Du PQ au PI
6 août 2007
Si la lumière jaillit des échanges et de la discussion, il doit faire très clair à VIGILE depuis quelques semaines, entre factions rivales, autour de cette idée de former un nouveau parti indépendantiste.
Communiqué de presse
Le P.I. se donne un programme et un chef!
Sites haineux - 2007
Il faudra pousser l’enquête pour savoir QUI se cache derrière ces hideuseries aux antipodes de l’Esprit de la nation. On voit bien quels intérêts en profitent. Cela rend la chose encore moins tolérable. - Vigile
Action Nationale 90 ans
La SANTÉ mal en point - Un commissaire (Robert Salois) fait du sur-place pendant que l’Autre, le vrai (Claude Castonguay), travaille dans l’ombre... Mais de qui se moque-t-on ?
Référendum 1995
Déclaration de Jacques Chirac à CNN.
Reportage de Dominic Arpin sur le collectif Prenez garde aux chiens
Alexis Tocqueville
Nous
6 août 2007
Si la lumière jaillit des échanges et de la discussion, il doit faire très clair à VIGILE depuis quelques semaines, entre factions rivales, autour de cette idée de former un nouveau parti indépendantiste.
6 août 2007
FÉLICITATIONS M. Savard !
J'ai lu avec beaucoup d'intérêt, de plaisir et d'attention votre chronique qui est claire et pose le vrai problème de tous les partis politiques normaux, à ce nouveau parti indépendantiste projeté : Est-ce qu'il va attirer un bon nombre de votes des Québécois, considérant les limites de sa stratégie ?
J'ai l'impresson que c'est la récente déclaration de Mme. Marois sur le prochain référendum à repousser assez loin, afin d'améliorer ses chances aux prochaines élections, qui a déclenché toute cette rancoeur envers le PQ, faisant passer ses députés et dirigeants comme quasi-fédéralistes. Même M. Lévesque passe comme les autres dans la moulinette.
Penser que ça va améliorer la cause de l'indépendance ou de la souveraineté du Québec en multipliant les partis qui favorisent cette option, semble une grave erreur émotionelle causée aussi par le résultat de la dernière élection provinciale, décevant pour le PQ.
6 août 2007
"Comment ça qu’il ne restera plus rien aux Québécois ?
Est-ce que l’Alcan nous appartenait et qu’on la contrôlait plus l’an passé ?" (Bousquet)
Je suis surpris par votre ignorance du sujet, M. Bousquet. Pourtant Vigile regorge d'information sur cette vente d'un joyau stratégique québécois. Peut-être vous contentez-vous que de venir écrire.
Vous, qui nous faites des propositions pour le meilleur parti pour le Québec, ne savez même pas ce qui est rattaché à la vente d'Alcan; 32 barrages hydro-électrique ainsi que les terres et rivières qui les font produire, ainsi que les concessions sur les tarifs hydro-électriques d'Hydro-Québec pour les prochains 55 ans.
Ce n'est donc pas seulement une entreprise qui est vendue, mais une bonne partie de l'hydro-électricité nationale et territoire national. C'est pas votre Super Mario qui vous parlera de ça.
"La majorité des terres agricoles, qui ont pris tant de valeur au Québec, appartiennent toujours, en grande majorité, aux Québécois francophones, me semble." (Bousquet)
"Me semble". Vous êtes très convaincant, M. Bousquet.
Les trois quarts des terres québécoises sont actuellement en négotiation de transfert de propriété aux Innus de Betsiamite par un commité du gouvernement Charest dont le président est nul autre que le président du conseil d'administration d'Alcan, M. Yves Fortier (celui-là même qui vend aux britanniques notre joyau)! Je vous rappelle que M. Fortier est boursier de l'Université Rhodes au United Kingdom of her Majesty the Queen. "Qui est Rhodes?" vous entend-je demander. Rhodes est considéré, au Royaume Uni, comme le plus grand colonialiste britannique. Il a même eu un pays d'Afrique en son nom, la Rhodésie.
