Cyberpresse Publié le 30 avril 2011 à 09h33

Engagé dans le Parti libéral depuis des années, ancien directeur des communications de Marc Garneau, M. Rivault a envoyé à des membres de la communauté grecque du Québec un courriel jugé insultant, qui a provoqué son congédiement immédiat par les autorités du parti.

M. Rivault, apparemment frustré par un mot d'ordre du Congrès hellénique du Québec de ne pas voter libéral dans une circonscription, a écrit, selon nos sources, que ceux qui ne sont pas contents devraient prendre un bateau pour retourner dans leur pays et que la communauté grecque se comportait de façon fasciste en liant vote et appartenance ethnique.

À deux jours du vote, l'ancien ministre Martin Cauchon est donc forcé de renvoyer un proche conseiller au moment où il se bat pour son retour dans une circonscription multiethnique

Les fédéralistes se disaient tres choqué quand Jacques Parizeau avait parler de l'argent et des votes ethnique ...la vérité et la réalité les ratrappent dans le détour

M. Gébé, la question n'est pas là. La faillite des banques privées a mis à la rue des milliers de travailleurs et de travailleuses. Il fallait faire quelque chose. Seuls les gouvernement souverains avaient les moyens de le faire. Le gouvernement canadien a choisi d'aider les travailleurs de l'automobile d'Ontario et non ceux de la forêt au Québec. Il resterait surtout à civiliser les banques, chose que le Québec ne pourra faire que quand il contrôlera son système bancaire.

Monsieur Rancourt,
J’ai oublié de vous informer que ce texte, mis dans la section « Tribune libre », n’est pas mon choix mais celui de l’administration de « Vigile » qui a jugé opportun de le publier séparément. Il s’agissait d’un commentaire suite au dernier texte de Pierre Schneider.

Dois-je vous rappeler que l’un des moments où l’appui à l’indépendance nationale au Québec fut le plus élevé dans les sondages ( plus de 70% ) faisant suite à la mort de Meech ? Le Bloc québécois n’existait pas, il est né de cette crise. Ce qui prouve que notre cause peut très bien se passer d’un parti à Ottawa. Et cette présence à Ottawa d’un parti souverainiste n’agit-il pas plutôt comme un tampon évitant une véritable confrontation Québec-Ottawa ? Sans donner plus d’intérêt à cette question, je me permets tout de même de la poser.

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« Quant au référendum de 1995, il nous a été volé, purement et simplement, et ce n’était pas la faute des gens du Bloc. »
Monsieur,

À ce propos, j’ai écrit ici même ce que je pensais du référendum volé et de la démission dont à fait preuve le Parti québécois, et son chef à l’époque, Lucien Bouchard, quant aux possibilités de contestation du résultat référendaire de 1995 :

http://www.vigile.net/Lucien-Bouchard-le-Conseil-Prive
Lire la partie « Du référendum volé ».

Jean-François-le-Québécois :

« Et dans le cadre fédéral actuel, est-ce que le « Rest of Canada », approuverait la création unilatérale d’une constitution québécoise ?

Si le ROC, Ottawa et Bay Street , etc, s’aventuraient à ne pas reconnaître la Constitution d’un État québécois et, à plus forte raison, issue d’une Assemblée constituante, bien il faudra porter le tout à l’attention des instances internationales.
Ce qui ne serait pas une mince tâche puisque, contrairement à une accession à l’indépendance par voie de référendum CONSULTATIF dont le OUI, sur une simple question, serait gagnant à plus de 50% et en plus avec la Loi sur la clarté référendaire, une constitution, elle, ferait l’objet d’un consensus car il s’agirait d’en appeler la population à choisir entre le BNA Act revampé par Trudeau et la Constitution du peuple québécois ; SA propre constitution.
Est indépendant le peuple qui le choisit et qui agit en conséquence. Et ça implique aussi être indépendant de TOUT parti politique, où tout autre groupe d'illuminés évidemment.
De la séparation des pouvoirs avant toute chose :

« Toute Société dans laquelle la garantie des Droits n'est pas assurée, ni la séparation des Pouvoirs déterminée, n'a point de Constitution. »

Déclaration des droits de l'homme et du citoyen du 26 août 1798, article XVI.

