Fonctionnaire souverainiste congédié
10 juillet 2007
Madame Marois va s'occupper de ça, M. Pich.
Tout de suite après ses vacances et quelques mandats.
Charles-Philippe Courtois
Éditions Trois-Pistoles
Souper conférence de l'Action Nationale
Lion d'Or, 18h
Patrick Bourgeois
Léo Beaudoin, Renée Blanchet et Denis Monière
Jeudis de la langue - 19h
Conférence de Mario Beaulieu
Moulin à paroles
Dernière lettre de Chevalier de Lorimier
Texte de Pierre Bourgault
10 juillet 2007
Madame Marois va s'occupper de ça, M. Pich.
Tout de suite après ses vacances et quelques mandats.
10 juillet 2007
Au train où vos les choses, nous approchons vers un goulot où les indépendantistes, les souverainistes, les séparatistes, les nationalistes… vont être pointés du doigt même par leurs semblables. Le peuple QUÉBÉCOIS est fort jeune et sa disparition est imminente. Ma colère actuelle est immense. Ce n’est pas une ou des entrevues qui va corriger la trajectoire. Les Québécois palabrent… et sont toujours à l’âge de la petite vie de Meunier. C’est dans la rue qu’un peuple prend toute sa signification.
Saint-Irénée
10 juillet 2007
M. Pich,
Communiquez avec moi par courriel ou par téléphone. On va traiter votre histoire dans le Journal Le Québécois.
Ça fait plusieurs fonctionnaires qui me confirment qu'ils ont des problèmes avec leur employeur. Il commence à être temps d'analyser plus en profondeur la situation.
Merci,
Patrick Bourgeois
info@lequebecois.org
418-763-7247
9 juillet 2007
Très intéressant article, dont je retiens surtout la conclusion pour l'avenir. Le sort du PQ dépend en effet surtout de Pauline Marois. Non pas seulement de sa personnalité toutefois, mais aussi de son aptitude à expliquer aux Québecois ce qu'est l'indépendance.
Salve!
Gaston Laurion
9 juillet 2007
M. Savard,
Merci encore une fois. Vous me faites tellement de bien. Même si je ne sais pas l'exprimer comme vous le faites, mes pensées rejoignent les vôtres. Il y a de ces jours où les indépendendistes me découragent tellement que je me demande si nous réussirons un jour à réaliser notre beau projet.
Tous les Nestor Turcotte de ce monde ne nous aident sûrement pas à faire avancer la cause. Merci infiniment.
Fleur de Lys
9 juillet 2007
M. André Savard,
Un souverainiste qui souhaite former un nouveau parti souverainiste en plus de celui du PQ et des Solidaires parce que le PQ a décidé de mettre le couvercle sur le référendum, pour un certain temps, afin d'avoir plus de chances de gouverner le Québec à l'intérieur du Canada, affaiblit la souveraineté. Les Solidaires ont déjà commencé à diviser les chances de la souveraineté juste parce que Mme. David et M. Khadir pensent que le PQ n'était pas assez à gauche à leur goût.
Un souverainiste pressé qui passe sont temps à critiquer le PQ et ses chefs en public serait mieux d'aller aider directement les fédéralistes, tant qu'à faire. Le PQ est autant souverainiste que le PLQ est fédéraliste...me semble.
Un souverainiste devrait militer dans le PQ s'il veut améliorer les chances de son option constitutionnelle.
Je vous donne raison pour une grande votre texte sauf que M. Dumont a démissionné du PLQ de M. Bourassa parce que ce dernier ne voulait pas adopter le rapport Allaire qui suggérait une grande autonomie pour le Québec comme M. Lévesque qui a démissionné du PLQ de M. Lesage parce que ce dernier était carrément fédéraliste.
Fait que, on peut être pour Mme. Marois sans avoir à dénigrer le nationalisme de M. Dumont qui a grandement aidé à messieurs Parizeau et Bouchard au référendum de 1995.
Tant qu'au lieutenant-gouverneur, on ne pourra pas changer ça tant que le fédéral refusera de l'éliminer ou que le Québec ne sera pas sorti de la fédération.
Comme la souveraineté n'est pas à gauche ni à droite, c'est correct que Mme. Marois centre le PQ entre M. Facal et M. Laviolette pour ne pas décourager les souverainistes de droite ni de gauche sauf les extrèmes bien que de vouloir gouverner le Québec-province est très hasardeux pour l'option constitutionnelle du PQ.
9 juillet 2007
M. Luc Bertrand,
Vous écrivez : «Or, lors des élections de 1998 et 2003, les électeurs n’ont jamais été sollicités à appuyer un parti s’engageant à faire la souveraineté.»
Messieurs Landry et Boisclair ont bien promis de tenir un référendum, dès que possible, dans leur premier mandat sur la souveraineté du Québec. Pour ceux qui n'ont pas bien écouté, la preuve est que Mme. Marois a décidé de changer cet objectif là pour le pousser indéfiniment. Les militants du PQ ont même fait enlever le mot ASSOCIATION de la souveraineté pour rendre la chose plus claire encore mais plus difficile à en obtenir un OUI à un éventuel référendum.
