En guise de réaction aux articles de Me Cloutier
23 juin 2008
On pourrait aussi envisager de se joindre aux États-Unis, la religion catholique n’étant plus un obstacle. Là, nos industriels seraient contents à cause du grand marché.(G. Bousquet)
M. Bousquet, les États-Unis sont déjà depuis longtemps notre plus grand marché.
Mais d'où sortez-vous donc ?
Ce sont d'autres marchés qu'il nous faut, afin de ne pas trop dépendre de ce marché extérieur qui représente 85% de nos exportations.
Mais pour celà, il nous faut une structure solide, mobile, qui ne s'effritera pas une fois à l'extérieur. C'est la base des réseaux ethniques, religieux ou culturels dans la construction des institutions économiques.
C'est cette absence de structure qui fait que nos opportunités vont directement au fédéral. Que Sarkozy, la France, passe par dessus le Québec "francophone" est un parfait exemple !
Une confédération de l'État "francophone" Québec avec le fédéral n'y changera rien.