Le nationalisme identitaire, indispensable pour sauver la nation québécoise de souche
8 avril 2024
Après vous, M. Labrie, le déluge. Assurément.
François Champoux, Trois-Rivières
Il y a nécessité d'un retour à l'essentiel
Il y a nécessité d'un retour à l'essence du coopératisme
"Desjardins va trop loin" Claude Béland, 2011
Même l'ACI s'inquiète de cet épiphénomène
8 avril 2024
Après vous, M. Labrie, le déluge. Assurément.
François Champoux, Trois-Rivières
22 mars 2024
Bonjour M. Marineau,
Nous sommes en face de nos Goliath et nous sommes toutes et tous des David.
Le discours de la servitude volontaire d’Étienne de la Boétie (1576) me résonne encore dans les oreilles et mon cerveau…
Lord Acton a toujours raison : «Le pouvoir tend à corrompre; le pouvoir absolu corrompt absolument; les grands hommes sont presque toujours des hommes mauvais.»
L’importance de demeurer petit est à nouveau démontrée…, petits, mais alertes et vigilants.
On oublie tellement souvent que nous sommes toutes et tous imparfaits et l’on se prend trop souvent pour des surhommes. Il n’y a pas de féminin pour le mot «surhomme»! Curieux, n’est-ce pas?
J’ai eu la chance de débattre avec M. Michaud (deux fois officiellement) lors de ma participation aux assemblées générales du MÉDAC: j’avais sollicité la défense des sociétaires des Caisses Desjardins auprès de son organisme de la défense des petits épargnants. Je ne savais pas à ce moment-là que le MÉDAC était soutenu financièrement par le Mouvement Desjardins (15,000. $ annuellement à l’époque) et qu’il y avait un représentant de Desjardins sur son conseil d’administration depuis le début! Lors de ma première demande à Yves Michaud en 2007, c’était Claude Béland lui-même qui siégeait au conseil d’administration du MÉDAC. Par la suite, Claude Béland devint président du Médac, mais quelque temps après, M. Michaud a remercié M. Béland et a repris la présidence du MÉDAC! Il me l’avait personnellement confié lors d’une conversation téléphonique après que je lui eu souhaité «bon anniversaire de naissance».
L’injustice est universelle, ai-je maintenant compris; ça ne nous empêche pas de tenter de faire la justice comme nous l’a enseigné le philosophe Alain : «La justice n’existe pas; c’est pour cela qu’il faut la faire.»
Merci encore de votre courte réflexion sur cette injustice contre M. Michaud.
7 mars 2024
Bonjour M. Marineau,
Je ne sais pas si vous êtes indépendantiste ou de n’importe quelle autre allégeance politique, mais il me semble que le débat de l’indépendance du Québec n’a pas encore repris au Québec : pas vraiment.
L’astrologie est une science inexacte; il est permis de rêver en regardant les astres et un ciel étoilé, mais en politique, on est toujours très loin de la coupe aux lèvres.
J’étais indépendantiste, mais je suis devenu plus indépendant; c’est peut-être mauvais, mais quand on parle d’autonomie, il est absolument essentiel d’être indépendant financièrement que de rêver et dormir. Que voulez-vous : la réalité lors du réveil est toujours plus vraie que nos rêves les plus fous.
«À une époque où l’humanité est en flagrant besoin de repères, je ressentais de la fierté à l’idée de réintégrer Hegel au panthéon de maîtres de la pensée. Car il n’y est pour rien dans nos fausses routes, celles qui nous ont menés au nazisme, au communisme, au stalinisme, au racisme, au capitalisme… La faute revient à notre étonnante flexibilité qui, il faut bien le dire, n’est que pure passivité. En subissant docilement les événements, la flexibilité s’adapte aux mutations, aux aberrations et aux chimères les plus dangereuses que l’histoire enfante. Elle embrasse le mouvement et prend la forme de leurs soubresauts, sans aucune résistance. Telle est la direction du vent, telle sera la trajectoire de mon navire. S’il faut donc désigner un coupable quant aux tristes événements ayant marqué notre siècle, c’est bien la flexibilité et non pas Hegel qu’il faut pointer du doigt.»
