génétique. La misère est acquise, non innée! Avis à tous les alanis de ce monde!
C’est dans LA METRO POLE qu’on a dépisté des sosies de ces réducteurs de peuple : écartant les faits historiques d’oppression exercée sur la Nouvelle-France vaincue, ils méprisent ceux qui luttent contre l’assimilation.
La rue Sherbrooke Est, en ruines comme les parois du tunnel Louis H, pendant que la même rue, elle rutile dans l’Ouest, c’est la faute à l’ouvrier mis à pied par la Shell? Les tableaux blancs de Charest, dans les écoles qu’il a laissé décrépir, sans profs formés à leur usage sur la rue Ontario, c’est les séparatisss, depuis 10 ans?... Les livres d’Histoire, tout comme les stats, sont écrits par le vainqueur…
Grâce à ceux qui cherchent à tout prix à marcher sur leurs semblables pour ressembler à « l’autre », le plan de Lord Durham s’accélère : on coupe les vivres à la métropole montréalaise, dans la haute finance, dans les transports, dans l’information et la formation… Pour éviter le rouleau compresseur, des singes choisissent de s’habiller de soie (Mono vestido de seda mono queda.).
Aux lecteurs d’apprécier les similitudes dans le style
à suivre...
23 août 2013
À bien y regarder, il n'est pas si intelligent que ça...
Je me cite: "Et ne lui expliquez pas d’où vient notre retard en alphabétisation : main d’œuvre à bon marché dans les usines (anglaises) de l’Est, exil de la moitié de la population en Nouvelle-Angleterre, anglicisation des communications, rapport Parent et printemps érable… il ironisera (sortez du bois), vous insultera (menteur)..."
Il tricote un piège gros comme sa tête (comme il la conçoit) pour menacer: "On verra qui est le menteur".
Il ne voit même pas sa propre insulte que je rapporte!
Quant aux noms mal orthographiés, ne sait pas encore épeler Ouhgo.
Et comme raciste: "L'analphabétisme est héréditaire..." alors qu'en réalité, c'est le colonialisme qui se perpétue à travers des gouvernements royalistes, ceux qui ont déporté les Acadiens, dont certains leur lèchent encore les bottines, tout comme les francophones qui ont bien hâte de porter leurs valises en parlant anglais.
Et pour un expert en alphabétisation, il devrait relire ses textes avant de publier: la nervosité le gagne.
23 août 2013
Le sophiste incontesté. C’est parce que mon QI n’approche pas du sien que je ne m’adresse pas à lui directement. Je laisse à d’autres de relever sa méthode vicieuse : inonder la page de copier/coller de stats Canada pour éviter d’aborder de front l’argument.
Ici, on parle de près de la moitié de la population qui ne peut que lire les grands titres (faussés) des journaux étrangers. Ces gens-là ne savent rien du dixième rang mondial de HEC. Qu’on mentionne au grand statisticien que c’est la gratuité scolaire qui encouragerait les familles assistées sociales à pousser leurs jeunes aux études supérieures, il répond à la défense de l’indexation, en bon « égalisateur » canadian. Il dit : « Le Québec compte neuf établissements universitaires, dont l’Université du Québec, qui est organisée en un réseau de dix constituantes. » Sans jamais mentionner que la partie pauvre de « nos familles » ne voit même pas à quoi ça sert! Et ne lui expliquez pas d’où vient notre retard en alphabétisation : main d’œuvre à bon marché dans les usines (anglaises) de l’Est, exil de la moitié de la population en Nouvelle-Angleterre, anglicisation des communications, rapport Parent et printemps érable… il ironisera (sortez du bois), vous insultera (menteur), mais n’entrera jamais en conversation civilisée pour résoudre le problème qu’il a lui-même soumis : l’illettrisme. Z’avez vu? L’allusion à Arsène le fait quitter son phlegme hollandais…
Fort budget à l’éducation? Le Canada s’en est retiré et on se venge sur les étudiants http://www.editionsboreal.qc.ca/catalogue/livres/une-idee-universite-2276.html. Il a suffi d’une étudiante en éducation spécialisée pour démontrer que les budgets qui devraient aller à l’apprentissage sont transférés à la construction de succursales où se concurrencent des Recteurs sur-payés… On les importe d’ailleurs de France, d’Angleterre, pour qu’ils apprennent aux « natives » comment gérer des universités « successful ». Les amis du régime, rencontrés à Oxford ou au Massaschussett. On se refait une élite : faites comme nous, compétitionnez, marchez sur les autres pour faire la statistique : il y aura toujours des pauvres, des analphabètes, même chez les « non canadian » dit le nouveau roi de Vigile, que même Le Hir n’ose pas encore accrocher par la cravate.
