Réveillez-vous !
23 mars 2014
Monsieur Tremblay,
Je crois que vous omettez de nous dire une chose: Et on fait quoi dans 4 ans? Une élection référendaire suite à l'arrivée de 200,000 nouveaux immigrants?
23 mars 2014
Monsieur Tremblay,
Je crois que vous omettez de nous dire une chose: Et on fait quoi dans 4 ans? Une élection référendaire suite à l'arrivée de 200,000 nouveaux immigrants?
23 mars 2014
j'ai tendence a croire que qs est une branche cachée du plq pour diviser le vote du pq la corruption s'infiltre dans tout les domaines
22 mars 2014
Couillard et sa bande sont les maîtres de l’illusion et de la duperie. Le PQ s’est mis le doigt dans un engrenage, une machine emballée qui carbure à la stupidité humaine.
Ça va prendre tout un revirement pour changer la donne. Les larbins préfèrent patauger dans la corruption, la dépendance et ce voiler la face.
PKP devrait, ou aurait dû, montrer au Québécois la voie économique à suivre. Avoir un plan économique et l’exposer de tout son poids. Il n’est peut-être pas trop tard.
De Camus j’ai eu cette pensée:
Au Québec les fédéralistes sont reconnaissants envers le Canada de subir le supplice de Sisyphe. Pour eux, l’absurdité serait d’en être privé.
22 mars 2014
Je suis un femme de 68 ans et je suis fière d'être un Québécoise mais dans un Canada supposément bilingue.
Donc je suis une péquiste mais pessimiste. Un parti libéral contre les autres partis qui se divisent. Ça ne pourra jamais arriver à bon port.
L'avenir appartient à ceux qui ont lutté pour ce que nous sommes aujourd'hui.
22 mars 2014
@ Mme Lison,
Je suis évidemment d'accord avec votre citation selon laquelle « pour qu’une démocratie fonctionne et soit viable a long terme, il faut que les citoyens ou la majorité de ceux-ci aient la même culture et les mêmes buts. »
C'est l'erreur fondamentale de nos multiculturalistes que l'on peut construire une civilisation durable sur une Tour de Babel culturelle.
J'ai même écrit un livre sur cette dérive : Le Code pour une éthique globale.
http://www.lecodepouruneethiqueglobale.com/
22 mars 2014
Bravo pour cette vidéo. Fort instructif et très révélateur.
22 mars 2014
Peut être le PQ va perde quelques votes, a QUÉBEC /SOLITAIRE/ mais il va en prendre, aux CAQISTE et ramener ceux de la charte .
Si non c est la défaite ,les libéraux pour 4 ans et plus.
22 mars 2014
Je crois que tout les candidats des partis politiques qui se présentent actuellement pour la campagne électorale Québécoise actuelle devront agir et sortir leur armes de destruction massive pour venir à bout du pire taux de chômage du Québec en Mauricie qui est à 9,5 % et du plus haut taux d'inactivité dont près de la moitié des gens qui sont en âge de travailler n'ont plus d'emplois et ils n'en cherchent pas non plus et il freiner l'exode des jeunes natifs de la Mauricie de plier bagages et de s'en aller vers les grand centres comme Montréal et Québec pour se trouver des emplois et pour subsister et ça,ça vaut aussi pour les gens de 18 à 45 ans et plus.
Les candidats des partis politiques à cet élection doivent poser des engagements ferme dans le but de remettre l'économie de la Mauricie sur ses rails le jour du scrutin lorsque un parti politique sera élu pour diriger le Québec pour un nouveau gouvernement qu'il soit minoritaire ou majoritaire et peut importe le parti politique élu qui dirigera le Québec à partir du 7 avril prochain pour remettre non seulement l'économie de la Mauricie sur ses rails mais aussi l'économie du Québec tout entier sur ses rails.
En terminant, voici un reportage de Radio-Canada sur la piètre performance de l'économie Mauricienne.
http://ici.radio-canada.ca/emissions/telejournal/2013-2014/Reportage.asp?idDoc=330621
22 mars 2014
Pas mal d'accord avec l'article de Louis Lapointe dans Vigile.
La sortie de PKP, poing dressé, a été un désastre de communication, de préparation, le PLQ n'attendait que ca, et QS aussi.
Une joute électorale c'est pas un conseil d'administration, PKP va t-il être celui qui fait naufrager la barque ?
Même si Pauline Marois passe son temps, a dire, pas de référendum, c'est facile de dire maintenant, c'est pas vrai, le mal est fait, en plus Lisée qui dit qu'il est pressé, il veut un référendum maintenant, sur un journal anglo, le tout recyclé par le PLQ.
Je regarde les infos sur le JDM, le blog de Bréguet
http://blogues.journaldemontreal.com/tooclosetocall/page/2/
PLQ 63 sièges, 52-72
PQ 55 sièges 45-65
ADQ 5 sièges 5-9
QS 2 sièges 2-3
On voit ou va la CAQ, charte ou pas.
La dernière fois le PLQ avait été sous-estimé de 4 %, j'ose a peine imaginer le carnage.
Comme dit Monsieur Lapointe, les Québécois n'ont pas peur des gens avec des foulards ils en voient tous les jours, l'indépendance on ne leur en parle jamais.
22 mars 2014
Oui, bon Dieu...réveillons -nous... ne nous laissons pas embarquer une autre fois...
on panique à Montréal ... la grosse machine fédérale...est en marche...listes électorales boustées de noms qui sont anglophones ou allophones... votes assurés pour Couillard...
Si ça continue les autobus de Vancouver remplies de... ON VOUS AIMES ...vont défiler dans les rues de Montréal...