Catherine Malabou, dans
«Femmes philosophes», par Maya Ombasic,
FIDES, 2023, pages 131-132
6 mars 2024
Bonjour M. Leblanc,
Je suis passablement d’accord avec vous.
J’ai vu «DUNE 1» par la force des choses : je suis membre d’un club cinéma, ici à Trois-Rivières, et l’an dernier, j’ai dû subir ce visionnement excessivement long. Une épreuve et non un délice : aucun plaisir. Un ami a dit qu’il avait trouvé ça génial, très bon, mais je n’ai pu en débattre avec lui afin de comprendre son émerveillement; il est décédé avant ce moment de discussion.
Je n’irai certes pas voir «DUNEII», je ne suis pas masochiste ni chauvin. Et il est vrai que j’ai aimé «INCENDIES»; mais je ne deviens pas un inconditionnel pour autant. Dans le passé, je me suis fait avoir par «Le Parrain III»; il faut apprendre de ses erreurs.
Vous avez fait une juste analyse. Et je vous en remercie sincèrement, car vous avez osé faire ce que la majorité des gens ne font pas : dire NON quand c’est NON.
François Champoux,
25 février 2024
Henri Marineau, 25 février 2024
Les élus doivent sérieusement s’interroger à savoir dans quelle intention première ils choisissent de se présenter à la charge d’un emploi politique: est-ce pour accomplir une tâche au service des citoyens et de l’organisation de la société à l’intérêt primordial de celle-ci ou est-ce pour la rémunération, les honneurs, le pouvoir d’être un magistrat et même le premier magistrat?
La tâche de servir est ingrate, voire vocationnelle; certains la font facilement parce qu’ils ont compris cet appel à la tâche, ce travail de donner de leur qualité d’être. Leur rémunération n’est qu’une reconnaissance de leur mérite à la mériter. Pour d’autres, c’est la rémunération qui les oblige à accomplir péniblement la tâche. Et cette tâche est celle de faire vivre la démocratie, celle d’écouter avec bienveillance, patiemment, les gens qui la réclame à leur bénéfice; et alors, l’élu doit faire preuve de discernement à savoir jusqu’où la société peut et doit aller, jusqu’où la société doit et peut aller dans sa réponse à la société "belle".
François Champoux, Trois-Rivières
25 février 2024
"Les rapports de domination sont devenus plus sophistiqués. … cyniques, mais pas moins injustes."
Gilles Verrier,
Vigile-Québec dans
«Pour une participation d’acteurs non gouvernementaux du Canada français», 17 février 2024
L’hypocrisie continue de croître au sein des rapports entre les nations; ce n’est pas ainsi entre les humains de conditions terre-à-terre. Du moins, elle est moins destructive.
Avec mes voisins, ce qui fait que la vie est belle (comprendre la paix), c’est notre respect mutuel et notre entraide ponctuelle et permanente au-delà des vicissitudes de la vie. Bien souvent, le silence aide à nous apprécier… Comme quoi, «toute vérité n’est pas à dire».
Les rapports de force ou de domination entre gens de conditions terre-à-terre (comprendre humaine ordinaire ou la vie est condamnée à la mort) n’existent pas; ce sont les autorités qui viennent briser l’harmonie au nom de la paix; résultat : les désaccords, l’antipathie, l’inharmonie, la discorde, les antagonismes, le chaos, le désordre, finalement les guerres. Comme l’a dit Saint-Paul : «On veut faire le bien, mais l’on fait le mal.»