22 août 2013
Je crois avoir été dans les "whisle blowers" pour dénoncer les agressions anti-QC de Al...anon... Al maroun... en tout cas, sur Le Devoir, il se fait appeler Arsène! Et ne tolère pas qu'on lui réponde lupin.
Ce qui ressort enfin, c'est qu'il évite la "question nationale", de front, mais il l'aborde inconsciemment dans sa question: "que faire pour remédier à l’illettrisme...."
Notre problème majeur de littératie, au Québec, remonte à la conquête. Abandonnés dans la forêt, nos élites reparties en France, tout juste autorisés par les curés à lire le petit catéchisme. Nous étions embourbés avec nos fourches de patriotes en 1837 que McGill était déjà née depuis 1821, pour nos "maîtres" au coeur de Montréal.
La Révolution tranquille pouvait-elle rattraper plus de cent ans de retard en éducation pour tous? Le Rapport Parent parla de gratuité... On parla de légiférer sur la langue... déjà les hauts cris des "fondateurs de Montréal" et des premiers immigrants qui n'allaient pas s'abaisser à une minorité négligeable... Les Carrés Rouges de l'an passé ont parlé de gratuité scolaire pour hâter notre rattrapage: on poussa les hauts cris puisque nous devrions plutôt rejoindre les frais de scolarité des autres canadians...
Non, non! Retards scolaires, drop out, salaires de crève faim, études supérieures non valorisées, décrochage, pauvreté financière et assistance sociale, langage minimal, lecture des grands titres de torchons des assimilés: cercle vicieux, on suit à la lettre les diktats des radio poubelles et on ne va surtout pas ouvrir Vigile.net, trop dangereux de s'ouvrir l'esprit sur la solution au problème de littératie: l'indépendance du Québec-pays pour valoriser l'éducation supérieure, toujours refusée par nos "maîtres".
Médias concentrés aux mains des "canadians". Comment partir la pompe quand on veut se concerter comme à Outremont?
19 août 2013
De toute évidence, la question de l’Unité québécoise retient l’attention des « chercheurs de solution ». Car il devient « achalant » de se faire dire : « À la prochaine fois… » Des défaites qu’on veut nous faire accepter comme victoire morale : toujours sur la limite! Check! L’arbitre! Y’a quec’un qui m’frappe! Qu’on pense à Maurice Richard ou à Louis Cyr, y’a toujours un tricheur qui nous empêche de triompher, et de si peu. Ne suffirait-il pas que nous soyons aussi unis que ceux qui « nous contrarient »?
Ce qui frappe aussi, c’est que les « chercheurs de solution » savent écrire en français. Or, mon œil de « fatigant » me fait toujours déceler les pièges plus pointus. M. Haché nous en apprend tellement en politique et cherche tellement la perfection dans l’écriture que je le nourris encore de deux « contrariétés » : Pas de parlote que nous avons besoin (pas la parlote dont…)(les médias nous inondent de « de cela dont »); De quoi il retourne (ou « ce qu’il en est »). M’enfin, puisque nous SOMMES un peuple souverain, quoique seuls à le savoir.
Nous frappons quand même tous des embûches :
-Ricard : Vis-à-vis de (la nation canadienne)
-Dion : « qu’aurait (ent) concrètement à gagner le PLQ et la CAQ
« Le statu() quo les dérange(nt-ils) à ce point » ?
16 août 2013
Ben voilà:
L'Amérique française d'abord divisée entre Acadie et Québec...
Québec divisé entre Dépendantistes et Indépendantistes...
