Pourquoi PKP ferait un bon chef du PQ
22 juillet 2014
M. Marineau, c'est vraiment votre homme!
...et j'ajouterais: "Remember Lulu!"
Fier fils de bûcheron exploité. Professeur retraité d'université. Compétences en enseignement par groupes restreints, groupes de réflexion, solution de problèmes. Formation en Anglais (Ouest canadien), Espagnol (Qc, Mexique, Espagne, Cuba), Bénévolat latin...
Fier fils de bûcheron exploité. Professeur retraité d'université. Compétences en enseignement par groupes restreints, groupes de réflexion, solution de problèmes. Formation en Anglais (Ouest canadien), Espagnol (Qc, Mexique, Espagne, Cuba), Bénévolat latinos nouveaux arrivés. Exploration physique de la francophonie en Amérique : Fransaskois, Acadiens, Franco-Américains de N.-Angl., Cajuns Louisiane à BatonRouge. Échanges professoraux avec la France. Plusieurs décennies de vie de réflexion sur la lutte des peuples opprimés.
A nous d’insister pour qu’il trouve les moyens de le produire
"Tyler strikes again for anglo rights"
22 juillet 2014
M. Marineau, c'est vraiment votre homme!
...et j'ajouterais: "Remember Lulu!"
21 juillet 2014
"Enfin, et surtout, dès son entrée en politique, PKP, en brandissant son poing en l’air tout en lançant son adhésion à l’indépendance du Québec, a fait preuve d’une transparence et d’une conviction sans équivoque."
Et pourtant...
...pourtant, c'est ce geste qui a perdu sa chef!
Si c'était le but, c'est réussi. Chef et Parti dans le clos, le chemin devenait libre pour un PKP rusé de repartir sur ses propres bases...
Mais si ce fut accidentel, une bourde pour ne pas avoir prévenu la chef de son geste... (il l'appelait toujours, de façon suspecte, Madame la Première Ministre), quelle bourde! Madame Marois jouait profile bas et lui, il lance la campagne vers l'indépendance: porte tout grande ouverte pour Couillard et la marotte de Charest: référendum...
Dérapage magistral! Rusé, déloyal ou maladroit, naïf?
20 juillet 2014
Quelqu'un se posait la question: De quoi sommes-nous punis? D'avoir voté deux référendums? Ou de les avoir perdus? Le Canadian Nation building nous en veut de l'avoir défié, sans se réjouir de nous avoir battus! Il lui reste à nous éliminer.
Charest a failli réussir cette mission en un quatrième(?) mandat mais les carrés rouges ont "mis Montréal à feu et à sang!"
Un parti qui aurait compris le désastre de la collusion et de la corruption aurait su en tirer profit. Mais comme il avait aussi trop longtemps goûté au pouvoir qui rend fou, il avait perdu sa boussole vers le pays du Québec, et négligé de refaire sa propre unité. L'ennemi toujours aux commandes médiatiques l'a bouffé.
Ce n'est pas Nous qui avons réélu les Libéraux, c'est la Machine: le West Island qui Nous noie d'une immigration canadianisée et la Haute finance qui comprend Nos propres assimilés, aujourd'hui personnifiés par les "bons docteurs". Et la magouille que la commission Charbonneau nous serine depuis des années nous a fait mettre nos oreilles à "off". Le Québécois a démissionné par ses extrémités: jeunes mondialisés, vieux individualisés. Et au centre, affairistes trop occupés.
Y a-t-il encore dans la salle des spécialistes de la politique pour Nous réveiller à Notre avenir commun? Le politique se meurt. La démocratie bafouée lève le doigt: " Revenir au pouvoir par le peuple?" Confronter les idées des citoyens au lieu de confronter la puissance des partis aux mains de la finance. Et ça ne suscite pas l'intérêt de jeunes Québécois, même "mondialisés"?
Foglia citait subtilement Aragon: "Toi qui vas demeurer dans la beauté des choses"... mais quelle beauté dans l'actualité, cet été???
18 juillet 2014
Les grands esprits se rencontrent:
CONGRÈS MONDIAL DE SCIENCE POLITIQUE
Les gouvernements, des canards boiteux
Aujourd’hui, il ne s’agit plus uniquement de revoir l’ensemble des programmes de l’État, il s’agit aussi de proposer de nouveaux programmes
Guy LACHAPELLE
Le Devoir
vendredi 18 juillet:
Les campagnes électorales se limitent en ce début de siècle à des débats sur la couleur du gazon du voisin —qui fait mieux et comment— et ont souvent une odeur de « provincialisme » malsain. Les partis politiques ne savent plus proposer de débats emballants de société sur de grands enjeux. Ils affirment tout au plus qu’ils seront meilleurs que leurs prédécesseurs. Ils n’arrivent pas à contrôler les dépenses de l’État.
17 juillet 2014
D'avoir osé afficher ainsi mon ignorance aura servi à faire ressortir la substantifique moelle.
Danielle Fortin se donne la peine ici de nous amener à la source de ces connaissances, qui nous échappent, à plusieurs, au Québec.