Quand le respect de l’autre, différend de soi, ne reçoit plus l’effort nécessaire à sa fin, les moyens prennent des chemins qui biaisent infiniment et irrémédiablement les rapports humains. Les humains deviennent alors le pire animal de la planète et le plus dangereux.
Merci, M. Verrier, de votre analyse et de votre réflexion sur la reconnaissance des peuples. Il y a cependant un critère en croissance inquiétante à ne pas négliger : sur un lac, après des semaines de croissance des magnifiques nénuphars, lorsque ceux-ci couvrent la moitié de l’étendue d’eau, la prochaine étape qui le couvrira entièrement se fera dès le lendemain! Où donc se situe la planète dans sa croissance démographique?
Vivre en paix sur ce lac terrestre nous obligera de plus en plus à freiner nos élans de justice nationale, nos élans de reconnaissance des nations «premières» «souveraines» au bénéfice de nos besoins de rapports de vie belle. La part des choses ne sera pas facile à déterminer ni à faire, mais elle se devra; elle se fera encore jusqu’à la préservation de la paix au lieu de l’enfer de la guerre des nations dites «souveraines», ces plaies des peuples qui eux, aspirent à vivre, à vivre, à vivre simplement et dignement.
Le «nous» doit devenir cosmopolite; n’est-ce pas là notre principale fierté humaine qui devrait tous nous animer? Sinon, ne lâchons pas l’affrontement et que le plus fort gagne et que le plus faible perde.
François Champoux, Trois-Rivières
16 février 2024
Bonjour M. Labrie,
Enfin une analyse socio-économique pas trop teintée de racisme. Bravo!
Je vous invite à lire mon blogue http://francoischampoux.wordpress.com/ et mon texte sous le titre suivant:
Caisse d’économie solidaire Desjardins: courriel du 2 janvier 2024 au président de la Caisse
Effectivement, les entreprises qui se drapent de sauver le monde et de ne pas faire de «profit» sont de plus en plus légion pour nous arnaquer nos économies.
Et nos autorités laisse-faire; évidemment, c’est payant.
François Champoux, Trois-Rivières, Qc
16 février 2024
Bonjour M. Pierre Gouin,
Merci de votre analyse: La trompeuse solidarité humaine.
Que l’on soit pour ou contre l’immigration, celle-ci est un phénomène naturel démographique. De plus, le principal problème mondial démographique insoluble ne crée pas de richesse, mais irrémédiablement de la pauvreté. Celle-ci s’accroît et le revers de celle-ci est la violence (les guerres) pour obtenir sa part du gâteau, assouvir la faim. Les humains sont intelligents, mais sont des animaux qui ne connaissent pas la satiété.
Quand il y a épidémie de sauterelles, celle-ci s’éteint naturellement par la mort du plus grand nombre, laissant ainsi suffisamment de nourriture pour le reste de la colonie qui ne s’entretue plus, jusqu’à la nouvelle prolifération qui recréera le déséquilibre meurtrier.
L’hypocrisie humaine n’a pas son pareil : on veut faire le bien, mais on fait le mal.
La seule possibilité pour que cette hécatombe n’arrive pas, c’est la fin des naissances surmultipliées; les moyens de contraception pourraient éviter l’insoluble croissance démographique humaine. Encore là, de multiples contraintes viennent perturber le maintien de l’équilibre, une harmonie précaire. Pensons aux religions, à l’économie mal orchestrée, à la finance mondialisée et bancaire jamais assouvie de profits démesurés même pour les coopératives d’épargne et de crédit.
François Champoux, Trois-Rivières, Qc
12 février 2024
12 février 2024
Valérie Bugault
Bonjour Mme Bugault,
Je viens de lire votre présentation d’une longue vidéo de plus de 2 heures : désolé, mais je n’ai pas écouté cette vidéo.
Seulement, je voulais vous faire part de ma surprise de croire que nous pourrions nous défaire d’un système bancaire capitaliste et oligarchique. Je veux bien croire au rêve, mais je demeure réaliste.
