La preuve: le persiflage de notre ami fédéraliste Georges Paquet
30 avril 2010
L'arriviste loyaliste, il est parti !!! Il ne pourra pas se retenir et montera à bord du train pour se faire une place en première classe.
Le nouveau record risque d’être battu au cours des prochains mois
Fondation Rivières
Le remplacement de deux navires coûtera 1,5 milliard de plus que prévu
Signez la pétition
30 avril 2010
L'arriviste loyaliste, il est parti !!! Il ne pourra pas se retenir et montera à bord du train pour se faire une place en première classe.
30 avril 2010
Cinquante ans vécus dans l'errance !
Lorsque j'ai commencé à militer en 1959, il avait été question de la République, de la République de la Laurentie. Nous avions la conviction profonde qu'il fallait une cassure définitive avec la monarchie et tout ce que cela comportait et comporte encore, autrement nous nous retrouverions dans les mêmes labyrinthes. C'est bien ce qui s'est passé.
Puis il y eut un peu comme aujourd'hui des errements, des discussions sur les différents partis politiques possibles, sur la droite, la gauche, etc... Finalement c'est le PQ et son chef qui l'ont emporté et ils en ont profité pour enterrer définitivement l'idée de la République. J'espère qu'un jour l'Histoire réglera ses comptes avec cette période de détournement de l'indépendance du Québec.
Bien des gens ces temps-ci se demandent quel projet soulèverait les passions au Québec, créerait de l'espoir chez les jeunes Québécois. En voilà un !
Mais, il est un peu tard pour moi...
30 avril 2010
Denis Julien - :
« S’est constituée depuis 40 ans, une genre de mafia institutionnelle (PQ,SSJB,MNQ-CSQ et Bloc) de la mouvance souverainiste. Hors d’eux point de salut ! Tout ce qui vient de l’extérieur d’eux ne vaut rien ou si peu. C’est la raison pour laquelle s’est créé des dizaines de groupuscules de gens qui en ont marre !
Oui la convergence arrive mais il y en a qui devront prendre leur trou ! »
Enfin un brave militant qui ose nommer et dénoncer ceux qui ont fait et font encore de notre noble cause, leur PME : « Souveraineté inc. », et qui n'ont visiblement pas avantage à faire aboutir le projet de pays car trop avantageux pour leurs intérêts personnels.
Bravo M. Julien !
Danièle Fortin
30 avril 2010
comment une personne si généreuse peut-elle éprouver un tel mépris condescendant?
Puisque votre texte continue d'apparaître dans les textes les plus lus des 30 derniers jours et qu'il sera lu jusqu'au 16 mai, je me dois de vous répondre en commentaire à votre texte même si je vous ai déjà répondu en texte principal sous le titre: Impossible de ne pas répondre au mépris condescendant d'Andrée Ferretti. Ma réponse est modifiée.
Andrée Ferretti, en écrivant: Assez! Le Hir m'irrite et Barberis me barbe, vous êtes en double flagrante contradiction, car en intervenant, vous prolongez un débat que j’avais décidé d’arrêter et vous portez un jugement mesquin sur 45 ans de militantisme en faveur de l’Indépendance, ce qui est un accroc à la générosité permanente que vous vous attribuez généreusement. Je n’ai pas besoin de votre bénédiction pour continuer à essayer d’être utile. Vous montrez un certain autoritarisme que je trouve du plus haut comique parce qu'il est ridicule. On bascule tout coup dans Molière et dans les Femmes savantes. Philaminte, sors du corps d'Andrée Ferretti.
Ce qui vous barbe, ce ne sont pas mes réserves quant à M.Le Hir. C'est que j’ai fait l’erreur d’affirmer mon ouverture par rapport à la conception de la religion de votre fille Lucia vous mettant ainsi dans l’embarras et j’ai eu l’audace de contester les violences verbales de votre idole et éditeur Victor-Lévy Beaulieu sur la religion et les Eglises, ce VLB avec lequel vous partagez la désagréable habitude de porter des jugements moraux sur tout le monde, comme on le voit dans le livre de VLB sur Joyce, un auteur qu’il passe son temps à juger moralement, le traitant, de mauvais fils, de mauvais père, de mauvais mari, de mauvais amant, de mauvais emprunteur d'argent et peut-être même de mauvais Irlandais, le seul statut trouvant grâce à ses yeux étant celui d'écrivain. Malicieuse, ma femme Marcelle Viger dit que VLB se blâme lui-même en blâmant Joyce.
J’ai ensuite défendu Pauline Marois contre les attaques déplaisantes et machistes de Richard Le Hir qui l'a traitée, à propos de son affirmation que Charest faisait de la diversion avec sa commission Bastarache (ce que tout le monde admet aujurd'hui sauf les Libéraux)) de chochotte qui tient des propos qui ressemblent à des niaiseries de garderies puis de pusillanime en prévision du refus de la chef du Parti québécois de la fuite en avant qu'il se préparait proposer. C’est un crime qui ne se pardonne pas.
