L’éducation, fer de lance de la société
24 mai 2025
Voilà M. Marineau! Vous commencez à réaliser que l'Éducation doit présenter un réforme majeure.
La ligne d'autorité dont vous parlez est dangereuse à manipuler; il faut
ÉCONOMIE
Rémunération des dirigeants et exclusion des critiques
24 mai 2025
Voilà M. Marineau! Vous commencez à réaliser que l'Éducation doit présenter un réforme majeure.
La ligne d'autorité dont vous parlez est dangereuse à manipuler; il faut
24 mai 2025
M. Marineau, il n'est pas besoin de douter pour être. Pour être il faut dire NON à l'autorité qui nous en fait croire... Les menaces des religions réussissent à faire croire (et non pas douter) au paradis et la vie éternelle.
Paroles, belles paroles que savent claironner les "preachers" de toutes religions. Les partis politiques ne sont pas en reste. En cette période de l'image et des communications de tous les genres, il est de plus en plus facile encore d'endoctriner les enfants dans toutes sortes de causes. L'Éducation a un rôle cruciale à jouer auprès des enfants et adolescents afin que le doute devienne systémique en tout, surtout auprès des autorités qui ont de facto la qualité de "BONS" alors que souvent ils sont des "MAUVAIS" qui dirigent la vaste majorité vers des idoles insignifiantes.
François Champoux, Trois-Rivières
24 mai 2025
Vous l'avez dit, M. Marineau: Maurice Richard, l'homme, aura marqué la mémoire collective d'une vaste majorité des amateurs de hockey de votre génération. Il en fut ainsi pour mon père qui déclarait en 1959 à regarder aller Maurice sur la patinoire:"Il est fini!"
Quand une idole meurt, la vaste majorité de ses admirateurs doit aller se coucher afin de se reposer et se réveiller le lendemain matin pour aller gagner son pain à la sueur de son front. Les idoles, les vedettes, les sauveurs, ça n'existent pas: ce sont des personnes qui gagnent leur vie comme nous toutes et tous.
Les systèmes de fabrication des idoles, des vedettes, des sauveurs du monde ne manquent pas d'ouvrage pour nous endoctriner exactement comme le faisaient et le font encore les religions, les maîtres en cette matière.
François Champoux, Trois-Rivières
23 mai 2025
23 mai 2025
Les Québécois ont encore besoin d’un sauveur! On n’a pas mûri beaucoup; la Révolution tranquille ne fut pas très marquante sinon, les Québécois ont arrêté d’aller à la messe du dimanche de cette religion catholique et endoctrinant, et de payer leur dîme. La maturité d’une personne se confirme par sa capacité à s’assumer entièrement: s’il lui faut, rendu adulte, une béquille, une idole pour se lever le matin et aller aimer son prochain comme soi-même, il est encore un enfant qui n’a rien appris de la maturité humaine.
Maurice Richard était un joueur de gouret, un hockeyeur, rien de plus rien de moins. Si certains l’ont admiré, c’était comme scoreur pas comme québécois ni comme politicien. Nous identifier à l’autre ne nous fait pas être l’autre.
23 mai 2025
23 mai 2025
Bonjour M. Marineau,
Vous êtes très certainement une personne optimiste : croire qu’un pape réussira à faire arrêter ces guerres…
À ces conditions, nous sommes tous des papes; nous le voulons tous aussi et plus que lui.
"Paroles, paroles, paroles" chantait avec conviction Dalida il y a bien des décennies; et c’est encore la même rengaine. Ça va prendre plus que des paroles, plus qu’un sauveur du monde qui n’a rien sauvé à ce jour, sinon une croyance, une foi religieuse qui ne mène strictement à rien et nulle part.
La meilleure chose qu’aurait dû réaliser François c’est la dissolution de l’Église catholique, la fin de cette religion abêtissante et la distribution aux pauvres de ses richesses. Au Québec, les ruines des églises n’arrêtent plus de se cumuler et c’est tant mieux, car souvent, elles laissent place à des logements abordables.