Ici, au Québec, à la suite du XIX siècle et l’anarchisme, nous avons créé en 1900, par l’entremise de Dorimène et Alphonse Desjardins, des coopératives de services financiers : les Caisses populaires Desjardins lesquelles offraient des services bancaires d’épargne et de crédit financiers à leurs membres.
De fait, pour la modique somme de 5,00 $ souscrit pour une part sociale (c’est toujours 5,00 $ même en 2024), les membres devenaient les héritiers de leur propre exploitation financière! C’était là le génie des fondateurs Dorimène et Alphonse Desjardins : une coopérative appartient (selon les principes du coopératisme, n’est-ce pas) à ses membres, ils en sont tributaires, ont droit de regard sur son administration, laquelle est une entité de gestion démocratique où tous les membres sont égaux (un membre, un vote), et où le partage des profits (trop-perçus) doit être fait de façon équitable à l’utilisation des services de la coop.
La fondation des coopératives financières d’épargne et de crédit n’est pas exclusive aux Desjardins; ceux-ci se sont inspirés des entités existantes en Europe.
Être réaliste vis-à-vis du système capitaliste, du système bancaire ne veut pas dire qu’il faille le détruire; les Desjardins n’ont rien détruit, mais ils se sont servis de la création de la richesse en faveur du peuple. Ils ne cherchaient pas la perfection, mais une amélioration des conditions de vie des gens, une meilleure justice sociale.
Malheureusement, je vous concède qu’actuellement, le coopératisme financier a été contaminé par le capitalisme et une oligarchie profiteuse sans bon sens des retombées financières. Alors que nos dirigeants élus chez Desjardins étaient bénévoles jusqu’en 2005, ceux-ci sont actuellement grassement rémunérés à plus de 150,00 $/l’heure (plus de 100. Euro/l’heure) : ce sont les membres qui y perdent au change puisque cette rémunération fait partie des coûts de la Caisse. Qui plus est, la démocratie Desjardins est plutôt une ochlocratie où l’on vote à main levée lors des assemblées générales annuelles : annuelle! Seuls les membres présents à la rencontre annuelle peuvent voter les propositions de la direction, laquelle se vote la rémunération des officiers et la leur. Nous sommes dans l’opacité et la noirceur totales.
Et attention à celles et à ceux qui chercheront à en savoir plus ou trop ou davantage : des règlements de régie interne (RRI) implantés par Monique F. Leroux en 2010 exigent une saine conduite des membres sous la menace d’une exclusion radicale et arbitraire du conseil d’administration de la Caisse. Les RRI 4.6 (saine conduite) et 4.7 (réprimande, suspension, EXCLUSION) sont cautionnés par la Loi provinciale du Québec (L.R.Q., c. C -67.3), article 204 alinéa 1. L’infantilisation des membres et des citoyens flirtent avec les sommets d’horreurs connus sous les régimes communistes au début du XXe siècle. L’histoire tend à se répéter, n’est-ce pas?
Lord Acton ne nous a-t-il pas avertis des dangers du pouvoir absolu?
«Le pouvoir tend à corrompre,
le pouvoir absolu corrompt absolument;
les grands hommes sont presque toujours des hommes mauvais ».
Je vous remercie de recevoir avec intérêt ce commentaire à votre travail; si nous pouvions faire en sorte que le pouvoir étatique ne soit plus dépendant de la finance mondiale, nous serions certes dans un monde idéal. Entre l’idéalisme et le réalisme, je pense qu’il faut chercher une meilleure justice par un contre-pouvoir qui fait équilibrer les deux.
François Champoux, Trois-Rivières, P.Q.
8 février 2024
Bonjour M. Gabriel Ste-Marie,
Merci de vos lumières sur ce qui semble soutenir la privatisation d'Hydro-Québec.
Nous sommes tellement petits comme citoyens dépourvus de pouvoir, ignorant des vraies affaires et des vraies personnes qui nous exploitent.