C'est pas Super Mario qui vous apprendra ça. Ni Marois d'ailleurs, car avant Yves Fortier c'était Louis Bernard qui était négociateur pour le transfert de propriété. Il serait peut-être utile de vous mentionner que puisque les Amérindiens sont sous juridiction fédérale, le transfert de propriété de ces terres à ceux-ci (terres dont habitent une majorité de "Québécois francophones") mettra en jeux toutes prétentions à quelques droits que ce soit de la part du Québec, dans l'éventualité d'un accès à l'autonomie réclâmée par le Innus.
Ce ne sera même pas mentionné dans la "constitution" de votre Super Mario, pas plus qu'elle ne l'est dans c'elle de M. Turp. Car voyez-vous, ces négotiations sont faites à l'insu du peuple qui n'a aucune voix dans cette affaire.
"Le bonheur ne saute pas automatiquement sur les peuples qui obtiennent leur indépendance totale. Demandez-le un peu aux Israéliens, par exemple."(Bousquet)
Mon cher Bousquet, l'indépendance d'Israel a été "offerte" par celui-là-même qui domine actuellement et colonise toujours le Québec. Par celui qui se vend et s'achette Alcan et nos barrages. Par celui qui nous fait payer deux milliards pour un méga hôpital aux 5% d'anglais au Québec. Et moi aussi ma liste pourrait être longue.
Vous avez bien mal choisi votre comparaison.
J'espère pour vous que vous n'attendez pas d'obtenir l'indépendance, ou l'autonomie, de la part de ces mêmes personnes.
Mais ça, Super Mario vous en parlera.
6 août 2007
Cette question revient tout le temps... Pourtant, il semble évident que, tant que l'indépendance ne sera pas faite, le Bloc aura sa place à Ottawa. Sinon, pour qui voter? Tous les autres partis sont pour le maintien du statut provincial du Québec. Avoir 75 députés fédéralistes à Ottawa permettrait encore à ceux-ci, comme en 1982, de prétendre que les Québécois sont fédéralistes, et de nous voter des lois encore plus contraignantes. Voyons, un peu mieux de jugement!
5 août 2007
M. Zach Gebello écrit : «L’autonomie de quoi, quand il ne nous restera plus rien ? »
Comment ça qu'il ne restera plus rien aux Québécois ?
Est-ce que l'Alcan nous appartenait et qu'on la contrôlait plus l'an passé ?
La majorité des terres agricoles, qui ont pris tant de valeur au Québec, appartiennent toujours, en grande majorité, aux Québécois francophones, me semble.
Et l'Hydro-Québec et Desjardins et Métro et Jean Coutu et Couche-tard et le Cirque du Soleil et Céline. J'arrête ici pour vous laisser continuer la liste. Nous avions peu de ça avant 1960.
Est-ce que vous vous sentez dominé au Québec par le ROC, M. Gebello comme un Palestinien par les Israéliens ? Nous avons le droit de vouloir changer notre constitution mais il n'y a pas de solution miracle. Les souverainistes, les autonomistes et même les fédéralistes ont droit à notre respect et à une certaine forme d'honnêteté intellectuelle jusqu'à preuve du contraire.
Il y a du bon dans chaque option. Les Québécois vont choisir ce qui leur semble la meilleure chose à faire et, quelque soit ce choix, je vais m'en déclarer satisfait. Je fais confiance à notre intelligence collective. Je ne passerai pas ma vie à me "pomper" sur mon sort de martyr constitutionnel qui me semble bien loin de la réalité canadienne.
Depuis que le Gouvernement Lesage et, principalement, celui de M. Lévesque a réussit tant de bonnes choses, je suis beaucoup moins "pompé" sur le besoin de séparer le Québec du Canada. Pour me repomper un peu, je dois alors relire les évènements de 1837/38 ou la vie de PET Trudeau ou de Jean "que voulez-vous" Chrétien.