L’Église a fait son temps qui fut très long; l’obscurantisme n’en finit pas de faire des siennes auprès des gens qui croient que les belles paroles d’un pape feront arrêter comme un miracle des guerres affreuses.
Il faut cesser cet angélisme qui ne permet pas de vivre en paix ni heureux et respectueux.
Au diocèse de Trois-Rivières, l’évêque cherche plus de 10 millions de dollars pour payer les abus sexuels de ses bons curés sur des petits enfants. Plusieurs villages se voient refiler l’entretien des églises par une vente-débarras (1. $) aux municipalités: St-Paulin a réalisé la passe il y a déjà quelques années, et Yamachiche a bien failli faire la même erreur sous les pressions d’une coopérative de solidarité qui voulait partir une fromagerie au sous-sol de l’église tout en rénovant aux frais des citoyens une église vétuste. C’est l’évêque qui aurait eu le dernier mot nous a confirmé le curé du village.
L’Église catholique n’a plus sa raison d’être ni plus aucune religion; les humains doivent acquérir une maturité, un réalisme aux choses de la vie, et arrêter de croire à une vie éternelle à regarder dans la gloire et la joie un dieu céleste maître de tous les diables du monde.
François Champoux, Trois-Rivières
16 mai 2025
Bonjour M. Marineau,
Alors que pensez-vous de ma réponse à votre question ouverte?
Moi qui ai cru longtemps au coopératisme vrai inventé par Dorimène et Alphonse Desjardins avant qu’il ne bifurque dans son frère de sang : le communisme actuel et ses oligarchies qui s’en mettent plein les poches au détriment des «membres» lesquels sont maintenant plus exploités collectivement que ne le sont les capitalistes ordinaires des banques?
L’hypocrisie des humains n’est pas chose animale sinon de ce seul animal plus intelligent que les autres.
François Champoux, Trois-Rivières
16 mai 2025
16 mai 2025
Bravo M. Marineau; vous vous approchez d’une vraie solution à cette criante anomie qui n’en finit plus de nous gruger et détruire comme société.
Les mots que je retiens principalement à votre réflexion sont ceux de «dialogue constructif». Le mot dialogue est majeur : «dia» qui signifie «deux», «logue» qui signifie «connaissance». L’ensemble constitue l’établissement d’un pont entre deux rives, entre deux mondes. Là où je diffère de votre réflexion est celui des deux mondes qui doivent dialoguer : l’enfant, et le maître. Évidemment, les parents doivent reconnaître le maître, ça va de soi puisqu’ils remettent entre ses mains le devoir d’instruire, d’élever l’enfant.
Qu’est-ce que l’école? «La Rome décadente de Pétrone… n’est pas la Rome de Lucrèce : elle est son antidote. Ceux qui se trouvent là vivent selon l’amitié. À Rome, on n’est pas à Athènes, on croit moins au concept idéal de l’Amitié qu’aux preuves de celle-ci. Dans cette villa (qu’on pourrait appeler UNE ÉCOLE)… c’est la pratique de la conversation philosophique, le plaisir d’être ensemble, les échanges sur les lectures… l’édification de soi par des maîtres qui élèvent leurs disciples, la joie aux repas pris ensemble, les bonheurs simples de nourritures saines, le sentiment de plénitude au spectacle pris de la vastitude de la mer dans le golfe de Naples — je l’ai expérimenté… Michel Onfray;
«La conversion; vivre selon Lucrèce»
pages 178 - 179.
Vous me direz que nous ne sommes plus là, ni à Naples, mais au Québec en 2025; je vous répondrais que l’école est un concept à faire vivre au-delà des modes et dans la réalité des choses. Ce qu’on a perdu avec trop de concepts et pas assez de preuves d’amitié et de réalité de la vie. On n’a pas encore réussi à prouver que l’école pouvait enseigner, à élever des élèves, à autre chose que la guerre, mais bien à enseigner la paix entre les humains qui doivent vivre ensemble.
J’aurai une conférence sur ce sujet le 21 juin prochain à Trois-Rivières au Festi-philo, au Musée Pop de 15 heures 30 à 16 heures 30.
