Le PLQ encore en mode « damage control »
10 décembre 2010
Et j'espère que Marineau débalera son sac, avant que les libéraux lui arrachent des mains, pour aller l'enfouir aussi profondément que les gaz de schiste qui les rendent malades d'avidité !!!
Liberal leadership candidate says you cannot be 'half-pregnant' on unity
Gouvernance souverainiste ?
Pamphlet sur le résultat des rapports entre les membres de l’OIQ et la corruption
Référendum sur l'appartenance à l'UE
L'état de l'économie albertaine
«La France doit se protéger davantage du monde d'aujourd'hui»
Hydro-Québec
«Or la crise n’est pas uniquement une épreuve de résistance.»
Financement des universités
« À notre point de vue, c’est une fonction archaïque qui ne correspond pas aux valeurs des Québécois »
Libre échange avec l'Europe
La transaction ne sert pas l’intérêt des Canadiens ni celui du système canadien de radiodiffusion
Commission Charbonneau
10 décembre 2010
Et j'espère que Marineau débalera son sac, avant que les libéraux lui arrachent des mains, pour aller l'enfouir aussi profondément que les gaz de schiste qui les rendent malades d'avidité !!!
10 décembre 2010
Les Molsons ont toujours empoisonnés la Nation Québecoise au service des Canadians .
Il sont des véritables racistes anti Québecois et le petit nombre de francophones dans le club du Centre Belle Molson le prouve
Avec internet nous pouvons enfin bien identifier nos ennemis
10 décembre 2010
Au tournant du XVIIe siècle, l'Europe vit une véritable révolution religieuse. C'est l'époque de la grande Réforme catholique. Cette volonté de renouveler l'Église va inciter le clergé et le peuple à entreprendre des missions d'évangélisation vers de nouvelles terres. Ainsi, des centaines de colons et de missionnaires s'installent en Nouvelle-France.
Après l'arrivée de Samuel de Champlain à Québec, en 1608, des congrégations religieuses se chargent d'évangéliser les Amérindiens. Des récollets, des jésuites s'installent au pays, mais aussi des ursulines et des hospitalières. Comme l'explique l'historienne Dominique Deslandres, le rôle de ces femmes est d'éduquer et de soigner les indigènes.
Les Récollets, une branche des Franciscains, arrivent les premiers en Nouvelle-France en 1615, à la demande de Champlain. Le Père Le Caron part vers l'Ouest, en Huronie, alors que le Père Jean Dolbeau va rejoindre les Montagnais au Nord. Après deux mois de conquête, ils retournent à Québec et dressent un constat : pour convertir les « Indiens » au christianisme, il faut les faire vivre avec des Français. Or, peu d'âmes peuplent cette colonie.
Dix ans plus tard, l'expérience s'avère un échec. La dizaine de récollets n'a pas appris les langues aborigènes. Leur bilan se résume à une quinzaine de conversions seulement.
Appelés à la rescousse, les Jésuites prennent la relève à partir de 1625. Leur tentative se révèle plus fructueuse. Mieux organisés et financés, les Jésuites sont prêts aux sacrifices et au martyre. Contrairement aux Récollets, leur stratégie est de déranger le moins possible, de s'intégrer aux autochtones et d'apprendre leur langue.
En 1637, les Jésuites fondent une réserve à Sillery, près de Québec, où ils répandent une éducation européenne aux autochtones. Pendant plus d'un siècle, ils tenteront ainsi de convertir les Amérindiens à la foi chrétienne.
Le régime français prend fin en 1760. Pendant cette période, les nations autochtones du vaste territoire québécois sont ou entrées en contact avec la parole de Dieu, ou complètement évangélisées. Or, la conquête anglaise sonne le glas des missions. Le tiers des prêtres quittent la Nouvelle-France. Du même coup, les ordres religieux se voient interdire tout recrutement.
Ailleurs dans le monde, le temps des missionnaires semble révolu. L'affaiblissement de pays catholiques comme l'Espagne et le Portugal, la perte du Canada par la France, l'expansion de pays protestants, comme l'Angleterre et la Hollande, confirment le déclin de la première grande aventure missionnaire.
