Cher Dr Khadir,
j'ai eu le plaisir de vous rencontrer une première fois à St-Julien le 22 juin 2011, lors d'une conférence que vous y avez faite. Depuis mon admiration et mon respect à votre égard n'ont fait qu'augmenter.
Les dénigreurs de tout acabit ont aiguisé leurs flèches et fourbi leur armes de démagogie contre vous. Ils vont jusqu'à s'acharner sur votre famille. J'en ai honte pour eux. En dépit de ces attaques injustes, vous demeurez digne, intègre et solidaire et c'est justement ce qui fait peur au Pouvoir Établi qui fonde ses assises sur le mensonge et les faux semblants.
Comme vous j'ai été élevée dans le respect des Droits Humains, de la Justice et de l'Équité; ma mère, la défunte comédienne Charlotte Boisjoli, a co-fondé le mouvement laïc du Québec, qui a sorti les crucifix de nos écoles, et fut membre de la Ligue des Droits de l'Homme. Elle a également fondé le Théâtre des Travailleurs dans le quartier St-Henri de Montréal.
Je suis fière de vous compter parmi mes amis, même si nous ne nous connaissons que très peu. Soyez assuré de mon soutien indéfectible.

Je suis certainement un peu naïve, car je prévois deux ou trois démissions dans le clan Libéral qui forceront des élections rapides. Les semailles du Printemps Érable nous permettrons peut-être de récolter un Pays à l'Automne... C'est mon souhait le plus cher...

Ça fait du bien de se faire secouer les puces! Merci pour ce cri du coeur. Vive le Québec Libre!

J'abonde tout à fait dans ce sens. Merci de mettre en mots ce que nous sommes nombreux à penser...

J'appuie totalement la teneur de ce texte. Comment pouvons-nous le mettre en application légalement et de manière concrète? Il y a urgence, notre gouvernement actuel est en train de brader le Pays...

Il y a longtemps que c'est un fait, l'arbre capitaliste est déraciné, quelques surgeons lui donnent encore l'apparence de la vie, mais ses jour sont comptés. C'est une excellente chose, malgré la misère que ça risque d'engendrer pour un temps. De toute façon, les pauvres eux, sont familiers avec la misère.
Pour remplacer les systèmes caducs (vous noterez le pluriel), peut-être faudrait gérer la planète comme une coopérative. Ça ne peut pas être pire que maintenant.