Merci, Madame, pour http://etienne.chouard.free.fr/ ainsi que Simone Weil qu'on y retrouve tout à la fin, dans la liste des documents cités.
Des heures de lectures de vacances entre 2 "camping sauvage"
Que savons-nous de l'abolition des partis politiques, à remplacer par le tirage au sort des députés(à l'exclusion des "techniciens" nécessaires aux tâches spécialisées)?
Pour repenser le Québec, notre instinct et notre "bon jugement" ne suffiront pas. Il nous manque la connaissance sur la démocratie, née dans l'Athène antique. Ce ne sont donc pas des leaders politiques "charismatiques" qu'il nous faut chercher.
Les penseurs de demos-cratos, les chercheurs compétents en la matière, doivent trouver moyen de se faire entendre davantage, Mme Fortin. Et vous avez le tact de nous apprendre discrètement.
14 juillet 2014
"Le tirage au sort" par Étienne Chouard en débat.
L'animateur ne lui rend pas justice... émule de Christiane Charette?
http://www.youtube.com/watch?v=sTsJAL-6nB8
14 juillet 2014
Merci de nous rassurer, dans l'est de Montréal,
Nous réalisons que Montréal a décidé de nous privilégier en abandonnant la réparation des rues. Bon, nous avons gueulé quelques années, crevaisons, suspension des véhicules, poussière... mais enfin, nous commençons à comprendre que tout le monde ralentit, emprunte moins la Sherbrooke est saccagée par les doubles convois de pétrole que nous apporte le port canadian de Montréal.
Le tunnel Louis-H défiguré le rend aussi moins attrayant et les banlieusards commencent à rêver au nouveau pont Harper pour aller défoncer les magnifiques asphaltés de l'ouest. HO-MA deviendra bientôt piétonne et nous pourrons verdir la rue Ontario où les loisirs de consommation "verte" fleuriront.
La Havane nous aura civilisés: nourriture de rue, amuseurs de rue, pitounes de rue, fallait y penser. Le cycle du PIB traînera à Ottawa pendant que nous recyclerons nos fringues dans les friperies de Pie IX, sourire aux lèvres, mâchonnant notre brin d'herbe, rêvassant aux labours à boeufs.
12 juillet 2014
Robert, calvert!
Z'avez pas encore observé la graphie de ma prononciation espagnole de Hugues, que j'ai établie précisément en Ou h go... le h intercalaire marque la pause dans la prononciation... tel que me l'ont appris les ans au contact des Mexicains.
Autre manque d'observation. Vous ânonnez: "Ne croyez-vous pas que la grande priorité pour le PQ c’est de se choisir un chef qui aura tiré les leçons de la défaite du 7 avril et les leçons de 40 ans d’étapisme ?" Un demi siècle à vous faire berner, ça suffit pas?
Autre faiblesse d'observation: Vous confondez le chacal (canidé fort élancé) avec la hyène tachetée, charognard parfois chasseur en meute, contre le lion. La gueule répugnante de celle-ci, à laquelle vous référez, rappelle un peu celle d'un médecin/ministre, qui peut gober jusqu'à 14 kg de nourriture en un seul repas.
Dernière faiblesse d'observation, si vous voyez cette bête et le vautour traîner autour du P.Q. c'est qu'il est déjà mort puisqu'on parle de charognards. Vous allez beaucoup trop loin dans votre apprentissage des métaphores.
Au-delà de ça, rien de neuf dans vos palabres. Un roman fleuve de type Libéral, pour noyer le lecteur. L'idée est d'aller frapper à la porte de tous les partis oubliés, où pourraient s'être réfugiés des écoeurés de la crossette. Ceux qui se souviennent d'avoir été écartés par le parti semi centenaire se sentiront interpellés. C'était un projet énorme quand ce faux bateau amiral les faisait chanter (divisez le vote). Ce sont maintenant les entêtés péquistes qui diviseront le vote que devra coaliser l'ensemble des indépendantistes québécois, républicains. Ce dernier terme aussi les rendait muets puisque ça signifiait le pouvoir au peuple et non aux ministres...
Enfin, il y a de l'espoir: vous semblez d'accord avec toutes vos sources démontrant que le référendum, pas une étape obligatoire.
Tiens, je vous verrais bien, vous, dans ce porte à porte, maintenant que vous laissez le PQ pour mort.
12 juillet 2014
Mario a passé la première vague de diffamation de la part des canadianisateurs, el la poussière retombe, pour l'été.
Le Bloc Québécois, on l'a vu, en a été ébranlé. Les vrais indépendantistes voudront maintenant sonner la seconde charge. Mais ils ont besoin de renfort: "Ohé, y'a-t-il encore des indépendantistes au Québec?"