Pour en savoir plus consulter le lien suivant:
http://archives.radio-canada.ca/societe/religion_spiritualite/clips/6267/
Soldat Sanspareil
2ème bataillon du régiment de la Sarre
Vive le Roy!
http://www.regimentdelasarre.ca
http://www.tagtele.com/videos/voir/46581
http://www.ameriquebec.net/actualites/2009/08/03-rapatriement-des-armoiries-royales-de-france.qc
François Mitterrand
Un peuple qui n'enseigne pas son histoire est un peuple qui perd son identité
10 décembre 2010
Afin que Jean Charest gagne ce prix, son nom a dû être soumis à cette firme. Si vous regardez attentivement sur le site australien, vous constaterez que son nom devait être proposé par quelqu'un qui pensait qu'il le méritait ou lui-même pouvait proposer son nom. Qui donc a proposé Jean Charest? L'Australie ignore sûrement à quel point ce premier ministre rêve de polluer notre territoire pour s'enrichir avec ses bons amis. Si vous regarder également ce que Molopo Australie tente de faire sur notre territoire, vous aurez sûrement plusieurs indices qui vous aideront à comprendre notre cher premier ministre.
http://www.climatechange.sa.gov.au/index.php?page=south-australian-international-climate-change-leadership-award
http://www.cyberpresse.ca/le-soleil/actualites/environnement/201011/02/01-4338760-prospecteurs-de-gaz-de-schiste-surpris-dans-un-parc-a-levis.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_vous_suggere_4331877_article_POS2
10 décembre 2010
Le problème avec les universités québécoises relève davantage de la gestion que du financement.
9 décembre 2010
Le crédit d'impôt aux droits de scolarité, introduit par le Parti québécois en 1998, coûte 430 millions de dollars en revenus perdus à l'État.
9 décembre 2010
M. Payne, vous écrivez : «Depuis 2003, celle-ci recueuille toujours plus que le PQ, sauf brève exception. »
Le PQ et Québec solidaire vont chercher environ 40 % de votes et il y a environ 25 % de souverainistes, faibles de la constitution souverainiste, qui votent pour l'ADQ. Ceux qui voteraient peut-être OUI sauf si l'ADQ dit de voter NON. Le compte y est.
Que ce soit 40 ou 45 % de souverainistes, ce n'est pas assez pour une solide majorité.
9 décembre 2010
Vous écrivez : «À dessein, je n’ai pas parlé des excuses dues à M. Michaud par tous les députés présents lors de ce sinistre vote. Il s’agit d’un geste individuel que commande l’honneur, mais qui n’engage pas l’Assemblée »
Il y a au moins un député, du genre masculin, coupable du PQ dans cette affaire de décembre 2000, celui qui a l’air hautain et haïssable et qui l'est, qui siège encore à notre Assemblée nationale qui n'a pas assez d'honneur pour s'excuser. Je vous laisse deviner qui.
9 décembre 2010
"En apprenant les langues amérindiennes ils ont rapproché les tribus des Français, et en leur faisant connaître la religion catholique ils ont aidé à amener les "Sauvages" ( du mot Salvacus signifiant hommes qui habitent les bois) à plus de "douceur" dans leurs moeurs.."(Marie-Hélène Morot-Sir)
En effet. Mais c'est encore plus que celà.
Il était très difficile d'apprendre les langues amérindiennes des nations de la Vallée du Saint-Laurent, car celles-ci étaient nomades et n'avaient aucune patience pour ces choses. Seuls les Métis et les Amérindiens ammenés très jeunes en France puis retournés (afin qu'ils ne perdent leur langue maternelle) maîtrisaient une ou plusieurs de ces langues.
Or, ces Métis et Amérindiens polyglotes se rendirent vite compte que ce qu'ils possédaient valait de l'or et refusaient catégoriquement de partager leurs connaissances afin de s'assurer le maintient de leur monopole sur le métier d'interprète. Les Jésuites auront tout tenté pour obtenir leur aide mais sans succès.
