Comment le Pouvoir antipatriote d’Emmanuel Macron s’est constitué avec la complicité des clans islamo-socialo-écolo-libertariens, des spoliateurs de fonds publics et des traîtres transfuges de LR*
26 juin 2024
Afin de saisir les multiples enjeux nationaux de la France lors des prochaines élections législatives du 7 juillet et << présidentielle >>, dans un proche futur, il faut faire référence à ce qui suit tant au niveau bureaucratique, qu’historique :
La réalité face à ces deux affirmations (A et B)(1) concernant les intérêts qui se verront radicalement affectés par le changement historique qui pourrait s’effectuer par l’arrivée au Pouvoir de l’Alliance d’Union Nationale des patriotes le 7 juillet prochain :
A) : Thierry Beaudet, le président du Conseil économique, social et environnemental (CESE), troisième chambre de la République avec l'Assemblée nationale et le Sénat, a estimé que la dissolution avait plongé le pays << dans une crise politique et démocratique sans précédent.>>
En << trois semaines, aucune formation politique ne peut écouter les souffrances et les aspirations citoyennes, en déduire un projet solide, le confronter à ceux de ses rivaux, le verser dans le débat public, composer une liste de 577 candidats sérieux et préparés >>, a-t-il déploré.
Le cynisme de cet autre membre de la caste politique française ne peut être plus révélateur sachant que le Conseil économique, social et environnemental (CESE) n’est qu’une autre << boutique >> regroupant 175 bureaucrates furtifs ayant, entre autres, provoqué la décadence nationale et la ruine financière de la France.
Pour davantage d’information sur cette << troisième chambre constitutionnelle >> d’antipatriotes, veuillez consulter :
Conseil économique, social et environnemental
https://fr.wikipedia.org/wiki/Conseil_%C3%A9conomique,_social_et_environnemental
De plus, cette << troisième chambre constitutionnelle >> de bureaucrates furtifs faisant partie intégrante de la caste politique, avec ses conseils aux Gouvernements, les 6 millions de pauvres français recensés en 2016 sont passés à 9 millions en 2023 :
Le projet de loi relatif à la transparence, à la lutte contre la corruption et à la modernisation de la vie économique a été examiné par la commission affaires économiques entre le 17 et le 24 mai. Cette dernière a accepté un amendement inspiré de l’avis du CESE sur les circuits de distribution de produits alimentaires, rapporté par Albert Ritzenthaler (groupe CFDT) au nom de la section de l’agriculture, de la pêche et de l’alimentation présidée par Etienne Gangneron (groupe de l’Agriculture) et adopté le 11 mai 2016.
L’avis du CESE sur les circuits de distribution de produits alimentaires nourrit les débats parlementaires sur le projet de loi relatif à la transparence et à la lutte contre la corruption
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B) À l'étranger, le scrutin suscite aussi des inquiétudes.
<< Après les élections, nous verrons comment nos relations évoluent >>, a déclaré le porte-parole du gouvernement allemand Steffen Hebestreit, tout en qualifiant la France de << partenaire le plus important et le plus proche en Europe >> pour l'Allemagne.
Voici en quoi consiste ce << partenaire le plus important et le plus proche en Europe >> pour le néo-impérialisme allemand à devenir avec l’arnaque politique, économique, financière, monétaire… par la constitution de l’Union Européenne (UE) :
La deuxième moitié du XXe siècle aura été fondée sur un paradoxe. Des générations d’hommes politiques ont parlé de la << construction européenne >> mais il semble s’agir d’un objectif, comme l’horizon, qui s’éloigne au fur et à mesure que l’on avance. En fait, avec les années qui passent, on assiste à la déconstruction, à la destruction des nations, sans que rien ne vienne les remplacer. Et l’on peut même se demander, hypothèse encore plus terrible, mais vraisemblable, si << faire l’Europe >> ne consiste pas en fait à détruire les nations. L’historien allemand Rudolf von Thadden l’avait dit sans prendre de gants : << pour faire l’Europe, il faut défaire un peu la France >>.
Il vaut la peine de s’arrêter quelques instants sur une telle formule : d’abord parce qu’elle constitue un aveu. Les artisans de la << construction européenne >> veulent l’abolition des souverainetés en Europe. Ils partent d’une analyse erronée de l’histoire du XXe siècle, selon laquelle les États-nations
seraient responsables du déclenchement de la Première Guerre mondiale. Or 1914 fut d’abord un choc entre nations impériales continentales (Russie, Autriche, Allemagne) ou coloniales (France, Grande-Bretagne). En fait, l’erreur d’analyse historique camoufle une adhésion à l’idée impériale. Le chancelier allemand Bethmann-Hollweg formula, le 9 septembre 1914, le premier projet de communauté économique européenne : une union douanière, centrée sur une Allemagne victorieuse dans la guerre, allant de la Scandinavie à l’Italie et l’Ukraine à la France, préalablement privée, au profit du Reich, de ses territoires du Nord et de l’Est. Bethmann-Hollweg, aussi, pensait que pour << faire l’Europe >>, il fallait << défaire la France >>.
La compromission impériale de l’idée européenne ne s’est pas arrêtée là. L’<< Europe unie >>, fondée sur l’idée de la nocivité des nations (sauf une, le centre impérial) est une idée répandue chez les fascistes européens, durant l’entre-deux-guerres. Tandis que la Wehrmacht et la SS mettaient l’Europe à feu et à sang, le monde industriel et financier allemand posaient les bases d’une Europe économiquement intégrée, dont l’Allemagne serait le cœur. Les mêmes hommes recyclèrent leurs projets après la défaite du Reich hitlérien. Le consensus adenauerien n’est pas compréhensible si l’on ne voit pas qu’il reposa sur une rencontre entre Européens venus de la collaboration et Européens venus des milieux résistants.(2)
JLPM
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1. Les fragments d’informations A et B ont été extraits de :
Législatives en France : des personnalités réclament le blocage du RN
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/2083597/legislatives-france-debat-extreme-droite
2. Paragraphes transcrits de la Préface intitulée NOUS NE SOMMES PAS DU PARTI CAROLINGIEN du livre LA DÉCOMPOSITION DES NATIONS EUROPÉENNES, de l’union euro-atlantique à l’État mondial. Géopolitique cachée de la ‘’constitution’’ européenne