O.k., je vous crois au sujet du Conseil de la souveraineté mais il y a aussi plusieurs autres endroits pour faire lever l'idée de souveraineté comme la SSJB, le RIQ etc.
Scénario : L'ADQ prend le pouvoir "probablement minoritaire" en 2008 et tente d'appliquer son programme (Adoption d'un citoyenneté et d'une constitution québécoise, limitation du pouvoir du fédéral de dépenser, enlever le mot province et le remplacer par état autonome du Québec, percevoir tous les impôts et en remettre une partie au fédéral et exercer plus de pouvoirs internationaux.)
S'il réussit ça, oubliez lea souveraineté de votre vivant mais... s'il échoue, allô progression pour l'idée de souveraineté ! Est-ce que vous croyez à ça ?
Ça prendrait une sorte de messie pour soulever les Québécois dans un nouveau parti indépendantiste et les faire voter en sa faveur. Est-ce que vous voyez ce parti de gauche ? Il y a déjà le parti de Mme. David qui est plus à gauche que souverainiste mais qui pourrait s'améliorer s'il est investi par plus de membres canvaincus comme vous.
Mme. David et M. Khadir, qui sont plus de gauche que souverainistes, vu qu'ils ont hésité beaucoup à le devenir" ne sont pas devenus péquistes parce qu'ils le trouvaient trop à droite malgré la présence du groupe de M. Laviolette et de ses syndicalistes.
La fin de l'idée de ls souveraineté va arriver par la multiplication des partis politiques à la place de l'union des pressés de l'option.
M. Louis Bernard a raison de penser que le PQ ne doit conserver que la souveraineté dans son programme et se centrer sur cette option. Gouverner le Québec est un piège pour le PQ. Faut juste plus de souverainistes, on n'en sort pas. Comment ? Autrement qu'avec un nouveau parti.
Quand les Québécois seront SOUVERAINISTES en majorité, je répète que, même M. Charest, va y trouver de l'intérêt à s'y plonger dans l'idée de conserver le pouvoir "s'ils ne l'ont pas sorti avant".
9 juillet 2007
L'histoire, par les durs et purs et impatients, que le PQ n'est pas indépendantiste, me fait bien rire. L'article 1 du PQ indique bien que son option constitutionnelle est la SOUVERAINETÉ. Même l'association de M. René Lévesque n'y figure plus. C'est un peu comme accuser le pape de n'être pas assez catholique oui Céline de ne pas être assez fine.
Par impatience,on peut trouver l'anarchie dans le ROC et chez-nous aussi. Lisez bien ce qui suit : LA SOUVERAINETÉ "l'indépendance" DU QUÉBEC NE S'EST PAS ENCORE FAITE PARCE QU'IL N'Y A PAS SUFFISAMMENT DE SOUVERAINISTES CONVAINCUS AU QUÉBEC.
C'est vrai qu'il y a probablement 60 % de francophones qui ont voté OUI en 1995 à la SOUVERAINETÉ-PARTENARIAT parce qu'il y a eut les forces conjugée de messieurs Parizeau, Bouchard et Dumont. La SOUVERAINETÉ PURE n'aurait gagné qu'environ 30 % de OUI. Si on fait une différence entre les votes de fancophones et des anglophones, est-ce que ça pourrait s'appliquer aux élections en plus des référendums ? Et les bilingues, on en fait quoi ? Est-ce les anglophones qui auraient été mis de côté pourraient faire partition et joindre l'ouest de Montréal et Westmount au Canada ? Et les indiens qui parlent anglais majoritairement et les Inuits, est-ce qu'ils auraient droit de vote ?
Fait que...si les souverainistes pressés veulent réduire leurs chances, qu'ils fondent un nouveau parti indépendantiste pour prendre, quelques votes comme les SOLIDAIRES. Ils sont mieux d'investir le PQ, de l'aider à se centrer pour ne pas laisser de côté la gauche et la droite et pousser pour qu'il centre son discours sur les avantages de l'indépendance "souveraineté" comme le suggère M. Louis Bernard à la place de vouloir gouverner une province qui est un exercice perdant-perdant pour le PQ parce qu'on s'y fait plus critiquer que louanger.
8 juillet 2007
Richard Gervais dit vrai en son commentaire.
Lorsque j'ai décidé de faire paraître "Lettre (ouverte) à Pauline Marois" sur Vigile le 30 juin dernier, il m'était assez clair à l'esprit que le PQ ne pouvait plus être le fer de lance de la cause de l'indépendance nationale.
En publiant ce texte, le Rubicon venait d'être traversé, et tout comme César et Pompée eurent à lutter pour le bien de la République romaine, ainsi les indépendantistes doivent aujourd'hui lutter face au péquistes, pour le bien de la nation québécoise, pour le bien du pays à faire surgir.
Il est temps de mettre en lumière cette imposture qu'est devenu ce parti politique. Le Parti québécois, comme aime à le répéter Nestor Turcotte, n'est pas un parti politique indépendantiste.
