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Marcel Bernier

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    Marcel Bernier25 articles

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Nous avons besoin d'une équipe intègre

Huit millions de bonnes raisons de voter pour le Parti québécois

  • Marcel Bernier
  • 5 avril 2014
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De quel bois nous nous chauffons!

À l'ère de la délibération permanente

  • Marcel Bernier
  • 4 avril 2014
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La victoire à portée de main

  • Marcel Bernier
  • 3 avril 2014
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Le grand bond en avant d’un peuple déterminé

  • Marcel Bernier
  • 2 avril 2014
  • 757 visites
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Réflexion imaginaire d’un oligarque sur le scrutin du 7 avril

  • Marcel Bernier
  • 31 mars 2014
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Portrait au vitriol d’un opportuniste en politique

Pour décoder le discours de François Legault

  • Marcel Bernier
  • 28 mars 2014
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Un haïku pour madame David

  • Marcel Bernier
  • 26 mars 2014
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En politique, on aime les escrocs, les «loosers» et les fabulateurs

  • Marcel Bernier
  • 25 mars 2014
  • 311 visites

Un combat pour notre affirmation linguistique, sociale et nationale

  • Marcel Bernier
  • 20 mars 2014
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Commentaires de Marcel Bernier

  • Un parti voué à la trahison nationale

    28 avril 2014


    @ Pierre Cloutier

    Il est grandement temps, en effet, que la lutte pour l'indépendance se fasse à visière levée et qu'on cesse de cacher notre projet d'émancipation nationale comme une maladie honteuse.
    Il reste que je compte énormément sur les leaders naturels de la société civile pour nous appuyer dans ce cheminement. Et ici, je pense, à titre d'exemple, à Louise Chabot, présidente de la Centrale des syndicats du Québec ou à Mario Beaulieu qui veut briguer la chefferie du Bloc Québécois.
    Un pays, cela construit avec toutes les bonnes volontés.
    J'ai eu l'occasion d'exprimer, à une autre occasion, mon choix actuel quant à celle qui devrait diriger le Parti Québécois, et je trouve que Véronique Hivon est une personne douée d'un charisme, d'une vive intelligence et possède les qualités nécessaires pour mener la barque à bon port.
    Nous avons, face à nous, des adversaires bien articulés et nous nous devons d'évaluer les forces en présence, d'en dénoncer les mensonges, les subterfuges et les trahisons et d'élaborer des stratégies pour les contrer. Je revendique encore et toujours la liberté de penser. Les «crois ou meurs», très peu pour moi!
    Nous sommes en lutte : portons le combat avec les armes que nous possédons.
    Au cas où vous l'auriez oublié, il s'agit, dans un premier temps, de gagner la bataille de l'opinion publique, de convaincre la population québécoise que notre projet est nécessaire à réaliser, car ce sont nos concitoyens et nos concitoyennes qui seront appelés-es à le ratifier un jour ou l'autre par leur sanction.
    Il s'agit, pour chacun de nous, d'affiner notre pensée politique afin d'enrichir le débat qui devra se faire sur la place publique. N'oublions jamais que nous sommes en démocratie.