François Champoux, Trois-Rivières
16 mai 2025
16 mai 2025
«Carney a rivé son clou à Donald Trump!»
Bonjour M. Nantel,
Croyez-vous vraiment à ce que vous affirmez, M. Nantel? «Carney a rivé son clou à Donald Trump!»
Le problème avec les gens qui vivent de croyances au lieu de vivre dans la réalité c’est qu’ils espèrent toujours un sauveur du monde pour vivre, vivre éternellement, vivre comme avant…, maintenant.
Aux États-Unis, les croyants qui ont voté pour Donald Trump espèrent : ils espèrent que Trump sera le sauveur de leur pays qui sera à nouveau «grand» comme avant, comme avant Biden, comme au Canada certains croyants espèrent que le Canada deviendra «grand» comme avant Trudeau.
Les États-Unis sont une puissance mondiale avec leur armée qui peut tout détruire, même le Canada, qu’il soit vendable comme il l’est depuis des siècles à ces «amariciains» acheteurs de tout et de n’importe quoi. La pauvreté des «amaricains» réside dans leur richesse (croient-ils) qui peut tout acheter, sauf la paix.
Un sauveur du monde, il y a bien des siècles qu’on a expérimenté ça et que ça n’a rien donné jusqu’à maintenant. Pas un pape n’a réalisé la paix, pas un sauveur n’a réalisé la paix : que des guerres infernales, destructives et mortifères. Si les amaricains croient encore qu’ils peuvent sauver le monde comme au temps du Vietnam et autres conquêtes déchues, ils décideront alors d’envahir le Canada qu’il soit vendable ou non. Et nous nous défendrons tels des Ukrainiennes et Ukrainiens pour démontrer à la face de ces amaricains qu’ils se sont encore leurrés avec leurs croyances du sauveur du monde.
Carney joue à se faire Trump; et Trump joue à se faire sauveur auprès des croyants naïfs qui regardent la bataille de petits coqs en espérant que leur coq gagne la partie des mots avant celle des maux. Pendant ce temps, le peuple souffre et niaise, attendant la défaite pour réparer les pots cassés.
Je demande à M. Carney d’agir intelligemment en vrai responsable d’un pays à administrer avec dignité des gens de ce pays. Administrer un pays, ce n’est pas chose facile et ça demande de la modération, de la réalité des choses et d’arrêter de vivre dans le rêve d’un sauveur comme nos voisins amaricains.
François Champoux, Trois-Rivières
13 mai 2025
13 mai 2025
L’Éducation
Bonjour M. Marineau,
Désolé encore une fois; je ne peux partager votre encensement de la réussite à l’examen de français après sept échecs. Échouer 7 fois avant de réussir est certes un exemple de persévérance de la part d’un jeune étudiant, mais ça dénote aussi un sérieux échec du système d’Éducation dans sa globalité.
Ils sont plutôt rares celles et ceux qui arrivent avec la matière et la discipline innées en leur personne : ça prend toujours un effort à l’apprentissage pour réussir et la pratique quasi quotidienne pour maîtriser un art quelconque.
L’Éducation française publique au Québec présente des statistiques lamentables comparativement à l’Éducation anglaise publique et l’éducation au privé. Comment se fait-il que nous ne réagissions pas encore depuis toutes ces alarmes qui nous sonnent aux oreilles depuis quelques décennies? Non, ce n’est plus juste le «C’était mieux avant…» qui doit nous guider; ça prend un coup de barre sérieux et vrai pour faire croître notre réel désir de bien éduquer cette jeunesse abandonnée à elle-même. Elle sera certes encore déçue de ses «maîtres» ou ses «tuteurs» dans dix ans d’ici, si nous persistons à croire qu’il faut échouer 7 fois avant de réussir. La persévérance ne doit pas se voir dans la multitude des échecs pour finalement réussir : elle doit se voir dans la volonté de réussir maintenant et bien au lieu d’attendre un sauveur qui risque de ne plus être là ni vrai.