Ce que doivent accomplir les forces indépendantistes du Québec aujourd’hui, est de fonder un parti politique s’inspirant, dans son esprit, du RIN.
Me Éric Tremblay dans « Agir pour le pays », avec la force de l’éloquence d’un Bourgault, esquisse ce que seront les bases de cette future formation politique.
Il est à souhaiter que l'Action nationale et ses plus illustres représentants, Richard Gervais et Robert Laplante, entre autres, seront à nos côtés au cours de cette gestation.
8 juillet 2007
Monsieur Bousquet, si je vous comprends bien, en véritable péquiste que vous êtes, vous nous proposez d'attendre encore. Ça va suffire à la fin d'attendre que les autres (Dumont/Harpeur) fassent quelques choses ! Vivement un vrai parti indépendantiste. Je verrais bien la création de ce parti par la fusion du MES et du RIQ lors du rassemblement du 20 octobre.
Guy Le Sieur
Vive la République de l'Amérique française
7 juillet 2007
Caroline,
Tu dis que le Parti québécois « a donné aux Québécois ce qu'il avait à donner » et qu'il est « temps de passer à autre chose [...] de passer à un autre parti ». En tout cas, quoi qu'il advienne du Parti québécois, il est clair que le mouvement national ferait un erreur en attendant après ce parti. C'est cela qui a changé. On ne peut plus tenir le Parti québécois pour le fer de lance du mouvement d'indépendance ; il se met au contraire à la remorque de ce mouvement et cela de propos délibéré. Attendre après des gens qui attendent, c'est se préparer à attendre longtemps ! La nouvelle chef, Pauline Marois, ne rompt nullement avec cette posture attentiste du PQ, elle vient au contraire la consacrer. La lutte doit s'organiser hors PQ, autour des priorités nationales du Québec. Il faut qu'un mouvement, une formation voie le jour qui fasse éclater par contraste l'incompétence, voire l'obstruction péquistes. Il faut regrouper les indépendantistes déçus du PQ et offrir aux Québécois un parti qui croit l'indépendance nécessaire et réalisable et laisser se dépatouiller le Parti québécois qui la croit facultative, fonction de l'humeur des chefs, et irréalisable pour le moment. Il faut, à terme, un parti prêt à se faire élire en vue de l'indépendance et résolu à gouverner en fonction des priorités nationales.
Salut bien.
Richard Gervais --- 8 juillet 2007
7 juillet 2007
• Provoquer la formation d’un état-major du MOUVEMENT ?
7 juillet 2007 Bruno Deshaies
Je ne crois pas, personnellement, que le MOUVEMENT DOIVE ALLER S’ÉCHOUER SUR LES RÉCIFS D’UN NOUVEAU PARTI POLITIQUE qui n’aura pas fait ses devoirs au sujet des fondements mêmes de l’indépendance. Choisir des candidats qui auraient vraiment le « virus » de l’indépendance n’est pas une mince besogne à entreprendre au Québec. La doctrine fédéraliste a tellement spolié notre pensée collective indépendantiste au Québec qu’il faudrait presque un miracle pour se débarrasser de notre manteau fédéraliste-autonomiste-souverainiste-association-partenariat-ouverture-et-petit-pas du maître chez nous mais sous la domination de l’Autre, c'est-à-dire de l’Autorité fédérale représentant le grand ensemble et le vivre en commun que nous serinent nos belles et grandes Chaires du Canada de 7 ans (renouvelables indéfiniment) et de 5 ans (à renouveler sous surveillance des pairs). Cette chape de plomb fédéraliste a des tentacules canadians et aussi internationales. Une véritable pieuvre qui travaille sept jours par semaine à former des fédéralistes bien endoctrinés et fiers de l’être.
Le camp indépendantiste, pour sa part, possède très peu de moyens et en plus il est subdivisé à l’infini à tel point que chaque indépendantiste a son « indépendance » à lui. Dans l’esprit des Québécois, le concept d’indépendance étant tellement polysémique qu’on peut se demander si l’on sait ce que c’est. Si on le savait vraiment, on pourrait certainement marcher en avant et progresser sûrement vers l’objectif. Or, ce n’est pas ce que nous observons. Nous sommes dispersés. Nous tournons en rond : fin ou moyen ? Finalement, la souveraineté demeure continuellement à la croisée des chemins.
Un état major de l’indépendance commencerait d’abord par exprimer les fondements de l’indépendance. Il prendrait une posture qui ne laisse aucun doute sur son objectif. Il veillerait à affirmer clairement ses concepts, à les expliquer ouvertement et à les défendre. Inévitablement, on retrouverait sur ce chemin les fédéralistes. Or le MOUVEMENT qui serait donné par ces idées nouvelles devrait atteindre le cœur et l’esprit des Québécois. Ce n’est plus de l’analyse politique à tour de bras qu’il faudra faire, mais plutôt un travail de diffusion et de persuasion, bref de COMMUNICATION. Pour ce combat, les indépendantistes doivent se préparer et former une élite susceptible de réaliser l’objectif visé.
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