Pourquoi ?
16 mai 2007
Parce qu'il n'en est pas un!
Charles-Philippe Courtois
Éditions Trois-Pistoles
Souper conférence de l'Action Nationale
Lion d'Or, 18h
Patrick Bourgeois
Léo Beaudoin, Renée Blanchet et Denis Monière
Jeudis de la langue - 19h
Conférence de Mario Beaulieu
Moulin à paroles
Dernière lettre de Chevalier de Lorimier
Texte de Pierre Bourgault
16 mai 2007
Parce qu'il n'en est pas un!
16 mai 2007
Pour être en entier et non plus à demi.
16 mai 2007
Pour gouverner selon nos valeurs, les valeurs de cette société distincte que forme le peuple du Québec.
Peuple:
« ... Quand il désigne une population entière, c'est la somme des individus qui forment à un moment donné une communauté historique partageant majoritairement un sentiment d'appartenance durable. Ce sentiment d'appartenance peut venir de l'une au moins de ces caractéristiques : un passé commun (réel ou supposé), un territoire commun, une langue commune, une religion commune ...» http://fr.wikipedia.org/wiki/Peuple
16 mai 2007
Pour qu'il soit entièrement responsable de toutes ses actions, bonnes ou mauvaises.
16 mai 2007
je suis biem d accort avec mr turcotte je ne suis pas aussi cultive et de tres loin de mr turcotte mes le p.q. fait vraiment pitie avec ces questions, ces logiques, en un mot moi qui travaille sur la construction ca me fait pense a un contremaitre de chantier qui ne veut pas ns dire c est quoi le projet et il est defendu de voir les plans je n aime plus ce partis et j en n ai plus confiance sauf que la marginalite n est pas beaucoup mieux felecitation mr turcotte au moin vs avez pas peur dire des verites
16 mai 2007
À M. Rodrigue:
"Colbert récupéra donc le projet de Champlain (ce qu’a d’ailleurs vigoureusement noté l’historien et archiviste de la Société royale du Canada, Gustave Lanctot32). Pour être bien sûr que cette directive fournisse le plus rapidement possible des résultats escomptés, il revint d’ailleurs sur le sujet l’année suivante et intima son intendant, qu’il trouvait par trop timoré à cet égard, de faire davantage d’efforts pour activer la rencontre. Ainsi, écrit-il alors dans sa lettre annuelle du 5 avril 1667, « vous devez tascher d’attirer ces peuples, sur tout ceux qui ont embrassé le Christianisme dans le voisinage de nos habitations et s’il se peut les y mesler, afin que la succession du temps n’ayant qu’une mesme loy & un maistre ils ne fassent plus ainsy qu’un mesme peuple et un mesme sang »33."
"Venue des plus hauts sommets politiques et administratifs du royaume de France, la politique royale de peuplement de la vallée laurentienne et des terres adjacentes ne pouvait être plus explicite et plus impérieuse. Elle commandait du reste, de manière récurrente et continue, d’impliquer à l’exécution de cette tâche de mixité ethnique et culturelle les missionnaires jésuites, les communautés religieuses féminines et toute la classe ecclésiastique du « pays », afin, écrit-il encore, que les Indiens de l’alliance algique puissent se marier avec les habitants pour composer un peuple nouveau. Soucieux de donner à la colonie le moyen d’agir efficacement, il accorda du reste 1 200 livres aux pères récollets et 6 000 livres à l’évêque de Québec qui avait ordre exprès de les affecter à l’entretien du séminaire et à la subsistance des jeunes Sauvages (toujours employé dans le sens noble du terme dans ce texte) qui y étaient élevés à cet effet."
"Si le programme de francisation des Indiennes et des Indiens à l’intérieur des bourgs, réductions et missions —de Québec (fondée en 1608), Trois-Rivières (1634), Sillery (1638), Tadoussac et La Conception (1641), Montréal (1642), Notre-Dame-de-Foy et La Prairie (1668)— connaît des ratés pendant ces heures précaires et qu’il se veut plus difficile en ce début du régime royal ; l’affaire se passe par contre tout autrement dans les zones excentriques, en dehors des zones de colonisation française où ont entrepris de s’activer —tant au nord et au sud qu’à l’ouest— les explorateurs français, les coureurs de bois autochtones (entendons des Canadiens) et allochtones, les militaires et les miliciens canadiens chargés de faire le coup de feu contre les Iroquois et les Indiens renégats. L’afflux des coureurs de bois devient d’ailleurs un phénomène si important dans le dernier quart du XVIIe siècle, que Louis XIV finit par s’étonner de ne pas retrouver dans les recensements le compte des hommes qu’il a envoyés au Canada depuis la « royalisation » de sa colonie38."