  • Un parti voué à la trahison nationale

    28 avril 2014


    @ Mireille Deschênes

    Vous avez parfaitement raison de souligner le vote irrationnel de certains de nos concitoyens et de nos concitoyennes.
    D'ailleurs, le premier à démontrer qu'il avait des réflexes ancrés dans la peur fut le leader de la formation libérale lui-même : bel exemple pour la génération montante de voir un des nôtres avoir des sueurs froides face à son ombre.
    D'ailleurs, il s'est pointé à Ottawa rencontrer Harper dans le but évident de démontrer à son électorat que la peur se gère en se réfugiant dans les bras tutélaires de la bonne figure paternelle. En fait, il nous a seulement démontré qu'il pouvait être un excellent « shoe shine boy »: un cireur de pompes, en bon français.
    Nos adversaires politiques savaient que Pierre-Karl Péladeau – pour eux le diable en personne –, en étant nommé président du conseil d'administration d'Hydro-Québec, se dirigeait allègrement vers la députation.
    Ils ont choisi de miser sur ce qu'ils considèrent comme l'antidote à l'influence du succès de cet homme d'affaires auprès des Québécoises et des Québécois : l'argument d'autorité. Les deux triades de médecins et d'économistes devraient, dans leur esprit embrumé, pouvoir effectuer le job et ramener le troupeau vers les verts pâturages du statu quo du néolibéralisme.
    La bataille du Québec pour son émancipation nationale continue avec de nouveaux acteurs, et les paramètres de la lutte pour la reconnaissance prend un nouvel essor. Et c'est ce à quoi nous devrions assister dans un futur pas si lointain. Sans peur et sans reproche! Avec, comme arme, la beauté de la « french rule », qui permet à nos orphelins du colonialisme anglais de vivre enfin comme des êtres libres.

  • La « diplomate » aux cabinets

    24 avril 2014


    Votre propos, monsieur Le Hir, rejoint bien l'état d'esprit dans lequel nous sommes, nous, qui ne pourrons jamais faire aucun compromis sur la question de l'éthique sociale.
    Je pense que ce nouveau gouvernement ne peut jouir d'un état de grâce ni d'une lune de miel de notre part.
    Comme monsieur Couillard aime bien la lecture des mésaventures de Napoléon Buonaparte, nous allons lui servir, au fil des jours et au fil de nos interventions, un aperçu de la bataille de Waterloo, en tirant à boulets rouges sur l'ensemble de son oeuvre, qui ne peut être qu'une suite logique du régime Charest, de triste mémoire dans notre histoire nationale.
    Il faudra bien s'attarder au stratagème de Carlos Leitao, le nouveau ministre des Finances des petits amis, qui nous fait accroire qu'il va à New York pour consulter les agences de notation afin de pouvoir établir les paramètres de son prochain budget, alors que les données sont claires, nettes et précises, qu'il s'agit de prendre les décisions difficiles et d'assumer complètement les conséquences du point de vue des récriminations anticipées des différents acteurs de la société civile.
    En tant que citoyen, je n'aime vraiment pas ce type de lâcheté, qui permet de s'en laver les mains comme Ponce Pilate.
    Tout comme Christine St-Pierre, notre astrologue, expert en prévisions, devra comprendre les tenants et aboutissants de la responsabilité ministérielle.

  • Une conspiration des Aliens!

    24 avril 2014


    Nous sommes en plein festival du homard, dans notre coin de pays, et le zygomatique se délasse allègrement tout en savourant votre prose.

  • Au fond de la fosse...le West Island

    23 avril 2014


    Notre tâche, monsieur Haché, est de convaincre cette partie de l'électorat, identifiée par vous, comme résidant au West Island, de nous rejoindre dans notre combat pour un nationalisme citoyen.
    Ce pays que nous souhaitons ardemment, il est le leur tout aussi bien. En ce sens, il faut leur faire une offre qu'ils ne peuvent refuser.
    Quant à notre défaite, lors de la dernière élection, certains sont en colère, et à juste titre. L'état-major du Parti Québécois s'est empêtré dans des considérations électoralistes à courte vue et devrait démissionner immédiatement.
    J'ai eu, à maintes reprises, le loisir de rappeler à Jean-François Lisée, un des architectes majeurs de la stratégie péquiste (et de la défaite du parti), qu'il devait cesser son nombrilisme, éviter de s'asseoir sur ses lauriers et continuer à approfondir sa pensée politique. J'ai confiance qu'il apprendra de ses erreurs et qu'il nous concoctera de meilleures avenues vers notre émancipation nationale, tout comme ceux et celles que je nomme les nouveaux conquérants : Pierre-Karl Péladeau, Véronique Hivon, Martine Ouellet et Bernard Drainville.
    Ce pays, que nous souhaitons si ardemment, il n'est pas ni à gauche ni à droite ni en avant, comme se plaît à nous le remémorer un Bernard Landry, ex-soldat de l'armée canadienne, mais bien dans notre tête et sous nos pieds.

