Le couperet est tombé
25 août 2010
La trajectoire politique de Jean Charest* ne pouvait aboutir qu’à ce que nous constatons aujourd’hui
Quand un mercenaire de la politique est mandaté à effectuer un travail sale, il doit, pour réussir, corrompre le maximum de personnes influentes afin d’échapper à la Justice, de manière à s’approprier en toute impunité le butin accordé.
Mais pour une fois, la concaténation de la corruption institutionnalisée du PLQ de Jean Charest a pu être dénoncée grâce à un avocat ―Marc Bellemare― qui, ne trahissant point sa conscience et respectant la déontologie de sa profession, ne veut pas être un autre mercenaire du monde judiciaire, évitant ainsi de réaliser une commande mafieuse au nom de son « parrain » politique.
JLP
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*. Pour plus d’information sur ce mercenaire de la politique, consulter Lettre ouverte à Monsieur Jean Charest (Premier ministre du Québec)
http://www.vigile.net/Lettre-ouverte-a-Monsieur-Jean,24357