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Monsieur Rancourt,
« pour mieux expliquer à ses hôtes notre projet de pays » ?

Encore faudrait-il que le Bloc ( comme le Pq ) commence à expliquer le « projet de pays » aux Québécois et aux Québécoises d’abord !
Un projet de pays est sûrement la plus belle aventure d’un peuple et nous avons cette chance unique de le mettre en œuvre démocratiquement, pacifiquement et, qui plus est, par un consensus. J’en donne pour preuve les deux Commissions sur l’avenir du Québec : celle de Bélanger-Campeau suite à l’échec de Meech ( sous le Gvt Bourrassa ) en 1990 et celle du Gvt Parizeau en 1994. Deux commissions dont les conclusions étaient sans ambiguïté : la population québécoise en appelait à une nouvelle Constitution du Québec, à plus de pouvoirs, à établir un État libre de langue française. À deux reprises nous avons eu sous nos yeux le Québec s’entendre d’une seule voix pour l’émancipation de l’État québécois. J’ai ( re)lu dernièrement quelques mémoires déposés à l’une ou l’autre de ces Commissions et ils étaient en-soi de formidables œuvres de lucidité et de limpidité.
C’ est ce que serait une Assemblée constituante dont les membres, conviés à son élaboration, proviendraient non pas de la classe politique mais de la société civile. Dès lors, en participant à cet exercice, le peuple québécois affirmerait son entière souveraineté sur la chose publique, la res publica. Ce projet de pays mis en marche par la population serait, dès lors, une façon de signifier à quiconque au Québec, au Canada comme dans le monde que le Québec se prend enfin en main.
Il méritera, du coup, tout le respect qui lui revient.
Pendant plus de vingt ans pour le Bloc Québécois et quarante ans pour le Parti québécois, ces deux partis, dits « souverainistes », ont eu maintes fois l’occasion de faire la promotion de cette démarche d’accession à l’indépendance et non de traiter la question nationale à la pièce comme ils le font depuis leur fondation respective.
Pendant dix-huit ans de gouvernance, le Parti québécois a détenu tout le pouvoir nécessaire pour agir en gouvernement indépendantiste responsable. Il s’y est refusé.
Choisissant plutôt une méthode suicidaire, bancale et porteuse de traumatisantes divisions comme les deux référendums de 1980 et de 1995.
Un pays ne peut démocratiquement se faire sur une simple question référendaire. Nous sommes au 21e siècle bon sang !
Avec les nouvelles technologies à la disposition des citoyens, nous n’avons plus le droit de plaider l’ignorance.

À titre d’exemple : http://www.ababord.org/spip.php?article936

Si le Pq et le Bloc rechignent encore à prendre le virage républicain via une Constituante élue, ne serait-ce pas parce que les politiciens professionnels risqueraient de perdre leurs privilèges ? Dans le régime de monarchie constitutionnelle canadian, ils en ont tout le loisir. Comme accepter un voyage de plus de 17 500$ pour neuf jours en Israël..

En tant qu’indépendantiste et républicaine, ce genre de traitement de faveur va à l’encontre des principes républicains tels que je les conçois.
Dès lors, je ne me gênerai jamais pour dénoncer des partis qui fonctionnent sous de fausses représentations.
Contrairement à vous, je m'inscris à l'opposé de la logique électoraliste telle que pratiquée par nos élites politiciennes sans intuition, sans vision.
À l'instar des référendums péquistes, chaque élection est un moment traumatisant axée essentiellement sur le marketing politique. Seul un consensus national mérite que nous nous battions, non pour une « business électorale » à tous les quatre ans, dont le catalogue ne se limite qu'à quelques réformes sociales qu'elle ne tiendra peut-être même pas.
Notre cause transcende les partis politiques et leur logique électoraliste et combien paternaliste. Voilà ce qu'il faut comprendre, sinon, nous nous retrouverons, où d'autres générations après nous, à se disputer sur « le moins pire des partis » sans trop savoir comment se pro-jeter dans un avenir porteur de fraternité et d'émancipation.

