Le résultat de la démocratie des bombes - partie B
15 avril 2013
Merci Monsieur BERNARD de redonner au journalisme son sens le plus originel : Celui de relater les faits rien que les faits en les étayant depuis la source contrairement à ces MEDIAS « TOXIQUES » qui veulent guider ce monde en orientant la conscience des peuples.
Merci également de clouer le bec aux membres de cette confrérie tribale de larbins qui sont en train de mettre sous coupe réglée la COTE D’IVOIRE pour ainsi la livrer pieds et mains liés aux prédateurs du grand capital.
Le sieur MOMOH croit pouvoir aisément (à l’heure de la démocratisation de l’info et des médias citoyens ) colporter les mêmes hérésies qui ont couvert la forfaiture de MR OUATTARA et son clan de nordistes. Heureusement, la réalité de l’exercice réelle du pouvoir par OUATTARA en COTE D’IVOIRE achève de convaincre de quelle côté se trouve la vérité.
Si le recours aux contrôles d’identités dans un pays où sévit une rébellion tribale aux agissements de troglodytes suffit à diaboliser GBAGBO, Que peut-on dire d’un régime politique comme celui de OUATTARA qui proclame au grand jour la SEGREGRATION ETHNIQUE comme méthode de gouvernement ?
L’amnésie n’est pas un mal physiologique, il peut se soigner !