On est pas mal loin de ça quand je pense aux indépendantistes qui décrient maintenant la souveraineté-association et la souveraineté-partenariat comme des genres d'entourloupettes ourdies par les chefs du PQ. Ils semblent ne vouloir que la souveraineté pure pour le Québec sans trop évaluer les problèmes de partition, d'indiens fédéralistes, de monnaie...nommez les.
Le bonheur ne saute pas automatiquement sur les peuples qui obtiennent leur indépendance totale. Demandez-le un peu aux Israéliens, par exemple.
5 août 2007
"Rédiger et adopter la constitution du Québec pour affirmer notre identité et nos valeurs dans une démarche non partisane, démocratique et consensuelle." (Gilles Bousquet)
Il attend quoi Dumont pour la rédiger cette constitution qu'il nous propose? Qu'on le porte au pouvoir?
Qu'a t'il contribué à l'ébauche constitutionnelle non-partisanne de M. Turp? Rien.
Il ne semble non-plus s'inquiéter de la vente des ressources et actifs québécois à des intérêts étrangers. So much pour son "autonomie"!
De belles paroles, de belles promesses, de beaux projets d'autonomie virtuelle sur du beau papier parchemin qui n'auront aucune force légale. Rien de concret.
Des bouts de papiers et des bons voeux à la Marois.
L'autonomie de quoi, quand il ne nous restera plus rien?
5 août 2007
"Est-ce que vous iriez jusqu’à voter pour un parti de droite qui serait le seul à vouloir la souveraineté du Québec ? Dur à dire."(Gilles Bousquet)
Comment un parti de droite pourrait'il être souverainiste?
L'indépendance nationale, d'un peuple, est d'un esprit collectif et non individuel. L'esprit de la droite privilégie la liberté individuelle contre l'État interventionniste et en faveur de la mondialisation. C'est l'indépendance du corporatif sur les ressources du collectif.
Le gouvernement libéral-conservateur de Charest laisse le corporatif étranger s'accaparer d'une grande partie du territoire collectif québécois ainsi qu'une partie importante de l'industrie hydro-électrique collective québécoise par la vente d'Alcan qui fera des profits reccords quand bientôt la Chine manquera d'aluminium.
Vous avez entendu un seul mot, une seule protestation, de la part du Bloc?
Moi pas.
Le PQ dit même que c'est une bonne chose.
Il y a une sacrée différence entre vouloir et agir.
Je préfère voter pour celui qui agit en faveur de l'indépendance que pour celui qui se contente d'en faire une promesse ou un voeux.
4 août 2007
Je réclame, au nom des Québécois séparatistes qui ont aidé M. Trudeau à se faire élire, par leur seule existence, d'avoir l'exclusivité de détester notre ex-P.M. Trudeau qui est un gars de chez-nous.
Que l'ouest canadien se trouve donc du monde dans leur coin pour faire une "détestation" régionale et lâchez nos vedettes politiques nationales qui aimaient bien nos défilés de la Saint-Jean, électoralement parlant.
4 août 2007
Vous avez tout à fait raison monsieur Bousquet. Il est clair que je suis un
social-démocrate et que si je n'étais pas indépendantiste, je voterais
pour Thomas Mulcair qui me semble le meilleur candidat fédéraliste en
lice. Vous voyez comment le débat sur la souveraineté nous prive de gens
exceptionnels qui mériteraient d'être élus soit à l'Assemblée nationale
comme à la Chambre des communes. Cela nous prend une énergie folle. Ça nous
épuise à la longue!
Permettez-moi de vous tirer un peu la pipe. Quelle différence y a-t-il
entre les gens de gauche et ceux de droite? Les gens de droite ont des
intérêts; les gens de gauche ont des convictions. Sans rancune!
Bon, je suggère de mettre fin à ce cercle vicieux en fondant un nouveau
parti dont la seule loyauté irait à l'édification du pays Québec. Je pense
qu'on peut se mettre d'accord. Non?