  • Chaotique retour au pouvoir pour les Libéraux de Philippe Couillard (2)

    23 avril 2014


    Il faudra quand même, un jour, faire la radiographie de cette famille Desmarais et tracer un portrait exhaustif de leurs visées politiques, qui ne servent, en dernière analyse, qu’au développement de leurs affaires.
    Ce sont là, véritablement, les ennemis jurés de notre indépendance collective, de celle de tous les Québécois et de toutes les Québécoises.
    Nous savons qu’ils sont originaires de Sudbury, une ville minière de l’Ontario, et que l’obsession pour les mines du Plan nord de Charest origine de leurs officines. Nous savons aussi que cette famille a fait faillite en affaires et que, depuis lors, elle s’affaire à rétablir sa respectabilité de différentes manières, dont se faire attribuer des honneurs qu’elle ne mérite pas.
    Nous savons aussi qu’ils ont placé leurs pions dans tous les endroits stratégiques de notre vie économique – Hydro-Québec, Caisse de dépôt et placement, HEC, UdeM, etc. –, qu’ils possèdent des journaux pour faire la propagande de leur vision du monde et qu’ils peuvent compter sur un Coderre, un Couillard et un Trudeau pour continuer leur travail de sape.
    Nous savons, aussi, qu’ils ont une conception d’eux-mêmes assez particulière : un château à Sagard, un Desmarais qui marie la fille de Jean Chrétien, une fille Desmarais qui marie un prince belge.
    Nous savons, aussi, que la seule manière de combattre leur influence délétère sur notre vie collective consiste essentiellement à les mettre, de nouveau, en faillite.

  • Non à la capitulation nationale

    23 avril 2014


    Très exactement, monsieur Bourdon! Un homme digne de ce nom, et un Québécois en plus, ne lâche jamais et se bat pour faire valoir toute la plénitude de son être.
    Les propos de ce triste sire, et il ne faudra pas l'oublier, représentent la quintessence de la lâcheté.

  • Que faire?

    23 avril 2014


    @ Micheline Otis

    Le pouvoir médiatique doit passer sous la loupe de notre critique constructive. Les gens qui œuvrent dans ce domaine ont joui d'une immunité délétère et il s'agit maintenant de leur mettre le nez dans leurs déjections, puisqu'ils collaborent à notre assujettissement, à notre dépendance et à notre aliénation.
    Alors qu'ils se devraient de garder une étanchéité face au pouvoir exécutif et au pouvoir judiciaire, ils en sont rendus à établir des liens incestueux avec ces pouvoirs, le cas de Martine Biron en étant la parfaite illustration.
    Il est temps de mettre de l'ordre dans ce fouillis indescriptible du mélange des genres.
    Quant au serment d'allégeance à la Couronne britannique et à une puissance étrangère des députés-es de l'Opposition, notre supplique a été vaine et nous nous sommes retrouvés face à une belle indifférence, sauf de la part de Martine Ouellet. De toute façon, c'était prévisible, comme l'avait si bien subodoré Pierre Cloutier, collaborateur, ici sur Vigile, mais il reste que cela nous indique qu'on est encore loin de gens responsables dotés d'une colonne vertébrale digne de ce nom.

  • Au fond de la fosse...le West Island

    23 avril 2014


    Intéressant comme analyse, monsieur Haché. J'aime qu'on aille au-delà des évidences et qu'on m'amène à réfléchir.
    J'aspire à voir le site Vigile comme un organe de combat, truffé de penseurs politiques, hommes et femmes, qui n'en finissent plus de rappeler à l'ordre les cent vingt-cinq députés-es que compte l'Assemblée nationale du Québec et de leur inspirer une lutte sans relâche pour notre émancipation nationale.
    En l'espèce, il s'agit de former une aile extra-parlementaire d'irréductibles qui savent où est l’intérêt supérieur de la nation et qui s'affairent à dénoncer toutes les lâchetés, toutes les compromissions, toutes les peurs qui hantent notre devenir collectif et notre vivre-ensemble.

