J'ai honte de mon Premier Ministre! Vraiment honte!
31 octobre 2007
Du Parisella tout craché (sur nous autre en plus!)
lechevreuilobservateur.com
Qu'est-ce qu'un lèse majesté ?
Téléjournal 22H
Manifestation : derriere les coulisses
Extrait vidéo
Rappel: Élections 2003
Infoman
Publicité du PCC
Conférences de Gilles Rhéaume
31 octobre 2007
Du Parisella tout craché (sur nous autre en plus!)
31 octobre 2007
Je suis entièrement en accord avec vous lorsque vous proposez que le PQ utilise la prochaine campagne électorale pour faire la promotion de l’indépendance. J’irais même plus loin : pourquoi ne pas proposer un projet de pays (reprenant certaines idées des projets de loi déposés ou sous une nouvelle forme) comme plate-forme électorale?
Ces deux projets de loi contiennent des principes intéressants à mes yeux, hormis quelques maladresses et certaines ratées dans l’articulation d’une citoyenneté québécoise réellement inclusive. En contrepartie, ils sont grandement limitatifs en ce sens qu’ils positionnent la démarche du PQ à l’intérieur du cadre politique canadien et ne peuvent être considérés que comme un pis-aller à l’indépendance. Ce début de mobilisation autour de l’idée de citoyenneté québécoise devrait être canalisé au sein d’un véhicule permettant l’accession du Québec à l’indépendance. L’idée qu’une coalition de partis politiques soumette à l’électorat un projet de pays lors d’une élection provinciale, projet de pays actualisable avec un appui majoritaire (50 %+ 1), me paraît porteuse d’avenir.
Claude Bariteau, dans un article récent, suggère aux promoteurs du pays de s’inscrire dans cette voie « […] si tant est qu’ils privilégient la création du pays au repli identitaire, définissent leur démarche dans le cadre des règles démocratiques et entendent œuvrer sur l’essentiel sans faire fi des projets sociaux qui les animent, c’est-à-dire en s’animant à l’intérieur d’un pacte ou autrement pour sortir de la prison provinciale et instituer un État de droit à l’image et dans le respect de l’ensemble des futurs citoyens du Québec. ».
31 octobre 2007
Non!! Il ne faut pas qu'il démisionne, au contraire, (il aide la cause souverainiste),dans un sens, il fait voir au peuple l'urgence de faire l'indépendance par son incompétence. Merci
B-lecteur
31 octobre 2007
L'ADQ a aussi dans son programme la mise en place de la constitution et de la citoyenneté québécoise. Est-ce que ce parti va présenter prochainement ses projets aux Québécois pour qu'ils puissent voir ce qu'ils ont de différents de ceux de Mme Marois et aussi servir de base à une négociation PQ-ADQ pour qu'ils puissent présenter un projet de loi conjoint à notre Assemblée nationale pour 2008 comme vous le suggérez ?
Probablement NON, considérant la nature humaine et politique et les jeux de pouvoir.
Si, par contre, l'ADQ prend le pouvoir et se butte au mur fédéral pour son option autonomiste "principalement pour la collecte par le Québec de tous les taxes et impôts", il y a une bonne chance que les Adéquistes deviennent souverainistes par dépit mais, s'ils réussissent, la souveraineté va être reportée aux calendes grecques...minimum. Temps présent intéressant pour voir les développements.
30 octobre 2007
Je viens de faire quelques vérifications sur "Québécois de souche". La page est hébergée sur un serveur au Texas ( quel hasard!! comme si il y avait des rednecks au Texas!!(sic)). Cependant, le contenu y a été transféré depuis un serveur qui pointe en France. Je vais essayer d'aller voir qui est derrière ça ou plutôt, qui l'est pas... Vite fait comme ça on pourrait penser au SCRS.. On les oublis souvent (c'est tout à fait ce qu'ils veulent!) mais ce serait leur style. Rappelez vous certaines techniques utillisées dans l'affaire du Heritage Front. Je crois que je peux dire sans trop me tromper que la lutte de libération du peuple Québécois est un dossier prioritaire pour les renseignements Canadiens, en tout cas pas moins que quelques rednecks ou imams fêlés...Comme vous le dites, il est fondemental de garder en tête cette question "À qui sert le mieux c'est saloperies?" Je vous reviendrai sur mes recherches.
30 octobre 2007
C’est devenu une norme de qui les produits casher?! Moi ce n’est pas ma religion et ça nous a été imposé malgré nous, on n’a pas été consulté pour savoir si on acceptait de payer pour leur certification. Pour environ 100 000 pratiquants ont est 5 000 000 a se plier a leur valeur. Le plus aberrant c'est que même le sirop d'érable est casher!!! Et je n’en ai même pas trouvé en épicerie du non casher. Pour ceux qui répondront mange d'autre chose... je vous lance le défi de faire votre épicerie vous allez voir que c'est pas si facile que ca! Pensez y quand vous aller mangé: Van Houtte, Redpath, Weston, Kraft, Kellogg's, Dare, Leclerc, Coca cola, Nestlé, Unisoya, Habitant, Catelli..la liste est longue plus de 140 000 produits...