Être dirigé par les gens d’à côté, c’est aussi la réalité au Mouvement Desjardins! Dire que Dorimène et Alphonse Desjardins avaient créé à bout de bras des Caisses populaires partout au Québec afin que nous nous prenions en main dans la gestion de nos finances personnelles. Afin que nous devenions autonomes, responsables, des adultes matures!
Chez Desjardins, c’est maintenant les firmes de notations internationales qui dirigent la fausse coopérative; elle continue de s’appeler une COOP, mais c’est juste pour l’image : une image vaut mille mots et ça vend tellement bien la patente.
Je vous invite très modestement à lire mon dernier texte («Desjardins exploiteur, 3 février 2024») à la suite de l’annonce de la fermeture de 190 centres de service Desjardins à travers la province qui l’a mis au monde. C’est sur mon blogue ainsi que sur Vigile Québec.
N’hésitez pas à commenter, car Desjardins fait tout pour faire peur et faire taire le monde.
François Champoux, Trois-Rivières
http://francoischampoux.wordpress.com/
4 février 2024
Le Mouvement Desjardins est sous la tutelle d'une loi provinciale (L.R.Q., c. C-67.3), alors que les banques sont sous une charte fédérale.
Les règlements de régie interne des Caisses Desjardins sont votés par les membres en assemblée générale des membres, mais sont pratiquement toujours amenés par la direction de Lévis-Montréal.
Ainsi en 2010, Monique F. Leroux a fait voter dans toutes les Caisses deux règlements, 4.6 (Saine conduite) et 4.7 (réprimande, suspension, EXCLUSION) afin de contourner les articles de la Loi sur les normes du travail 81.18 à 81.20 et 123.6 à 123.16 qui eux exigent une poursuite légale devant un juge de la Commission des normes du travail si une personne fait de la violence morale au travail (harcèlement psychologique). Desjardins applique ainsi l'article 204 de sa loi, alinéa 1 qui exige des membres de respecter les règlements de la Caisse. Desjardins devient ainsi le maître de tous les membres et c'est le conseil d,administration seul qui décide si un membre a une saine conduite; il peut ainsi l'exclure pour des motifs de mauvaise conduite à son seul jugement.
François Champoux, Trois-Rivières
3 février 2024
3 février 2024,
Bonjour M. Marineau
Merci encore de votre réflexion,
Pour ma part, je pense que ça fait plusieurs années que François Legault n’a pas les qualités pour diriger adéquatement un état; quand une personne me dit que je ne dois pas remettre en doute son intégrité, je pense que cette personne manque de jugement sur l’essence même d’un humain et du respect qu’il doit accorder à chacun : les humains ont la capacité d’intelligence, et donc autant d’honnêteté que de duperie.
L’impulsivité de François Legault fait de sa personne un trumpiste de premier choix et donc un dirigeant dangereux pour le peuple du Québec.
Surtout en politique, et à la direction d’un état, nous devons toujours soumettre nos dirigeants à la transparence sans que ceux-ci ne s’en offusquent sinon, c’est le peuple qui se soustrait à sa responsabilité de surveiller ses personnes à qui il a remis les rênes du pouvoir. Ainsi va la sécurité de la bonne gestion des affaires de l’état et de toute bonne gestion : la confiance doit toujours être en porte à faux et donc être consolidée par des mécanismes qui la soutienne. Quand ces mécanismes disparaissent, le risque de fraude se multiplie rapidement. Tous les humains ont cette faille et elle est naturelle.
Quant à votre rêve depuis 50 ans, je suis sincèrement désolé pour vous; il faut cesser de rêver et passer à l’acte si la possibilité est là. Sans la capacité de réaliser un rêve, il faut réagir de façon constructive et réaliste afin de ne pas vivre malheureux toute sa vie.
François Champoux, Trois-Rivières