"« Mr. de la Salle a donné des concessions au fort St. Louis a plusieurs françois qui y sejournent depuis plusieurs années sans vouloir dessendre, ce qui a donné lieu a des desordres et abominations infinies. Ces gens a qui Mr. de la Salle a concedé sont tous garçons qui n’ont rien fait pour cultiver la terre. Tous les 8 jours ils epousent des Sauvagesses à la mode des Sauvages de ce pays là, qu’ils achetent des parens aux depens des marchands. Ces gens se pretendent independans et [maîtres] sur leurs concessions. »42"
http://metisborealie.blogspot.com/2006_02_01_archive.html
16 mai 2007
J'ai répondu à M. Auger que le scandale des commandites n'était pas le but de l'opération mais les détournements de fonds qui ont servis à enrichir des amis plutôt que de servir le but pour lequel ils étaient destinés (promotion du fédéralisme).
Si le PQ utilisait les fonds publiques pour faire la promotion de la souveraineté, ce serait en toute légitimité puisqu'il aurait été élu démocratiquement en pleine connaissance de cause des électeurs.
Biensûr, M. Auger a refuser de publier mon commentaire, démontrant ainsi son inconditionel dévouement aux valeurs démocratiques.
Vraiment, cette "lumière", à la fin de ses jours, mériterait de reposer au Père Lachaise avec les autres grands esprits de ce sciècle!
16 mai 2007
Monsieur Naud,
Voilà. Comme vous n'êtes pas capable de contredire mes propos, vous vous attaquez à ma personne. Ce n'est pas grave. C'est comme ça que ça se passe au PQ. Tous les commentateurs sérieux ont admis que le PQ n'avait pas décodé le message des électeurs, à l'élection de 2003. Vous continuez à croire qu'ils ont eu tort de vous juger ainsi. Et le PQ ne décode toujours pas le message de 2007. Vous serez bien oubliger de décoder la prochaine fois. Le PQ vient d'opérer un virage tellement grand que tout regard sérieux sur la situation conduit à affirmer que le PQ n'est plus, idéologiquement parlant, que l'ombre de lui-même. Il ressemble de plus en plus à l'ADQ.
Je ne suis pas le seul à tenir ces propos. Lisez les commentaires des journaux, des réseaux de télé, et vous verrez que ce que j'écris correspond à la réalité.
Je ne chique rien. Je ne fume rien. Je ne bois rien. J'affirme.
Contredisez...et laissez les attaques personnelles de côté.
Merci.
Nestor Turcotte
Matane
16 mai 2007
Monsieur Fleury,
Je vous ai malheureusement confondu avec un autre lecteur. Lire le commentaire suite à vos remarques dans le dernier texte que je viens d'envoyer à monsieur Garon.
Merci de votre commentaire.
Nestor Turcotte
Matane
16 mai 2007
Le commentaire que je viens de faire sur monsieur Bouchard ne s'adresse pas à vous monsieur Garon. Je vous ai confondu avec monsieur Fleury.
Mille excuses.
Nestor Turcotte
Matane
16 mai 2007
Très cher Monsieur Garon,
Je viens de relire mon texte «Pauline, la maîtresse d'école». Vous m'avez mal lu lorsque je parle de Lucien Bouchard. Je dis que Monsieur Bouchard est confédéraliste. Ce que vous ne pouvez nier.
Et je parle ensuite du boiteux Bloc québécois et son chef pivotant (je parle évidemment, comme ceux qui savent lire, en sous-entendu, de Monsieur Duceppe).
Voilà pour les rectifications. Ou les mots qui favorisent une meilleure compréhension.
Au PQ on élabore des plans et on ne les applique pas. Ou on en impose - comme actuellement- sans consulter les membres. Bravo pour ces beaux gestes démocratiques. Et on parlerait du beau pays à faire, quand on est même pas capable d'appliquer les règles les plus élémentaires de la démocratie.
JE retourne à mes écritures. Je dois rencontrer d'ici les prochains jours, tous les étudiants du Secondaire V de la polyvalente de ma ville. Je leur parle, sans les corridors, du pays à faire. Et je leur parle de tout ce que notre peuple à renier de son histoire: langue et foi. Je rencontre aussi des dizaines de jeunes régulièrement, au milieu de ma bibliothèque qui compte quelque 5000 ouvrages. Je vous recommande la lecture d'un livre extraordinaire de Marcel Clément, Le bien commun. Tous les péquites devenus nationalistes devraient lire cela.