Il sera toujours temps de relancer les hostilités un coup l'indépendance
réalisée. Personnellement, je n'aurais aucune difficulté à militer avec des
gens de droite et de centre pour faire du Québec, mon pays. Pour cela, il
nous faut un nouveau véhicule et ce nouveau véhicule, c'est le Parti
Indépendantiste. Je vous y invite!
Denis Julien, Lotbinière
4 août 2007
M. Denis Julien Lotbinière écrit : «Si je demeurais dans Outremont, j’ai le regret de dire à mes amis péquistes que j’accorderais mon vote et cela sans hésitation à Thomas Mulcair parce que lui, c’est très clair dans sa tête. Il est un véritable social-démocrate.»
Est-ce que vous êtes plus social-démocrate que souverainiste parce que M. Mulcair est un véritable fédéraliste. Il ne va pas travailler pour réaliser la souveraineté du Québec ni le N.P.D.
Comme Québec-Solidaire qui est plus socialiste que souverainiste.
Est-ce que vous iriez jusqu'à voter pour un parti de droite qui serait le seul à vouloir la souveraineté du Québec ? Dur à dire.
C'est en se posant ce genre de questions qu'on se comprend mieux.
La place du Québec en dedans ou en dehors du Canada est une chose le choix de société en est une autre. Si les deux sont menés de front dans un même parti, il va perdre plusieurs joueurs.
Est-ce qu'il y a peu de gens de la droite à être souverainiste parce que le PQ était de gauche ou le contraire ?
Quelque soit la tendance des Québécois, faites de votre mieux pour ne pas trop vous en faire avec la politique et les choix constitutionnels des Québécois. Ça ne mérite pas qu'on déchire notre chemise en privé ou en public, principalement quand il fait beau.
4 août 2007
Merci monsieur Les Sieur pour vos bonnes paroles et surtout pour votre grande lucidité.Je vous invite à vous joindre au nouveau parti inépendantiste qui se forme actuellement dans la joie et le plaisir.
Comme vous avez raison de parler de l'endoctrinement péquiste. En effet, j'avais réalisé au cour des dernières années la partisannerie malsaine qui animait de nombreux militants du vieux PQ. Il était devenu impossible de rendre à César ce qui appartenait à César. On se faisait rabrouer dès qu'on soulignait de façon objective les bons coups de nos adversaires ou la compétence d'un tel. On se rendait bien compte qu'hors du PQ point de salut! Tout le monde était con sauf nous. C'est cette mentalité qui devenait insupportable à la longue. Lorsque j'ai quitté mon poste à l'exécutif de Lotbinière, j'avais la nette impresion que le parti était devenu une espèce de secte. Pas le droit à la différence, pas le droit à la dissidence. Nous étions devenus exclusivement des ramasseux de fric.Au fait du fric pour qui, du fric pourquoi? Ca fait au moins une décennie qu'il ne se fait plus d'action politique au PQ.
Je pense qu'Outremont va nous réserver une méchante surprise. Il y aura des matins qui chantent.Lorsqu'on nous dit depuis des lustres que le Bloc défend les intérêts du Québec à Ottawa. Je crainds fort cette fois-ci que ce soit le candidat du NPD, monsieur Mulcair qui est les mieux placé pour défendre ces dits intérêts. En tous les cas et au risque de me faire taxer de traître. C'est tellement facile ça pour les péquistes par les temps qui courrent. Si je demeurais dans Outremeont, j'ai le regret de dire à mes amis péquistes que j'accorderais mon vote et cela sans hésitation à Thomas Mulcair parce que lui, c'est très clair dans sa tête. Il est un véritable social-démocrate. N'a-t-il pas démissionné de son poste de ministre d'un gouvernemt libéral/conservateur? N'est-il pas un vrai écologiste? N'est-il pas un vrai pacifiste? Voilà ce que je veux dire lorsque je déclarait au début de ce bilet, qu'il faut rendre à César ce qui appartient à César!
