Faire comme en Suisse et en... Nouvelle-France !
20 octobre 2012
Les zones inhabitées sont presqu’inaccessible et par
conséquent n’ont pas à être systématiquement défendues.
Sauf qu'il y a l'approvisionnement énergétique à assurer.
Faire sauter quelques lignes de haut voltage est trop facile.
Il faut donc assurer des dépôts secrets de carburant en régions et des génératrices pour une autonomie.
Une fois par année, à l’automne, lorsque les récoltes sont rentrées, l’État peut organiser une manœuvre générale de deux semaines sur tout le territoire du Québec.
Ce qui implique une souveraineté bien établie. Ce qui ne serait pas le cas d'un lendemain référendaire où des milices biens établies comme le BlackWatch voudraient nous faire rentrer dans le giron en assurant leur ordre.
Un corps de milice doit être organisé AVANT l'indépendance.
L'expérience acquise de ce corps devra être cloné rapidement dans chaque région.
Ou bien on encourage les indépendantistes à prendre une formation dans l'Armée Canadienne. Mais là, il faut s'organiser pour qu'ils restent dans le giron.
Le péril est de les voir partir guerroyer au Moyen-Orient ou en Iran.
Il faut se rappeler que les milices territoriales ont également servi à la défense de la Nouvelle-France, avec 150 années d’indéniables succès.
Les forces antagonistes connaissaient alors un peu plus de symétrie. La milice affrontaient des forces terrestres seulement, généralement bien disciplinées mais sans expérience de guérilla forestière. Les meilleurs succès fut d'abattre les officiers et les tambours pour empêcher la diffusion des ordres. Les rangs anglais devenaient une masse ingouvernable qui ne sut que fuir sous le feu et générer une panique dans les lignes principales. Du moins, pour la guerre de Sept Ans.
Maintenant, il faut tenir compte des drones. Un regard sur les méthodes des Talibans pour la survie serait un requis.
L'important pour la défense, c'est d'assurer que les coûts d'une conquête dépassent celles des gains de conquêtes. C'est en partie la méthode suisses. L'autre partie durant la Seconde Guerre, c'est d'offrir un parc industriel à l'abri des bombardements alliés. Il ne faut pas s'étonner de la Collaboration suisse. Quoique certains bombardements ont eu lieu en Suisse. Erreurs de navigation disaient-ils.