L'excitation est à son comble
9 mai 2007
On a retrouver ce genre de coutume chez la plupart des nations amérindienne pas seulement chez les iroquois.
9 mai 2007
On a retrouver ce genre de coutume chez la plupart des nations amérindienne pas seulement chez les iroquois.
9 mai 2007
Le vol parmi les Hurons, non seulement il était fréquent, mais on l'y regardait comme honorable.
"Chez d'autres nations, l'entrée à la bourgade d'un parti de guerre était une sorte de triomphe : le chef marchait à la tête de sa troupe, avec toute la fierté d'un conquérant; les guerriers suivaient sur deux rangs, au milieu desquels s'avançaient les prisonniers, le visage peint et vermillonné, les bras liés avec une corde au-dessus des coudes, tenant d'une main un bâton orné de plumes, et de l'autre le chichikoué. Les captifs chantaient leur chanson de mort, dans laquelle ils racontaient leurs prouesses, bravaient leurs ennemis, et exprimaient le mépris des tourments. De temps en temps, on les arrêtait pour les faire danser, et ils se livraient à cet exercice comme s'ils avaient été entourés de leurs amis (18). Ils rappelaient ceux qu'ils avaient tués et brûlés; ils n'oubliaient point de nommer les parents ou les amis des vainqueurs qu'ils avaient eu le plaisir de torturer. Ils semblaient s'évertuer à provoquer la vengeance de ceux qui allaient décider de leur sort. Cette vanité leur coûtait cher; mais les tourments les plus cruels ne pouvaient ordinairement abattre la fierté des prisonniers; au contraire la plupart paraissaient s'en enorgueillir et y trouver un véritable plaisir.
Quelquefois on les faisait courir entre deux lignes de sauvages, armés de bâtons, de pierres et de tisons ardents, et chacun s'efforçait de les maltraiter. Les captifs avaient la liberté de se défendre ; mais, liés comme ils l'étaient et accablés par le nombre, leur résistance était à peu près inutile. On cherchait à les faire tomber en leur barrant les jambes, afin de s'amuser de leurs chutes et de leurs efforts pour se relever. A certaines stations, des femmes et des vieillards les arrêtaient pour leur arracher les ongles à belles dents, et leur couper quelque phalange des doigts. La permission de faire ces mutilations n'était cependant accordée qu'à ceux qui l'achetaient par des présents offerts au maître du prisonnier. Après l'arrivée dans le village où se devait faire la distribution des prisonniers, on les introduisait dans une cabane de conseil; on leur donnait à manger, on les faisait chanter et danser. Pendant plusieurs jours, durant lesquels on les tenait dans l'incertitude sur leur sort, ils servaient de jouets à la population, et ne pouvaient obtenir un moment de répit.
A la suite d'un grand conseil où l'on prononçait sur leur sort, ils étaient conduits au milieu de tout le peuple assemblé, et là un ancien faisait connaître la décision qui avait été prise. Les uns entraient dans des familles qui avaient perdu quelques parents, et ils y étaient adoptés pour remplacer les morts; les autres étaient donnés comme esclaves aux personnes considérables de la nation, ou envoyés en présent aux peuples alliés; quelques-uns étaient réservés au feu, et devaient se résigner à mourir après avoir enduré tous les supplices que la barbarie la plus raffinée pouvait inventer." Relations de 1636
8 mai 2007
La crainte des amérindiens étaient omniprésente même Maisonneuve c'est fait traité de fou par les habitants de la ville de Québec lorsqu'il décida d'allé fondé Ville-Marie. Lorsqu'on lis les relations des jésuites, les moeurs de ces indigènes était très loin d'être rose. En France, on considérait la Nouvelle-France comme étant le pays des croix en grande partie à cause des moeurs violente de l'amérindien. Lorsque Saint Isaac Jogues témoigne de son calvaire avec eux, il décrit bien les tortures à laquelle même les enfants y participait. Le premier contact de Jacques Cartier avec les amérindiens fut de voir de son bateaux sur la plage un indien en train d'en scalpé un autre. On disait que les iroquois entrait en guerre lorsqu'il n'y avait plus de prisonnier à torturé. Ils étaient à cette époque vraiment sauvage au sens strict du terme que cela vous déplaise. Mais, on tente aujourd'hui de banalisé ces faits pour ne pas brusqué certains groupes.
6 mai 2007
M. Daviau le parti Québécois et le mouvement souverainiste est complétement coupé de son passé Français et catholique la racine même de nos origines. Il faut cessé de définir la nation en fonction d'un territoire, mais plutôt définir le territoire en fonction de la nation. Car les Francophones du Québec ont les mêmes origines que les francophones des autres provinces et des États-Unis. Il faut cessé de séparé, de découpé en morceaux la race Française des amériques. Un arbre sans racine meurt.
6 mai 2007
M. Gebello, je peux comprendre votre détachement culturel et affectif de la France et avec raison étant donné que les Français de France eux-même se sont détaché de leur passé lors de la révolution Française. Mais, il ne faut pas confondre la vision Française catholique de Saint Louis à la vision Française républicaine de Voltaire. Et cette vision Française catholique était partagé par des personnage profondément catholique comme Samuel De Champlain, Paul de Chomedey de Maisonneuve, Mgr de Laval, Marguerite D'Youville, Marie de l'Incarnation, Jeanne Mance et j'en passe.
6 mai 2007
Désolé M.Gebello, mais pendant tout le 17e siècle, il y avait en Nouvelle-France beaucoup plus de nouveaux arrivants de France que de naissance. Et lorsque que vous dites q'en 1605 "que nous avions déjà coupé les liens avec la France et avions adopté le pays et le mode de vie des Amérindiens." vous êtes dans l'erreur. Les Amérindiens était considérer par les colons comme des sauvages et non comme des amérindiens.( polygamie, torture publique, guerre constante avec les colonies, violence initiatique, mutilation du corps, etc.)
C'est plutôt les amérindiens qui ont adopté plus tard dans notre histoire notre mode de vie, le Cardinal de Richelieu avait même décrété que tout les amérindiens qui recevait le baptème, soit considéré comme citoyen Français avec les mêmes prévilèges légaux (droit à la propriété en France et etc.)
Personne ne suit Nicolas Rodrigue. Soyez le premier!