  • Que faire?

    22 avril 2014


    Patience! Rien ne sert de courir, il faut partir à point.
    Je travaille, en premier lieu, pour l'émancipation nationale de mon peuple.
    Quant à qui serait le ou la meilleur-e leader de la formation politique du Parti Québécois, j'ai ma petite idée, à ce sujet. Cependant, il me manque certaines pièces du puzzle, à savoir les positions qu'ils et elle entend-ent mettre de l'avant pour faire avancer notre char vers cette république axée sur la justice sociale, sur la dignité humaine, sur des principes d'égalité, de liberté et de solidarité.
    Je me situe, dans les débats, comme un citoyen engagé, n'en déplaisent à ceux et celles qui voudraient m'enrégimenter dans une cause qui n'est pas la mienne. La seule qui mérite mon entier investissement, c'est la cause du peuple.
    Pour ce qui est de l'intellectuel assis par rapport au con, je laisse parler le poète :
    J´ai tant de gens à voir, tant d´images..
    Des enfants, des femmes, des grands hommes,
    Des petits hommes, des marrants, des tristes,
    Des très intelligents et des cons,
    C´est drôle, les cons ça repose,
    C´est comme le feuillage au milieu des roses...

  • Évitez la honte de vous parjurer devant le peuple!*

    21 avril 2014


    Voilà! C'est envoyé à tous les députés-es de l'Opposition.
    Avec, en préambule, le texte suivant :
    Considérant l'initiative d'un de mes compatriotes, monsieur Christian Lauzon, vous enjoignant d'éviter la honte de vous parjurer devant le peuple, je me joins à son invitation et vous invite à considérer, en tant que mandataire politique de tous les Québécois et de toutes les Québécoises, ce qui suit :
    (le libellé de la supplique de monsieur Lauzon)
    Avec, comme addendum, le texte suivant :
    De plus, je souhaite que vous preniez connaissance d'une alternative à la constitution canadienne, auquelle nous n'avons pas donné notre adhésion et auquelle nous avons refusé d'être partie prenante :
    Cette constitution québécoise devrait faire droit, à minima, à ce qui suit :
    1. Le Québec est une République souveraine.
    2. La langue nationale du Québec est le français.
    3. Au Québec, tous les pouvoirs appartiennent au peuple, représenté par
    l’Assemblée nationale du Québec réuni en session.
    4. Le territoire du Québec est indivisible.
    5. Cette constitution incorpore l’entièreté des articles de la Charte des droits et libertés de la personne, de la Charte de la langue française et de la Charte de la laïcité.
    6. L’Assemblée nationale du Québec forme une chambre unique.
    7. Le mode d’élection du Président ou de la Présidente de la République, du Premier ministre ou de la Première ministre ainsi que de l’ensemble des députés-es.
    8. Des considérations ayant trait au contrôle de la légalité.
    9. Une obligation de défense nationale.
    10. Les principes de la dévolution des responsabilités financières de la fédération canadienne au pays du Québec.

  • La Presse sacrifie le peu de crédibilité qui lui restait

    15 avril 2014


    Pour contrer ces faux panégyriques, il aurait lieu que s'établisse sur Vigile une rubrique consacrée à l'Ordre des imbéciles heureux, en prolongement de l'œuvre que Pierre Vadeboncoeur avait inauguré sur nos politiciens québécois, dans son ouvrage Les grands imbéciles, et qui donnerait un portrait nuancé concernant la veulerie, la démagogie et les compromissions de ceux et celles qui trahissent leur patrie, leurs concitoyens et concitoyennes et notre projet d'émancipation nationale. En premier lieu, je verrais, d'un bon œil, celui de Denis Coderre, notre simili-maire, fédéraliste, libéral et vendu corps et âme à notre perte.

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Sources de Vigile

  • Vigile
  • La Presse canadienne
  • Le Droit
  • The Toronto Star www.thestar.com
  • http://lesaffaires.com
  • The Ottawa Citizen www.ottawacitizen.com
  • Le Québécois www.lequebecois.org/

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