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Lucien Bouchard qui est le fonfateur du bloc est venu ternir l'image du bloc par ses positions sur la souveraineté et sur les gaz de schiste et par ses positions sur les questions sociales .

Le bloc s'est un peu défilé en refusant de condamner Bouchard sur certain de ses propos autant sur la souveraineté qui ne serait plus nécessaire actuellement que sur la vision social de Bouchard .

Beaucoup de québécois se disent si c'est cela les bloquistes pourquoi continuer a faire confiance au bloc.
Ce sont des girouettes qui change d'otion politique comme on change de chemise.

Ce genre de girouettage au gré du vent enlève de la crédibilité et il ne sert que la cause des fédéralistes tout comme Legault sert la cause du fédéraliste Sirois qui le tiens par la main.

La confusion est de plus en plus entretenue dans l'opinion publique par de soit disant souverainiste converti au fédéralisme qui raconte avoir vu la lumiere et qui emprunte le discours social de la droite fédéraliste des libéraux et des conservateurs comme Legault et Facal le font a chaque occasion

Les positions a droite du fondateur du bloc ,Lucien Bouchard ne sont pas passé inapercu chez le bloc et dans l'opinion publique québécoise qui est en majorité contre ses positions sur le gaz de shiste et beaucoup se disent maintenant plus sur que jamais de bloquer cette droite conservatrice en allant du coté du NPD puisque la souveraineté n'est pas pour demain et dépendant de l'attitude de Layton ,les Québécois utiliseront plus tard si nécéssaire Pauline Marois avec le pq ou les fédéraliste Legault -Sirois comme contrepoid .

Quand a Bellavance c'est un scribouilleur fédéraliste et un journaleux de la machine de propagande fédéraliste de Gesca qui se prend pour un journaliste.Il gagne sa croute de cette manière tout comme la Gagnon ,Pratte,Marissal,Dubuc ,Piché et compagnie`.

Pour lui un groupe de deux lui donne l'occasion d'amplifier sa nouvelle en parlant ``des souverainistes``.

Si Radio-Canada est capable de dire a répétition en faisant du hype sur un mariage en envoyant des chiffres en l'air comme il le veule pour faire croire que le mariage royal as été suivi par deux milliards de personne alors que la plupart des humains sur la planete étaient au travail, vaquaient a leur occupation loin de la télé ou dormaient tout simplement a cause des fuseaux horaires et que les autres n'avaient pas le choix de le regarder puisque tout les postes de télé le diffusait a part le canal météo ,le seul choix qui leur restait était finalement de fermer leur téléviseur.

2 milliards bien compté par radio-Canada et un groupe de 2 bloquistes bien compté par Bellavance .

On voit de plus en plus a quoi serve ces prétendus réseaux d'information continue qui sont en fait ici au Québec des réseaux de propagande fédéraliste continue ou toute l'information est capter et controler par eux pour etre ensuite redirigé selon leur optiton politique et leur idéologie.

On vit la concentratiion et le controle de l'information a outrance et de l'unanimité d'un réseau de popagande continue a l'autre sur a peu pres toute les questions d'actualités .

Ces réseaux de propagande continue concentré entre les mains de quelque individus qui se font pompeusement appeler des réseaux d'information ne sont que des variantes moderne d'une main mise a la Gobbell's sur l'information qu'il faut controler,domestiquer et diriger vers la masse selon les vue de la classe dominante et de leur option politique .

Gobbells a compris cela bien avant Gesca Desmarais ,LCN Péladeau et Radio Canada pour museler et faire croire a la pensée unique dans l'opinion publique.

Mais les controleurs et manipulateurs de l'information que sont ici au québec ,les Gesca ,Radio Canada ,Péladeau ils ont vu venir as travers internet une nouvelle maniere de s'informer ,alors voyant pour eux le danger de perdre le controle sur l'information destiné aux masses et qui doit réféléter le point de vue du haut de la pyramide, ils essaient essaient aujourd'hui de dompter et domestiquer cette information sur internet et de la manipuler a leur profit et surtout au bénéfice de l'idéologie de leur patron qui leur demande de servir ceette idéologie en échange de gage bien rémunéré .
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devant cette menace Ils sont passé en mode adaptation ,récupération et rattrapage avec internet .