«Qui aime bien Éduque bien.» Voilà le mot d’ordre qui devrait animer nos éducateurs d’aujourd’hui et d’hier.
J’ai connu de très bons professeurs comme j’en ai connu de très mauvais, des pitoyables, des personnes qui n’avaient tout simplement pas la vocation. Si l’état actuel de l’Éducation au Québec doit produire des humains qui échouent 7 fois avant de réussir, nous ne sommes pas loin d’avoir un état rempli d’incompétents, d’incapables, d’immatures, de non tuteurs qui savent tuteurer.
François Champoux, Trois-Rivières
12 mai 2025
12 mai 2025
Alors, M. Marineau, «le droit de grève est-il abusif au Québec?»
Je n’ai jamais été syndiqué. Ouf! dois-je confesser. La solidarité imposée: non merci pour moi.
La solidarité est un humanisme qui doit être ponctuel; jamais permanent. C’est la nature qui nous la commande et non pas un chef d’une quelconque organisation qui se veut charitable ou patronale.
Évidemment, n’ayant jamais levé de pancartes ou de cris à la justice des hommes, j’ai dû me ranger, accepter, assumer et me débrouiller. Je le confesse. Je n’en suis pas encore mort ni trop souffrant.
On m’a même reproché de manquer de respect aux moins nantis comme si j’étais un sans cœur, un parvenu, un égoïste de premier plan qui n’a de vision du monde que l’accumulation des richesses comme un vrai capitaliste sans autre ambition que de devenir plus riche, toujours plus riche, plus gros jusqu’à l’éclatement de sa panse.
Le syndicalisme est né au XIX siècle de l’abus du capitalisme et le droit de grève fut arraché de force aux puissants financiers. Mais depuis, le capitalisme a enrichi tout un chacun faisant des syndiqués (et du syndicalisme) une force qui peut à son tour en imposer à tout le monde.
Quand on impose, on ne propose plus. C’est là une lapalissade qui doit nous interroger sur le sens du droit de grève à savoir jusqu’où pouvons-nous imposer un droit acquis au prix de luttes qui deviennent maintenant plus fratricides que bénéfiques.
La justice est toujours un balancement entre le respect de soi et de l’autre. C’est l’abus qui crée la démesure. J’ai vu des travailleurs qui ne travaillaient qu’au salaire double de l’heure; plus jamais au salaire simple. J’ai entendu samedi dernier un travailleur qui clamait être écœuré de travailler 2 jours par semaine pour se reposer 5 jours, mais être content d’encaisser 1000. $ pour ses deux jours de travail.
Vous vous demandez si le droit de grève est abusif au Québec, et vous n’y répondez pas. Je vous répondrais que ce n’est pas la bonne question; il faut plutôt demander si le travail est encore compris comme la source de gagner sa vie et sa pitance pour se nourrir dans l’esprit des Québécois. Honnêtement parlant, faut-il se comparer sans arrêt et ne jamais être satisfait au nom d’une solidarité compulsive avec soi-même et les nôtres seulement?
Si je devais choisir aujourd’hui de travailler dans une organisation syndiquée ou non, je choisirais de travailler là où le syndicat n’existe pas, et je négocierais avec mon patron mes conditions de travail. Si l’entente me satisfaisait, j’y travaillerais sans regret. Quant à la solidarité, je la concevrais encore ponctuellement sans en faire une imposition à personne, sauf évidemment si la démesure (l’abus de pouvoir d’un côté comme de l’autre) devenait la mesure.
C'est quand on s'attribue des droits qu'on gagne en respect, mais qu'on perd en sens de la vie: la vie n'est pas un droit; elle est une chance à conjuguer sans en imposer. Desjardins était une coopérative née elle aussi des abus du capitalisme; aujourd'hui, les dirigeants de Desjardins abusent de la philosophie conceptuelle du coopératisme pour l'imposer au lieu de la proposer. Les exemples ne manquent pas: ils se comptent par centaines partout au Québec. C'est là un abus d'autorité qui lui sera fatal.