C'est avec des années de travail acharné que des Jésuites ont réussi à non seulement apprendre ces langues mais à les conserver pour toujours dans des dictionnaires ! Ils sont les sauveurs de ces langues ! Sans eux, ces langues serraient perdues à jamais.
Un phénomème notable qui est apparu aux Jésuites lors de l'apprentissage approfondi de ces langues est la création de nouveaux mots qui ne sont ni amérindiens ni français mais qui sont utilisés par les deux. L'amérindien croyant que c'est un mot français et le Français croyant que c'est un mot amérindien.
Ces mots naissent lorsque dans un échange entre Amérindien et Français l'un d'eux enregistre mal la phonétique d'un mot et se trompe sur sa définition, puis utilise ce "baragoin" pour identifier la chose à un autre interlocuteur qui croyant apprendre un nouveau mot de la langue de l'autre l'adopte.
Pour ce qui est des moeurs, c'est partagé, car si les Amérindiens étaient extrêmement cruels dans les meurs de la guerre, de leur attitude envers les malades et mourants, et autres, parcontre ils donnaient des leçons de tolérance, d'honneur, d'entraide social, de patience, et de sagesse, aux Français.
Je crois que ce qui est fondamentalement dommageable psychologiquement dans la religion catholique est le dogme de la faute originelle (qui n'a rien à voir avec le Christ).
9 décembre 2010
Bonjour, heureux de vous lire !
Allons-y dans l'ordre. En parlant de partis " importants ", j'évoquais surtout ceux qui sont assez appuyés pour être représentés à l'A.N., ( ou ayant une notoriété et une envergure équivalentes à celles des partis comptant des élus, s'il y en avait eu ) Donc, PQ, PLQ, ADQ et QS.
Pour ce qui est de " porter ", pardon de ne pas avoir été plus précis là-dessus, je voulais dire la proposer concrètement. En ce sens, le minuscule PI la porte bel et bien, mais bon, nous nous entendrons sans doute pour dire que ce petit parti est inconnu de l'immense majorité de l'électorat. Quant à QS, je n'ai pas consulté leur programme récemment, mais il me semble qu'ils proposent une manière ou une autre de consultation sur cette question. Au fond, peut-être sont-ils même plus directement souverainistes que le PQ. Si tel est le cas, j'aurai été injuste envers eux en les excluant.
Quant à votre reproche, je ne dénonce absolument pas " tout ce qui cloche au PQ ". Je ne fais que le constat de ce qu'il propose, en ce qui a trait à la question nationale. Vous voyez cette gouvernance souverainiste comme une étape indispensable et réaliste. J'ai exposé en long et en large, avec force détails et dans une multitude de textes, sur Vigile et dans Le Devoir, pourquoi je ne suis pas de cet avis. Mes arguments là-dessus ne sont pas anodins, ils sont l'essentiel de ce qui fait que je n'adhère plus à la proposition péquiste. Je vous le redis quand même en ultra-condensé : Des démarches de ce type ont été expérimentées tant et plus par le PQ et même les libéraux d'une autre époque. Dans le cas du PQ, cela a toujours mené, sans coup férir, à l'affaiblissement de l'option souverainiste; Dans un premier cas, un référendum tardif résolument perdant en fut le résultat -- après un début de campagne à 46% pour le OUI --, et dans un deuxième, des années de gouvernance sans issue référendaire.
Quand vous parlez de réalisme, le terme me convient quand il s'agit de constitution de province, de citoyenneté de province, ou de refonte de la loi 101. Pour ce qui est de l'acquisition de pouvoirs significatifs, cela évoque surtout un bloquage, ce qui, encore une fois, n'a jamais profité aux souverainistes quand ils étaient au pouvoir -- pensez au déséquilibre fiscal, à la loi sur la clarté --, ou encore, qui sait, on peut imaginer d'éventuelles concessions plus ou moins factices d'un gouvernement fédéral rusé, dont on ne voit pas très bien comment elles mèneraient à l'indépendance.