Chez Gesca ils expérimentent une nouvelle recette de controle et de manipulation de l'information que l'on peut observer et voir sur cyberpresse durant cette campagne électorale.

Radio -Canada as pondu sa subtil bousole avec un aiment fédéraliste qui vous dirige invariablement peu importe vos choix vers un parti fédéraliste et Gesca publi a pleinne page des lettres de bloquiste s'excusant d'avoir été des souverainistes et qui pour se faire pardonner incite les bloquistes a les suivrent chez le NPD ....et en prime qui vous raconte pourquoi il ne voteront plus pour le bloc ou l'indépendance.

D'autre viennent raconter presque honteux comment ils ont quitter le bloc pour le NPD ...ce parti fédéraliste ultra centralisateur qui serait devenu un gage d'espoir et de bonheur pour le peuple québécois ...ça pue la propagande fédéraliste a plein nez chez cyberpresse .ca

Cyberpresse est devenu le torchon et le bouffon par excellence pour la propagande internet anti bloc et anti indépendantiste a tout les niveaux.

Ensuite il y as le truc de la lettre du quidam inconnu qui se réclame d'un vague titre d'auteur ou d'un obscur titre des HEC joint a son nom et qui vient raconter aux lecteurs de cyberpresse comment le NPD a fait naitre en lui l'espoir du changement et d'un avenir meilleur.

De la propagande infect mur a mur en veut tu en v'la et c'est comme cela jour apres jour.

Cette manipulation de Gesca sur cyberpresse est devenu carrément obscène et d'un ridicule grotesque tellement les fils fédéralistes qui entourent leur opération de propagande fédéraliste sont visible ..du gros fil d'encre a bateau.

Un article publié par Pierre Dubuc décrit assez bien les sales méthode utilisé par Gesca et la chronologie de leur plan de match durant la présente campagne électorale .

http://www.vigile.net/Quand-La-Presse-fait-campagne-pour

Et ils ne se gènereront pas du tout de parler du droit a l'information objective apres les élections alors que leur propagande et les trucs qu'ils utilisent contre le bloc sont étalés chaque jour.

D'autre bloquistes et souverainistes viennent aussi faire leur autocritique misérablement a chaque jour sur le confessional fédéraliste de Cyberpresse.

Ce qui as donné lieu a une récupération venant de ces trust de la désinformation et de la propagande comme Gesca qui utilise la censure sur leur blog ce qui laisse a penser et croire que finalement tout le monde a l'air d'accord avec leur idéologie de droite et l' option politique fédéraliste du grand manitou André Pratte qui se déplace comme un pendule entre Gesca et les studios de Radio-Canada qui sont devenu sa deuxieme chambre a coucher ...sa chambre a coucher principale étant chez Paul Desmarais

Des gars comme Bellavance qui se disent journaliste ne sont en réalité que les excécutants salariés de cette convergence de fédéralistes qui ont comme mantra :le plus de manipulation possible,le plus de mensonges et de demi -vérités possible , le plus de confusion possible entretenu avec des types comme Bellavance qui sert de vulgaire messager et de courroie de transmission au rouleau compresseur de Gesca pour salir les indépenfdantistes et défendre les intérets et l'option fédéraliste de Gesca peu importe les moyens utilisés pour y parvenir.

Bellavance as le droit d'etre un fédéraliste mais ce que j'accepte moins c'est qu'il utilise son métier de journaliste pour combattre par la bande les indépendantistes sous le couvert de la propagande fédéraliste .

Disons que pour moi Bellavance n'est pas dans la même catégorie et la même ligue qu'un Normand Lester qui ne doit rien aux oligarchies de Paul Desmarais qui controle l'information au profit de Gesca .

Au contraire, nous allons l'appuyer tant qu'il y aura des élections canadiennes au Québec ET nous allons travailler à ce que celle-ci soit la dernière.

Mais nous pouvons toujours nous consoler parce que c'est le Québec qui est le chef d'orchestre dans cette élection-ci. Mais où tout cela le conduira-t-il ?

Pénible ! Pénible !