Le barrage de Menaud démoli!
3 février 2011
Charlevoix, n’est plus le temps d’une paix. C’est la spéculation, le manoir jadis « malenfanté », le jeu pour devenir riche et cinglé…
Charlevoix, c’est Daniel Gauthier qui du haut de sa montagne un jour, a dit par une sorte de décret ce qu’il attendait des gens de Charlevoix pour leur concocter une grosse montagne. Il eut le culot de changer le nom de sa montagne olympique Petite Rivière pour Charlevoix. Quel génie! Quel mépris pour Petite Rivière!
http://www.lemassif.com/fr/apropos
Charlevoix, ce sont des châteaux qui se bâtissent sur le sommet des montagnes, un peu comme sur la côte d’Azur. Le haut des montagnes, c’est la maison des aigles, pas des vautours. Laissez la paix aux montagnes.
http://www.notrepanorama.com/
M. Jacques Lévesque, Société de gestion des équipements publics de Charlevoix (président de la Table)… et curieusement président des affaires publiques et projets spéciaux du groupe Le Massif. On peut supposer que les panoramas de Charlevoix seront au goût d’une spéculation massive.
Impossible de tergiverser sur jadis ces terres de roches de Charlevoix sans parler du châtelain.
http://grandslabours.blogspot.com/2010_11_01_archive.html
Extrait du lien :
Faites comme Paul Desmarais achetez pour un 1 $ un domaine de 21 000 acres érigé sur un territoire non organisé (TNO), exempt de toutes les taxes municipales. En 1998, avant les « rénovations », la valeur de la propriété était estimée à 7 746 000$. Aujourd'hui on parle de près de 40 millions de dollar. Des revenus de taxes non perçus et que la MRC de Charlevoix-Est ne cherche même pas à percevoir qui seraient bienvenus au petit village limitrophe de Saint Siméon où le taux de chômage en période hivernale atteint 40%.
L'an passé, le maire de Saint-Siméon rencontra les maires diva Labeaume, et Tremblay de Saguenay pour avoir des tuyaux de développement. Ha!ha!ha! Desmarais a certainement des tuyaux du tonnerre pour développer Saint-Siméon à partir de la traverse jusqu'aux clôtures du domaine "sagardien".
Heureusement qu’il y a toujours des embruns à Saint-Irénée!