Oui, nous sommes-là! Nous sommes dispersés dans des partis jadis honnis du P.Q., parce "diviseurs de vote". Mais le P.Q. a reçu un avis d'éviction le 7 avril et il n'y a plus de réponse au numéro signalé. C'est le moment attendu pour que nous nous réunissions sous un nouveau parapluie au nom sans équivoque, parlant de Québec, d'indépendance, de république. Et Mario ne peut rater cette chance, comme chef élu, pour favoriser cette nouvelle coalition. Plus le noyau sera serré au Québec, plus le nouveau Bloc sera craint au Canada. Et la crainte, c'est le début de la sagesse. Partis à sollciter:
Bloc pot; CAQ; Équipe Autonomiste; Mon pays le QC; NPD du QC
Option Nationale pour indép. du QC; Parti des sans parti; Parti Équitable
Parti Indépendantiste; Parti ML du QC; Parti Québécois.
Parti Unité Nationale; Parti Vert du QC
QC révolutionnaire démocratique; Québec Solidaire; Union des citoyens du QC
12 juillet 2014
RBG
Bon, puisque le ton baisse, essayons de nouveau. Je n’aurai alors pas besoin de lâcher contre vous ma cousine Christine…
Cependant, vous traînez de vieux réflexes de partisan : « Qui voudra s’associer à ça ? »
Ben voilà, c’était la cassette d’un parti hégémonique : Venez vous associer à nous! C’était du temps où ce parti répondait à la férule d’une cheffe « démocratiquement » (par défaut) élue. Les candidats de valeur se tenaient derrière elle pendant les discours, souriant à la petite perle sur le lobe. Référendum quand le peuple sera prêt!
Mais le peuple s’est impatienté, a fait sauter la Bastille : il a guillotiné la reine. Les citoyens exigent la République. Ils veulent parler d’une même voix. Les monarchistes survivants, ceux de bonne volonté, sont bienvenus dans la coalition qui se prépare. Ils ont perdu la main. À eux de faire leurs concessions comme tous les autres qui manqueraient aussi de réalisme : négo, c’est donnant, donnant.
Bien sûr, le partisan embusqué dans les décombres de la colère du peuple trouve mauvais le « timing », trouve la proposition irréaliste, trouve le fer pas assez chaud pour le battre… Ses otages se sont enfuis : vous divisez le vote, clamait-on, fort du «seul parti capable de nous mener à l’indép.! » Plus maintenant! Not any more! No màs! Les indépendantistes ont justement cette période post-électorale pour se regarder, se reconnaître, s’unir et parler, comme l’a fait spontanément PKP en brandissant le poing : « Je suis venu pour faire du Québec un Pays! »
Oui Robert, vous avez droit à votre opinion, et à l’exprimer, mais en simple citoyen qui doit cheminer comme nous tous : Le parti ou la Patrie (Landry).
Le « grand penseur » n’a pas eu besoin « d’anti-péquisme » L’édifice était lézardé depuis longtemps : il s’est écroulé. Le grand penseur se bouchait le nez depuis Bouchard, mais il a manqué d’air. Il n’est pas plus imposant que vous physiquement, il porte casquette aux manifs par respect pour ceux qui viennent, en pleine jeunesse. Mais il a gardé son carré rouge épinglé à la porte moustiquaire… just in case…Mais tout ce qu’il craint, c’est sa cousine Christine (St-P).
Pas besoin de se saborder pour se coaliser. Mais il faut travailler sous un nouveau parapluie, au nom sans équivoque. Les mots importants : INDÉPENDANCE-QUÉBEC-RÉPUBLIQUE. Pas de temps à perdre, les Libéraux attaquent.
Souvenons-nous des ouvriers de la première heure dans la lutte pour l'indépendance du Québec: http://www.vigile.net/Non-je-ne-regrette-rien
11 juillet 2014
Appui à C.R. et surenchère sur Gaétan: Bon point, M. Marineau que de faire ressortir le désaveu des "oisifs" à la parole publique.
Et le même "grossier personnage", selon le mot de Castonguay, fait mine de changer de ton le lendemain, mais en rajoute à chaque phrase dans sa défense éhontée du ministre qu'il insultait jadis. Et ce trop bon docteur/ministre qui aime tant l'argent, vous auriez aussi pu dire que sa préparation de sortie douteuse, il l'a apprise de son actuel P.M., jadis à la santé aussi... LIBÉRAL.
10 juillet 2014
RBG,
Vous vous répétez ad naudeam, quel ennui! Gaétan dirait: Temps pour la retraite!
Vous me prêtez des intentions cachées, mais comme d'habitude, ne m'avez pas lu: j'ai déclaré que je ne voterai plus jamais pour un parti qui porterait le nom Parti Québécois. Et quelque autre nom que se donnerait ce même parti "décapité" non coalisé. Vous tentez, comme le ferait un Libéral, de ridiculiser mes métaphores, mais vous oubliez que vous m'avez qualifié de troll... Or vous agissez justement en troll dans votre panique devant l'ampleur que prend le mouvement coalitionniste. Hargneux. Vous gigotez sur le pont du titanic en faisant croire que vous êtes encore à flôt. Et vous écrivez tellement long que les mots deviennent des gargouillis dans la noyade.
Désolé mais si vous me cherchez encore... vous m'aimerez encore moins. Comme disait Castonguay, fi des grossiers personnages intolérants. Vous défendez Cloutier, après lui avoir fait sur la tête.
Basta!
Personne ne suit Ouhgo (Hugues) St-Pierre. Soyez le premier!