Bon courage. Encore une fois merci d'avoir écrit.
Avec mes salutations les plus distinguées,
Nestor Turcotte
Matane
16 mai 2007
Le Parti québécois n'est pas le dépositaire de l'indépendance. Si Jean Charest affirmait demain matin qu'il veut faire l'indépendance, j'embarquerias avec lui. Landry, que j'admire énormément, a toujours dit: la patrie avant les partis. Si le PQ ne veut plus en parler, on va embarquer avec celui qui veut le faire.
En 1985, après l'abandon par Pierre-Marc Johnson de la thèse indépendantiste pour l'affirmation nationale, les libéraux de Matane m'ont approché pour être candidat. Raison: c'est parce que ceux-ci me disaient qu'ils allaient, eux, faire l'indépendance. Et ça bien failli.
Lisez bien l'histoire, c'est Robert Bourassa, le fédéraliste, au lendemain de l'échec de Meech qui s'est approché le près de l'indépendance. Il n'avait que commnder un référendum, et les sondages prédisaient à l'époque, que les Québécois auraient voté à 65 % pour le OUI. Pour vous convaincre de mes propos, lisez le livre suivant: Georges Mathew, L'accord, Comment Bourassa fera l'indépendance - J'ai été vice-président de la Chambre de commerce de Matane pendant trois ans, (1980-1983). J'ai sans doute, par mon action, converti plus de gens à l'indépendance de QUébec (les libéraux sont dans les Chambres de Commerce) que bien des péquistes assis autour d'une table à discuter du plan d'action, comme celui élaborer en juin 2005, et que le PQ n'a pas le coeur de défendre durant la dernière campagne électorale
Pour votre information, à 67, et cela depuis ma retraite (10 ans déjà...) je parle de l'indépendance dans les écoles secondaires de ma région. Je donne des conférences sur le sujet. Toutes choses que le député actuel ne fait . Et je le fais, sans demander un sous. Je paie mon essence, mes couchers et mes déplacements. Je peux aller vous rencontrer dans votre région, si vous en faites la demande. Je demanderai le même traitement. Mais je ne vous cacherai pas la vérité.
Le PQ ne fait que nous conduire à la débamdabe. En cachant son option. En la changeant, comme vient de le faire Madame Marois. Sans qu'aucun membre ne soit consulté. Vous trouvez cela démocratique et correct, vous ?
La dernière épisode aussi loufoque que surprenant est le pivantant chef du Bloc qui voulant sauver le Québec a tout simplement montré son ridicule.
Je n'ai jamais changé d'idée sur l'indépendance du Québec. J'essaie sans doute comme vous de trouver le bon moyen. Après avoir vu ce que tous les partis politiques peuvent faire en abandonnant leurs convictions les plus profondes, j'en suis venu à conclusion qu'il fallait fonder un mouvement indépendantiste, indépendamment des partis politiques. Libre à vous de croire encore au PQ qu vient, selon tous les commentaurs, de faire un virage à 180 degrés au moins. Dans 20 ans, l'indépendance ne sera pas faite. Car, - je sais encore compter - ce sera mathématiquement impossible de la faire.
En parlant de virage, comment expliquez-vous que le PQ, en campagne électorale, avait affirmé qu'il n'allait pas toucher aux frais de scolarité des étudiants et que maintenant il dit qu'il a changé d'idée?
Et comment expliquez-vous la volte-face de Duceppe dans la course à chefferie?
Et comment expliquez-vous que Boisclair ait été élu il y a 18 mois, et que maintenant ce même parti le met dehors après avoir mis dehors une des plus militantes du parti, Madame Marois?
Tournez ça comme vous voudrez, il y a des problèmes dans ce parti qui ressemble drôlement à de la fausse représentation.
Vous n'êtes pas obligé de me lire. Il ya suffisamment de gens qui m'appellent pour me dire que j'ai raison. Qui m'envoient des courriels pour confirmer mes dires. On n'est pas obligé d'être tous d'accord sur tout. Moi, je respecte votre point et surtout je ne cherche pas à interpréter des textes de 20 passés, qu'il faut, honnêtement situer dans son contexte. A ce compte-là, René Lévesque serait resté libéral toute sa vie et le ministre Bachand, ancien péquiste, est devenu un ministre à Jean Charest. Il a le droit de changer d'idée...
Merci d'avoir écrit. Je ne m'attaque pas à vous. Je ne vous connais pas. Je ne vous ai jamais rencontré et je ne juge jamais les gens à distance.
Bonne santé.
Nestor Turcotte
Matane
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!