Vous me pardonnerez sans doute de ne pas vous affliger plus longuement d'une ennième démonstration de ce genre. Je vous dis simplement qu'à mon sens, cette démarche est de nature à éloigner l'indépendance, alors que nous sommes dans un contexte en vertu duquel nous pourrions la réaliser.
C'est dans cette perspective que l'horizon électoral prend tout son sens : Le PQ n'a même pas encore adopté son programme, il est tout-à-fait temps de faire entendre son point de vue, cela est légitime, et c'est ce que je fais. C'est comme cela que je participe au débat politique. Je ne suis pas militant, je ne consacre pas de temps à l'action dans les partis politiques. Mais il est parfaitement sain de s'exprimer.
Évidemment, vous comprenez sans doute que même si j'étais militant péquiste, mon point-de-vue pourrait difficilement s'inscrire dans une démarche visant à " parfaire " comme vous le suggérez. Il s'agirait plutôt d'effectuer un virage à cent-quatre-vingt degrés. C'est, d'ailleurs, en bonne part ce qu'entreprend la proposition de l'exécutif de Crémazie, sous la houlette de Lisette Lapointe. Qu'en pensez-vous ?
Quant à la solution de rechange, vous êtes décidément bien dûre avec moi ! Je vous ai exposé ma vision dans le détail. C'était du concret, rien de bien utopique, ni extravagant, ni insensé. Le PQ lui-même a déja eu à maintes reprises une position compatible avec la mienne. C'était le cas il y a à peine trois ans, notamment. Pourquoi devrais-je absolument, aujourd'hui, adhérer à cette proposition politique contraire à mes aspirations ?
Je trouve notre discussion passionnante; Cependant, je constate que vous avez plus de reproches à m'adresser, que je n'en ai à vous faire. Aussi, se pourrait-il que vous abordiez notre échange en mode partisan ? Vous me dites que vous misez sur le PQ comme sur un cheval aux courses, et il semble que si je n'ai pas d'autre parti à promouvoir, votre propos ne m'ouvre que deux possibilités : Appuyer le même parti que vous, ou me taire, sinon pour faire valoir mes vues exclusivement à l'intérieur de ce parti.
D'autre part, vous me dites que je me trompe sur le programme. Pourtant, cette proposition de programme est disponible, et elle est écrite en toutes lettres. On ne peut pas s'y tromper : Le PQ ne prend que l'engagement de réaménager le fédéralisme -- en faisant notamment du nationalisme provincial, par le biais d'une constitution, etc --. Il n'y a pas, non, d'autre engagement en ce qui a trait à l'indépendance.
Vous dites que je pense que le PQ vise " ultimement " la gouvernance souverainiste; Je n'ai pas dit cela, et le programme péquiste non plus. J'ai dit que c'est ce qui est priorisé, et vous renchérissez vous-même en disant que c'est indispensable. De mon point-de-vue, ça ne dervait pas être indispensable, ça devrait plutôt être à éviter absolument. Notre différend, je pense, est là.
Et Crémazie, ça vous inspire ?
Salutations,
N.P.
9 décembre 2010
G.Labelle,
Malgré ce qu'il écrit, M.Bousquet donne des niveaux d'appui au PQ, et non pas à la souveraineté.
Depuis 2003, celle-ci recueuille toujours plus que le PQ, sauf brève exception. Depuis 2006/2007, les sondeurs ne réfèrent plus au partenariat dans leur question, si bien que l'appui moyen a légèrement baissé à ce moment-là. Effectivement, en 2005, la souveraineté-avec-offre-de-partenariat atteignait 54% environ.
9 décembre 2010
On croirait lire un passage d’Astérix : « La bonté de César n’a pas de limites! ». M. l’Engagé a eu l’indicible chance d’être conseillé dans ses commentaires par un si grand homme! (autoproclamé)
Ivan Parent
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!