10 mai 2025
10 mai 2025
Bonjour M. Marineau,
Il semble que nous soyons dans un goulot d’étranglement qui persiste et augmente d’année en année: le vieillissement des «baby-boomers» cause à tous les gouvernements confondus du Québec cet étranglement de plus en plus néfaste à notre réseau de la santé. De plus, jumelé à un manque de prévision actuarielle quant à la vétusté des nos infrastructures, cet étranglement ce multiplie d’autant plus vite financièrement. C’est une croissance exponentielle du bobo à la fois démographique et financière.
Et que dire du ton utilisé pour négocier! Qui plus est sur la place publique de part et d’autre.
Le médecin de ma femme lui a annoncé, il y a plus d’un an, qu’il prenait sa retraite; elle est donc devenue orpheline. Quelques mois plus tard, la conjointe du médecin rencontrée par hasard nous annonça qu’il était maintenant devenu un médecin qui pratiquait au PRIVÉ!
Des négociations teintées de mauvaise foi des deux côtés et de corruption du système: où allons-nous avec ces gens qui doivent avoir une vocation autant du côté politique que du côté de la médecine?
Le ministère de l’Éducation devra prendre le relais afin que d’ici 30 ans, nos futurs enfants devenus adultes aient un peu plus de conscience humaniste et professionnelle afin que leur niveau de maturité atteigne une base minimum pour assurer une vraie civilité à notre peuple. Sinon, le moment attendu par François Legault depuis 23 ans deviendra une éternité… Il n’y a pas à en rire.
François Champoux, Trois-Rivières
9 mai 2025
9 mai 2025
Bonjour M. Marineau,
Qui donc a parlé de tuer une mouche avec un bazooka?
J’avoue mon ignorance : je ne pouvais pas croire que l’on tolérait les cellulaires des enfants dans les classes. Si je peux me permettre une comparaison totalement dépassée, n’est-ce pas que de permettre le cellulaire des enfants dans la classe pendant les heures de cours, c’est comme si l’on avait permis les radios transistors de chacun dans les classes d’antan, avec des écouteurs aux oreilles?
Le ministre passe d’un extrême à l’autre, comme un professeur incapable de maintenir la discipline dans sa classe : il pique une colère qui sidère tout un chacun, mais qui ne règle pas le problème de fond : la dignité du maître (le connaisseur) vis-à-vis des écoliers à instruire, à sortir de leur ignorance, vers une maturité d’être qui sauront par eux-mêmes se discipliner.
Le non-sens de la mesure fait d’elle une démesure : pourquoi les élèves ne pouvaient-ils pas déposer leur radio transistors respectif dans leur case durant les heures de cours?
Quant au premier ministre du Canada, il faut reconnaître que son idée de faire lire le discours du trône par le roi fait un pied de nez à Trump, mais en même temps au Québécois qui rejette cette souveraineté depuis des siècles. Mais le Québec est aussi un État de contradiction : il proclame sa laïcité (qui existe depuis des décennies) tout en maintenant des droits acquis à certains, en laissant les municipalités décider du bien-fondé de la prière ou non, en laissant des municipalités subventionner l’Église catholique (7 200 000. $ à la Basilique du Cap-de-la-Madeleine par la ville de Trois-Rivières sur 20 ans) (l’achat par la municipalité de St-Paulin en Mauricie de l’église vétuste pour 1.$, et la même proposition de l’évêché de Trois-Rivières à la municipalité de Yamachiche si les citoyens acceptent de rénover l’église tout aussi vétuste tout en y installant une fromagerie au sous-sol de l’église).
La contradiction des humains est une réalité millénaire; c’est Freud qui en concluait ainsi après des années d’étude sur ses travers : «L’humain est un être de contradiction.»
Trump est un obsédé qui a un pouvoir démesuré. Il est très dangereux. Tant qu’il aura le pouvoir qu’il détient, nous ne pouvons que lui opposer des stratégies et le laisser devenir incapable par la réaction de son propre peuple. C’est son peuple qui le fera devenir un rien.
François Champoux, Trois-Rivières