J'ai vu dans VIGILE ce matin qu'un collectif s'est formé dernièrement pour essayer de réformer le PQ de l'intérieur.Enfin, voilà des gens qui reconnaissent que plus rien ne va et que contrairemet à plusieurs il est faux de prétendre que tout va bien madame la marquise. C'est tout à leur honneur par contre il est trop tard!
En terminant mon cher monsieur Bousquet, je pense que plusieurs lecteurs de VIGILE brûlent de savoir qui vous êtes. Vous rappelez- vous de la maxime qui servait de marque de commerce de la compagnie RCA Victor? On y voyait un petit chien assis sur son arrière-train, regardant l'intérieur du cornet d'un gramophone.Que disais le texte? Ah! mon cher Bousquet, vous voyez bien où je veux en venir.On pouvait y lire:"His master's voice." On pourrais commenter cette phrase par l'adage français suivant:" Dis-moi qui te finance; je te dirais qui tu sers."
Qui êtes-vous monsieur Bousquet? Faites-vous partis de ces éteignoirs péquistes qui nous empoisonnent depuis 1995. Ces gens du national qui nos démobilisent et nous démotivent. Cet apparachick qui a presque réussi à momifier et à stériliser le mouvement souverainiste tout entier. Au risque de me répéter, je disais dans une de mes interventions sur VIGILE à quel point je ne m'étais jamais autant senti cliniqueemnt mort qu'en militant au PQ ,ces trois dernières années. Vous ne pouvez savoir à quel point je revis avec ce nouvel espoir porté par le PI.
Alors pour en revenir à nos moutons, qui êtes-vous monsieur Bousquet? Au fait,vous avez parfaitement le droit d'être péquiste. C'est tout à fait légitime. Je ne vous dédis pas ce droit.Par contre, plusieurs militants souveranistes en ont ras-le-bol .
Denis Julien Lotbinière.
4 août 2007
M. Denis Julien Lotbinière,
À part votre terme : "la mauvaise foi la plus crasse", je suis assez d'accord avec votre réponse à ma question sur l'attitude à avoir face au Bloc Québécois qui est devenu officiellement un parti politique lors de son congrès de fondation, le 15 juin 1991. "il y a plus de 16 ans maintenant".
Je vais même dans le même sens et, peut-être, un peu plus loin que vous sur le danger de participer, pour des souverainistes, à la gouverne de l'état canadien, que ce soit au niveau fédéral ou provincial. Je crois fermement que les nombreux succès du gouvernement du PQ, sous la chefferie de M. René Lévesque, ont nuit à la cause de la souveraineté. Chacun de leurs nombreux succès a enlevé de la frustration chez les Québécois francophones, principalement la loi 101 même si son application a depuis été limitée. On pourrait continuer avec la mise sur pied de la caisse de dépôt des succès économiques de Métro et de Desjardins etc...sans compter l'excellente précédente nationalisation des compagnies d'électricité tirée par M. René Lévesque et endurée par M. Lesage.
En aidant autant le Québec, à l'intérieur du Canada, M. René Lévesque suivi de près par M. Parizeau, ont, de bonne foi, nuit à la cause souverainiste du Québec parce qu'ils ont "dépompé" beaucoup de souverainistes qui se sentaient plus colonisés à l'intérieur du Canada.
Est-ce que le désir de Mme. Marois de gouverner le Québec à l'intérieur du Canada pendant plusieurs autres années va finir le travail de conforter les Québécois ? Bien malin qui pourrait le dire.
Entre-temps, est-ce que ça va aider la souveraineté que les souverainistes votent contre un candidat du bloc ou qu'ils s'abstiennent, ce qui revient un peu au même, vu qu'il est écrit qu'ils n'ont pas d'affaire à Ottawa et qu'ils y sont même dangereux pour la cause ?
La chose n'est pas si facile ni aussi claire que vous l'écrivez M. Lotbinière.
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!