Traiter les immigrants comme des pommes pourries
10 octobre 2024
10 octobre 2024
Bonjour M. Danten,
Je vois que vous êtes très affecté et blessé du colonialisme d’antan; une chance que vous ne vivez pas aux États-Unis… Je respecte votre souffrance; croyez-moi, c’est sincère. Oui, je concède que j’essaie de me placer au-dessus de cette bêtise et de cet orgueil des hommes; non pas parce que je suis plus fin que les autres, seulement parce que je pense que la paix est à protéger plus que tout. Plus que tout. Je n’ai pas le monopole de la vérité; je la cherche et croyez-le bien, très modestement. La vérité est fait mal, mais je la pense plus importante que l'ignorance Je refuse les discours millénaires de la conservation de l’espèce ou de la race; n’avons-nous pas toutes et tous du sang autochtone en nous? La pureté de la race : non merci pour moi. L’utopie mondiale dont vous parlez avec beaucoup de certitude (d’une élite dirigeante), je la pense aussi du côté de ceux qui la dénoncent, n’est-ce pas?
Et je continue de penser que nous sommes toutes et tous des êtres de contradiction (Freud). Pas facile ainsi de garder la paix entre les hommes de bonne volonté que nous sommes tous.
François Champoux, Trois-Rivières