Puisque vous me traitez de vieux coq, je serais tenté de vous traiter de vieille poule mais je ne le ferai pas par respect pour votre engagement militant, respect que vous n'avez pas envers moi sans doute par ignorance. Il est vrai que je ne fais pas partie de votre fan club et que je ne me vante pas vaniteusement comme vous d'avoir des correspondants, des relations et des admirateurs inconditionnels comme René Marcel Sauvé dont l'intervention est la plus faible qu'il m'a été donné de lire de lui sur Vigile, lui qui nous avait habitué à de la hauteur et de la pertinence.
Je vous remercie de m’avoir donné l’occasion de vous parler sans complaisance. Ça a été plus fort que vous hein, il vous fallait tenter de me varloper. Vous cherchiez l’occasion, admettez-le. Pour les raisons que j'ai données plus haut et non à cause de mes désaccords avec Richard Le Hir qui vous ont servi de prétexte. Quand aurez-vous l'honnêteté intellectuelle d'admettre les motifs réels de votre intervention? Ayez donc l'honnêteté d'admettre qu'en envoyant à Vigile le texte de VLB sur la laïcité et en contestant son rejet total de la religion et des Eglises (toutes des salopes...), je vous ai contrarié dans votre entreprise de marketing. Bien involontairement, d'ailleurs.
En conclusion, cessez de vous ridiculiser en disant "douter" que je sois un vrai militant de l’indépendance du Québec. Je n’attends pas de vous une médaille de militant, je n’en ai pas besoin et je n’en veux pas. Ma conscience me suffit. Et mes états de service.
aire de repos
Dans les Femmes savantes de Molière, Henriette dit à propos de sa mère Philaminte:
C'est elle qui gouverne, et d'un ton absolu
Elle dicte pour loi ce qu'elle a résolu.
Chrysale, le mari, à propos de sa femme Philaminte, disait sans exagérer mais avec humour:
Pour peu que l'on s'oppose à ce que veut sa tête,
On en a pour huit jours d'effroyable tempête.
Elle me fait trembler dès qu'elle prend son ton;
Je ne sais où me mettre, et c'est un vrai dragon.
Robert Barberis-Gervais, Marie-Victorin, 30 avril 2010
30 avril 2010
Là je trouve que vous avez une bonne idée.
Il faut mobiliser les gens maintenant et annoncer nos couleurs. Plusieurs d'entre nous pourraient faire des forums communautaires dans chaque régions, ouvrir des Cafés politiques comme il y en a dans les milieux étudiants de ma région, créer une journée par semaine pour faire avancer l'idée de l'indépendance et créer un média écrit national pour informer les gens sur toutes les mesures mises en oeuvre.
Il faut s'activer maintenant et arrêter d'en parler juste entre nous.
30 avril 2010
Le Canada et le Québec ne semblent pas intéresser aux rôles qu'ont joué les agences de notations dans la crise
.....
"Les agences de notation se trouvent déjà dans le collimateur des autorités européennes et américaines, officiellement engagées dans la réforme du système financier "
(...)
"... leurs détracteurs appellent à la réforme des agences sur la base de deux principaux arguments: leur méthode de notation est trop opaque, et il existe un risque de conflit d'intérêts dans la mesure où elles sont payées par des clients dont elles notent les produits.
«C'est comme si une des parties d'un procès payait le salaire du juge, ou si, dans une compétition, une des équipes payait le salaire de l'arbitre», a résumé la semaine dernière le sénateur américain Carl Levin, lors d'une audition au Congrès sur leur rôle dans la crise de 2008.
(...)
http://lapresseaffaires.cyberpresse.ca/economie/international/201004/30/01-4275911-les-agences-de-notation-encore-montrees-du-doigt.php
JCPomerleau
30 avril 2010
J'ai l'impression que vous allez lancer un jour un pavé dans l'édition avec un livre qui se situerait entre ''La charte des droits et libertés: la judiciarisation de la politique au canada'' de Michael Mandel et quelque chose dans la façon de ''History of the Supreme Court of the United States'' de Gustavus Myers (auteur que nous a fait connaître Pierre Falardeau dans sa conférence à l'UdeM). Un livre qui serait non seulement un grand succès de librairie mais une aide indispensable à notre libération et peut-être bien sûr à d'autres.
Ou un collectif avec d'autres personnalités indépendantistes du monde du droit au Québec annexé à Ottawa ?
En attendant ou sinon je continuerai de lire ici, bien entendu, sur Vigiles, vos admirables textes sur l'horrible univers du droit dans la colonie du Québec.
Merci infiniment
François Therrien
30 avril 2010
Le seul clivage gauche/droite est celui des extrémistes gauche/droite. Il est minoritaire.
Les extrémistes sont minoritaires.
La majorité est cappable de mettre de l'eau dans son vin dans l'intérêt fondamental de la nation québécoise.
Loyauté à la nation québécoise. C'est la seule valeur qui compte en ce moment.
30 avril 2010
Bravo pour cet article constructif.
Je suis en accord avec l'importance de clairement construire une ébauche de ce que sera un Québec indépendant, sa constitution et de la mise en oeuvre pour y arriver.