Indépendantistes divisés entre PQ, QS, ON... entre jeunes et vieux, entre hommes et femmes, straight et gais-L-B-T-travestis...
Ne reste plus qu'un vote homéopathique pour contrer les suppôts de Lord Durham
Vive Antonine Maillet, la grande médaillée! (diplômée UdeM mais canadianisatrice nation builder anti QC)
16 août 2013
"En terminant, en écrivant ces lignes, je ne peux m’empêcher de dresser un parallèle entre les Acadiens et les Québécois, deux peuples qui ont toujours eu l’heur de « se faire entendre, de se rencontrer et de s’affirmer »."
Et bien, voilà justement où le bât blesse: Deux peuples, vraiment? Qui se rencontrent, vraiment?
http://www.axl.cefan.ulaval.ca/francophonie/Nlle-France-Acadie.htm
À la signature du traité de Saint-Germain-en-Laye en 1632, l'Acadie, le Canada, Plaisance, la Baie-d'Hudson et la Louisiane formaient les différentes colonies de la Nouvelle-France... avec à sa tête un gouverneur, était subordonnée au gouverneur général de la Nouvelle-France (en même temps gouverneur du Canada), qui résidait à Québec. En ce qui concerne l'Acadie, le gouverneur local devait non seulement rendre des comptes au roi et au ministre de la Marine, mais devait aussi dépendre de l’autorité directe du gouverneur général et de l’intendant de Québec. Certains gouverneurs généraux, tels le comte de Frontenac, considéraient l'Acadie comme leur arrière-cour et intervenaient militairement de façon régulière, souvent même sans en avertir le gouverneur de l'Acadie. C'est que, juridiquement, l'Acadie était une division administrative au même titre que Montréal et Trois-Rivières. En temps de guerre, le commandement suprême était à Québec, pas à Port-Royal, ni à Louisbourg, ni à La Nouvelle-Orléans. Mais la distance et les difficultés des communications rendaient la mainmise du gouverneur général plus aléatoire. De plus, la véritable autorité était à Versailles, non à Québec...
De plus, si l'on reconnaît que 1605, fondation d'Acadie, précède de 3 ans la fondation de Québec, l'histoire démontre qu'il n'en resta que peu:
Pierre Dugua de Mons fonda une colonie à l'île Sainte-Croix (aujourd'hui Dochet island, située dans le Maine et administrée par le Nouveau-Brunswick), mais la moitié des hommes de son expédition (36/80) décéda du scorbut durant l'hiver. La colonie se déplaça à l'été 1605 à Port-Royal...
Des auteurs comme Antonine Maillet voguent sur leur réputation de romanciers honorés par le Canada pour entretenir le sentiment de "différence" entre Acadiens et Québécois et torpiller toute unité nécessaire pour vaincre ceux qui les ont déportés à répétition et qui aspirent à en faire autant de Nous.
16 août 2013
Regard vers "l'inconnu",
En effet, les Carrés Rouges ont frappé fort l'an dernier, pour l'égalité des chances. Le mouvement venu de "indignons-nous" a été porté par trois têtes d'affiches parmi les jeunes. Léo, Gabriel et Martine aux entraîné à leur suite une bonne partie des jeunes, mais dans les grandes marches des 22 du mois, il y avait beaucoup de "gris". Les 3 leaders ont été un peu tiédis à la suite des promesses non tenues par un pouvoir émasculé. Et ce qu'on avait cru un réveil massif de la jeunesse au Québec semble maintenant avoir tourné en feu de paille d'individualisme. Les "gris" n'ont pas changé d'idée: le pays qu'ils ont sous les pieds, ils veulent l'officialiser. Mais ils ne pourront pas voter tous seuls: il faut que TOUS les Québécois votent ENSEMBLE, préférablement pour donner le VRAI pouvoir au parti que le ROC qualifie de SEPARATIST! L'idée, c'est de signifier à la PM un ordre catégorique pour qu'elle nous convie à une élection référendaire sur le sujet de l'expulsion de notre territoire de ces faux maîtres qui nous exploitent.
Personne ne suit Ouhgo (Hugues) St-Pierre. Soyez le premier!