La survie nationale des Canadiens Français par l’adhésion étatique du Québec aux États-Unis d’Amérique
23 octobre 2025
Dans l’actuel défi politique, économique, financier, géostratégique… face au Nouvel Ordre Mondial du 45-47ème Président des États-Unis, concernant les intérêts nationaux du Québec, le seul moyen pour parvenir à les préserver dans ce changement de paradigme global de rééquilibre anti-mondialiste, est celui dont le Président Trump sait pertinemment la proposition lui étant présentée avec un document exhaustif par celui qui écrit le présent commentaire suite à l’article publié par Vigile.Québec.
La réalité est tout autre par rapport à ceux qui voudront changer le cours de l’Histoire au sujet de l’indépendance du Québec et ses intérêts nationaux hors du pouvoir colonisateur d’Ottawa :
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Le président Clinton penchait clairement du côté fédéraliste.
«Dans un monde assombri par les conflits ethniques (...) le Canada (...) est resté un modèle de la façon dont les gens de différentes cultures peuvent vivre et travailler ensemble dans la paix, la prospérité et le respect», avait-il déclaré, lors d'un discours devant le Parlement canadien avant le référendum.
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Washington n'aurait pas reconnu immédiatement un Québec indépendant en 1995
Pourtant, le professeur de Science politique à l’Université Concordia, Gay Lachapelle se prononce aujourd’hui (23 0ctobre 2025) en déclarant :
<< Économiquement, je vais aller même plus loin : Jean Chrétien a parlé à Bill Clinton [alors président des États-Unis] […] Et je veux faire tomber un mythe : les Américains n'étaient ni pour ni contre l’indépendance du Québec. Ce qu’ils voulaient, c’était maintenir un certain équilibre. >>
Aujourd’hui, le professeur est d’avis que l’indépendance demeure pertinente.
<< Le Québec ne peut pas laisser le gouvernement fédéral négocier avec M. Trump. D’ailleurs, aux États-Unis, les États américains sont aussi très absents. M. Trump les a exclus complètement de la négociation […] Or, il faut que tous les intérêts des différentes régions soient parties prenantes dans une négociation, ce qui est difficile dans le système politique canadien actuel. >>
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La souveraineté, « un projet économique », selon Guy Lachapelle
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JLPM
