Pour le rapatriement des francophones hors-Québec.
28 octobre 2009
Je connais un Néo-Brunswickois qui a étudié à l'Université Laval, à Québec, et qui a décidé de s'établir ici, ensuite. Il a préféré vivre avec nous la différence québécoise, et devenir, peut-être pour la première fois de sa vie, autre chose qu'une personne appartenant à une minorité (et qui se le fait rappeller à peu près à chaque jour).
S'il y en a d'autres comme lui, qui sont loin de ne jurer que par le Canada, et qui voteraient OUI à un troisième référendum, moi, je veux qu'on les accueille à bras ouverts, pour ma part!
Les francophones ou Canadiens-français hors-Québec, avec le temps, ont développé une culture qui n'est pas tout à fait identique à la nôtre, bien sûr... Nous avons vécu séparés, depuis si longtemps... Mais ce sont nos frères! Ou sinon, nos cousins, disons. Et je serais à la fois content et rassuré, de les savoir de notre côté, dans la lutte vers l'indépendance!