Quel culot!
6 octobre 2009
Quel texte criant de vérité Madame Hébert, un texte qui fait un bien fou à lire, et si j'étais ce journaliste dont vous parlez, si j'étais ce Monsieur Dubuc, si j'avais encore un tout petit peu de clairvoyance et de recul par rapport aux choses, et aux gens, d'être traité de" woix de son maître" comme nous le décrit Denis Julien de Lotbinière, me ferait tout de même un peu réfléchir et prendre un tant soit peu conscience de la réalité des choses et des énormités proférées sur votre grand Pierre Falardeau ! Faut-il être asservi pour marcher droit comme il le fait !
N'ayons plus d'inquiètude, laissons aboyer les chiens, parce qu'en effet cela sent fortement le printemps !