KISS comme le disait M.Pierre Péladeau
4 juin 2010
Même si on appliquait la loi 101 et la clause nonobstant, je vois pas pourquoi les Québécois se priveraient d'apprendre l'anglais. Au lieu de donner 45 milles dollars par année, les parents qui veulent un enfant bilingue n'ont qu'à l'envoyer dans une école d'immersion anglaise durant les vacances d'été et leur faire écouter quelques émissions de télé en anglais, ça leur coûterait moins cher.
Tout le monde peut apprendre l'anglais n'importe quand pour le parler sans passer par l'école régulière et sans toujours dépende de l'État.
C'est une minorité qui veut contourner la loi 101, pourquoi se mettre à genoux pour eux? Arrêtons de se faire une urgence d'apprendre l'anglais, c'est la langue la plus facile à apprendre et à n'importe quel âge et ce ne sont pas tous les Québécois qui en ont besoin ou qui veulent l'apprendre. La meilleure façon de se faire assimiler c'est de se sentir coupable de ce qu'on l'on est.
J'aie appris l'anglais par mes propres moyens et je sais très bien l'écrire et le parler quand c'est nécessaire. Au primaire les enfants ont d'autres choses à faire que de se faire écoueurrer par une autre langue, déjà que l'adaptation est difficile à l'école elle même.