Oui, réveillons-nous et prenons nos VRAIS AFFAIRES EN MAINS...
merci M.Mario pour ce moment de vérité...William....
22 mars 2014
Non seulement la complaisance mais le silence complice des journalistes qui accompagnent Couillard qui aujourd'hui a tenu responsable le parti québécois de n'avoir rien fait pour régler le problème du toit du stade olympique
On sais que le parti québécois est au pouvoir depuis seulement 18 mois et qu'il en as eu plein les bras avec les problemes reliés a la corruption libérale et par l'obstruction systématique des caquistes et des libéraux a l'Àssemblée Nationale sur tout les sujets et tout les projets de lois que le pq voulait mettre de l'avant
Les journalistes savent aussi que les libéraux ont gouverner durant 10 ans majoritaire sauf pour une courte période de deux ans et qu'ils n'ont absolument rien fait pour régler ce problème du toit olympique ..c'est long 10 ans à ne rien faire
Mais voila ...
C'est assez extraordinaire mais aucun des journalistes présents n'as relancer Couillard avec une question pour lui faire remarquer cela après que Couillard eu blamer le parti québécois sur le toit du stade olympique ..encore et toujours le silence complice des journalistes
C'est devenu parole d'évangile et la médiacratie journalistique en fait son affaire comme déclaration venant de Couillard
Pour ne pas embarrasser Couillard du plq sur les 10 ans d'inactions libérale sur ce sujet ..elle se tait et ne lui pose aucune question
La complicité par le silence
Ce silence assourdissant qui est aussi celui observer par les journalistes des médias fédéralistes qui pratiquent ensemble une véritable omerta journalistique complice sur le scandale Porter et le CUSUM
Ces fameuses infrastructures nécéssaires et qui hélas ont servis de vache a lait pour instituer un véritable système de corruption institutionalisé servant a enrichir l'entourage des libéraux ,leur caisse électorale et les compagnies de génie conseils libérales durant 10 ans par toute sortes de fraudes et de magouilles, de pots de vins versés a gauche et a droite par ces mêmes sociétés de génie conseil pour avoir les contrats des libéraux
22 mars 2014
M. Tremblay,
Ce que vous proposez peut être tenté mais risquerait aussi d'être interprété comme une volte-face purement électoraliste, laissant toujours planer un doute sur la crédibilité de l'engagement de ne pas tenir de référendum. La presse ne manquerait pas d'exploiter ce doute. Cette correction du tir un peu improvisée pourrait se révéler comme une arme à deux tranchants.
Ceci dit, tout comme vous et comme beaucoup de Québécois je ressens le malaise qui ressort de la facilité avec laquelle Pauline Marois a été mise sur la défensive sur le référendum, incapable de rebondir de façon innovante. Au sortir de ce débat, on a l'impression que peu de choses ont bougé chez les stratèges péquistes depuis 20 ans. La faiblesse de la position de Pauline Marois est d'autant plus décevante qu'elle a justement cet air de déjà vu.
Selon moi, il ne s'agit pas de prendre un engagement absolu contre la tenue d'un référendum, d'ailleurs s'agit-il de tout référendum ? Tout tient selon moi à la mise en ordre des concepts et à la façon de les présenter. La politique politicienne, souvent faite d'expédients, ne prépare pas nécessairement à cet exercice exigeant. On voit le résultat.
Point un. Il faut rappeler qu'un référendum est d'abord un exercice démocratique. C'est un outil encadré par une loi qui permet de consulter la population sur un sujet désigné. Or, l'acharnement anti-référendaire devrait déjà permettre de contre attaquer en demandant aux ennemis de la consultation populaire si ils ne sombrent pas doucement dans le déni de démocratie en s'acharnant à discréditer ce moyen, en lui-même irréprochable. Il y là des pendules qu'il faudrait remettre à l'heure.
Point deux. Le référendum est un outil qui pourrait être utile d'utiliser pour débloquer la situation lorsque le manque d'indépendance sera ressenti plus massivement comme un frein au développement du Québec. C'est le sentiment d'être privé des moyens politiques qui assureraient la réalisation de notre potentiel qui fera de l'indépendance une conséquence inscrite dans notre dynamique nationale.
Point trois. Le manque d'audace et d'imagination des gouvernements successifs du Parti québécois à occuper pleinement les champs de compétence déjà attribués à la province de Québec ne plaide pas en faveur de l'indépendance. Il y a un discours et des politiques nationales à mettre en place. Je ne ferai pas d'énumération, je suis sûr que ceux qui liront ces lignes pourvoiront avec leurs propres exemples. C'est un programme emballant d'occupation maximale de notre territoire politique que le gouvernement sortant du Parti québécois a négligé de proposer à l'électorat, se contentant de proposer à peu près la continuité. Les ambitions, les initiatives et les objectifs visés restent malheureusement trop en deçà de ce qui peut être disputé dans le cadre fédéral. Si le gouvernement du Parti québécois ne fait pas vraiment tout pour faire reculer les limites de sa souveraineté dans le cadre actuel, la souveraineté future qu'on nous propose restera pour beaucoup de pragmatiques un luxe superflu.
Point quatre. Un référendum à froid, sorti de nulle part, serait un suicide politique. Il ne faut pas demander à l'outil référendaire de donner ce qu'il ne peut pas donner. Cet outil ne peut être utilisé correctement que lorsque le besoin de trancher devient pressant et largement ressenti. Par contre, dans des circonstances précises et appropriées, un référendum sur un autre sujet que la souveraineté permettrait de recadrer l'outil pour le bénéfice de tout le monde et désamorcerait du coup la dramatisation entretenue qui entoure ce concept.
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