En effet, lors de mes discussions avec des concitoyens à savoir ce qui les fait hésiter à être en faveur de l'indépendance, les raisons que j'entends le plus souvent sont:
o. De savoir concrètement en quoi rapatrier les compétences fédérales améliora la situation actuelle du Québec et dans le futur.
o. Qu'ils perçoivent qu'ils n'y a pas de plan/feuille de route claire, explicite et crédible pour la mise en oeuvre du changement d'une province à un pays au lendemain d'un oui.
o. Ne détestent pas l'idée de l'indépendance mais associent cet idée au PQ et comme ils n'aiment pas le PQ pour diverses raisons, en viennent à être contre par association. Certain en viennent pratiquement à penser qu'au lendemain d'un oui, il n'existera que le PQ comme formation politique, mais on ne peut pas trop blâmer leur ignorance car en effet il n'y a jamais eu d'ébauche feuille de route claire pour expliquer chronologiquement ce passera au lendemain d'un oui.
Je suis donc daccord pour cette démarche proposée mais en ajoutant ceci:
1. Bien que je mentionne des exemples ci-haut, faire un sondage/étude pour connaitre les divers facteurs ou raison faisant en sorte que les Québécois (en particulier des francophones) sont contre la souveraineté. Cela afin de correctement s'attaquer à ces obstacles
2. Procéder avec "l'assemblée constituante" proposé ci-haut par M. Le Hir afin de faire l'ébauche de ce que sera un Québec indépendant
3. Communiquer clairement et explicitement cette ébauche de constitution d'un Québec indépendant à la population. (ex. site web, pamphlets informatifs, annonces publicitaires dans divers médias...) Voir lien ci-bas pour plus de détails
4. Permettre l'appropriation de ce projet par la population en créant le débat et en recueillant leurs commentaires pour faire une amélioration continue de l'ébauche du Québec indépendant.
5. Une fois que l'ébauche du projet du Québec aura un support suffisant de la population via sondage et que l'ébauche de la feuille de route pour y arriver sera claire et crédible, la il sera opportun de débuter la démarche référendaire qui s'avérera la bonne.
30 avril 2010
Je me permets de référer les lecteurs et lectrices à un très bon article du Monde Diplomatique qui vient tout juste d'être mis en ligne...Il vient renforcer ce à quoi les interventions de M.Charbonneau essaient de nous sensibiliser de plus en plus.
http://www.monde-diplomatique.fr/carnet/2010-04-30-Crise-financiere
30 avril 2010
Qu'entendez-vous monsieur Gendron par les gros ''égos''?
Si vous me parlez de tous ceux et celles qu'on voit années après années dans le mouvement souverainiste, les opportunistes et les carriéristes qui se servent de la politique pour faire avancer leur carrière personnelle. Ceux et celles qui font partie du problème en se donnant des médailles du patriote de l'année et autres souveraineux de service, je suis d'accord avec vous.
Par contre si dans votre esprit, les gros ''égos'' sont les militants de la base qui essaie de sortir du cul-de-sac d'une démarche perdante qui dure depuis plus de 40 ans, là je ne marche pas avec vous. Tous ces gens qui se questionnent de façon courageuse et honnête. Tous ces gens qui investissent temps et argent pour faire avancer le débat et qui refusent d'entrer dans le moule officiel des institutions souveraineuses reconnues, je ne marche pas non plus avec vous.
Je le dis et le répète depuis des années que pour sortir de cet ancien paradigme; ça nous prend du sang neuf et il y en a.
S'est constituée depuis 40 ans, une genre de mafia institutionnelle (PQ,SSJB,MNQ-CSQ et Bloc) de la mouvance souverainiste. Hors d'eux point de salut! Tout ce qui vient de l'extérieur d'eux ne vaut rien ou si peu. C'est la raison pour laquelle s'est créé des dizaines de groupuscules de gens qui en ont marre!
Oui la convergence arrive mais il y en a qui devront prendre leur trou!
29 avril 2010
M. Lapointe, vous avez raison c'est au juge en chef de faire ça. Et le premier ministre, pas plus d'ailleurs que son ministre de la justice, n'ont à se mêler de la nomination des juges. On voit ce que le copinage fait à Ottawa et à Québec.
(A) Le MODE DE FORMATION ET DE NOMINATION DES JUGES : Ici d'importants changements s'imposent pour éviter toute suspicion qui puisse entacher la crédibilité du système de justice. L'importance de la fonction de juge requiert une formation spécifique qui le dissocie de la profession d'avocat. Dans la santé, se sont développées des professions complémentaires et indépendantes; médecine, pharmacie, dentisterie, optométrie, toutes enseignées dans des facultés distinctes.
(B) DIVISER LE BARREAU EN 2 ENTITÉS DISTINCTES : Une chargée de la protection du public et l'autre de la promotion de la profession d'avocat. Le problème de l'autorégulation des professionnels» par leur corporation est patent. La «suspicion» de conflit d'intérêt persistera aussi longtemps qu'il n'y sera pas remédié. Au Québec, ce départage de responsabilité fut réussi en pharmacie il y a plus de 40 ans.
Frs Beauchemin.
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