Il n'y a pas que Facal...
8 mai 2013
L’obsession des socialo-communistes au Québec (1 de 2)
Comme autre exemple de ce dont le socialo-communisme a produit, l'écrivaine australienne Anna Funder a écrit « Histoires derrière le Mur de Berlin », un excellent livre dans lequel, au moyen d'entrevues avec d'anciens membres de la Stasi et d’innombrables de leurs victimes, offre une vision effrayante d'une société dans laquelle cette police secrète dépassait en nombre les membres de l’armée.
La synthèse de ce livre consiste à décrire ceci : jusqu'à la chute du mur de Berlin, la République démocratique allemande ( http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9publique_d%C3%A9mocratique_allemande ) a été présentée comme étant un modèle optimum de société. En effet, le développement industriel et le niveau de vie qu'elle avait réalisé atteignaient de meilleures cotes que celles des autres membres du Bloc de l'Est; on faisait de ce pays une sorte de vitrine du communisme dans le monde. Aussi, l’on prônait l'image qu'il n’y avait pas la moindre opposition au régime communiste, puisque, contrairement aux Polonais, Tchèques et Hongrois, les Allemands de l’Est constituaient un peuple discipliné et éduqué pour obéir et suivre les ordres. Cependant, beaucoup ignorent que durant près de quarante ans, les citoyens de la RDA étaient sous un système de surveillance totale. La responsabilité de bien assurer cette surveillance totalitaire était sous le contrôle du Ministerium für Staatssicherheit (Ministère de la Sécurité d'Etat), la Stasi pour des camarades néo-communistes d’aujourd’hui.