30 octobre 2007
Michel David a déjà dit, dans une chronique où il dénonçait André Pratte, qu'il est souverainiste. Mais il ressemble à plusieurs politiciens péquistes (entre autres Bernard Landry) quant à ce réflexe d'être pur et vertueux, et donc de refuser la révolution, ce qu'est pourtant l'indépendance.
Dans ce texte de M. Desgagné, encore une fois on ne remet pas en cause la légitimité des chartes, on discute et on espère que les interprétations juridiques éventuelles nous seront favorables. Moi je dis que nous n'avons pas à discuter de ça, il faut éviter le terrain miné du droit canadian, il faut plutôt, en amont, s'attaquer à cette Constitution qui nous nie.
J'ai envoyé la lettre suivante au journal Le Devoir vendredi dernier, en réaction à Michel David. Il ne semble pas qu'elle sera publiée.
Pourquoi ?
Dans sa chronique du 25 octobre dernier, « Le lancer du pavé », Michel David place en évidence la fatalité à laquelle se heurte le projet de Mme Marois. Il dit « Il est vrai qu’aucun gouvernement québécois depuis 1982 n’a reconnu la légitimité de la Constitution imposée par Pierre Elliott Trudeau, mais tous l’ont respectée. On se refuse à croire qu’il en serait autrement avec un gouvernement dirigé par Mme Marois.»
Qu’on me dise enfin pourquoi il n’est pas question de remettre ça en cause ? Selon quelle logique doit-on absolument respecter un contrat que nous n’avons pas signé ? Vraiment, il ne suffit pas de dire qu’il faut respecter cette loi fondamentale illégitime, il faut dire pourquoi. Que risque-t-on ? L’indifférence, l’étranglement fiscal et économique, les mesures de guerre ? Est-il vraiment correct, d’un point de vue citoyen, de se laisser faire et d’endurer ? Pendant combien de temps encore ?
Dans sa chronique du 26 octobre, Christian Rioux dit : « …il faut toutefois se garder de prendre les chartes des droits pour les nouvelles tables de la loi. Comme si l’anathème constitutionnel avait remplacé l’index qui frappait autrefois les livres un peu trop audacieux. »
La réalité, c’est que la force politique est encore bien vivante au niveau fédéral, et qu’elle n’hésitera jamais, elle, à enfreindre les lois lorsqu’il y va de l’avenir de la fédération. L’envahissement des compétences constitutionnelles provinciales est un exemple frappant de cette force politique agissante, mais il y en a beaucoup d’autre.
Pourquoi, M. David, est-ce différent au Québec ? Pourquoi, au Québec, est-il plus important de respecter l’ordre établi que de défendre ses points de vue et ses intérêts ? La réalité, c’est la peur, la peur de se mesurer politiquement au fédéral et au ROC. Or il n’y a pas d’autre moyen de se faire respecter.
Pierre Bouchard,
Escoumins
30 octobre 2007
« Le traitement journalistique fait mine de constater ce qu'il contribue largement à mettre en scène. » - A.Rindel
La nation québécoise va se comporter exactement comme Gesca et Québécor vont leur dire de le faire. La fatigue culturelle d’Hubert Aquin s’est transformée en épuisement pur et simple.
On se sent comme un intervenant qui assiste impuissant au retour vers son abuseur, d’un individu trop faible, aliéné ou stupide pour s’empêcher de faire ce qui le mène à l’auto destruction.
Combien de fois une victime peut-elle retourner vers son abuseur avant de perdre le respect de ceux qui essaient de l’aider ?
"Les mensonges et la crédulité s'accouplent et engendrent l'opinion." - Paul Valéry
Les deux axes de l'attaque sur la psyché de la nation sont : la désinformation/propagande et le décervelage via le showbizz. Échec et mat ! Il n'y a plus que 2 à 5% de la population qui sont conscient de la quantité de K-Y intellectuel qui est utilisé pour la basse oeuvre... Merci Mindfuck Inc. !
"A cynical, mercenary, demagogic press will produce in time a people as base as itself" - Joseph Pulitzer
Le statut du citoyen régresse à son ancien état d'esclave de la royauté. Ce n'est plus le sang bleu qui impose, c'est au tour des empires médiatiques de régner.
En des temps moins politiquement corrects, le pouvoir affichait ouvertement son souverain mépris...
"Le peuple est une masse imbécile faite pour être menée par ceux qui se donnent la peine de le tromper. " - Frédéric II de Prusse
Mindfuck Inc. affiche de plus en plus cette attitude hautaine et suffisante. On se cache de moins en moins, tellement l'emprise médiatique sur l'opinion publique se consolide et semble irréversible.
"Un peuple ignorant est plus facile à gouverner" – Duplessis
Que 97.5% des médias écrits québécois (Gesca et Québécor) manipulent l'opinion publique, par leur incessant dirigisme ridiculise toute prétention à l'objectivité des institutions autrefois connues comme le 4ième pouvoir.
Ce qui demeure indéfendable de la part de Gesca, ce n'est pas que La Presse et ses satellites soient des organes fédéralistes néo-con-libéraliste ; c'est leur prétention à l'impartialité. Dito pour CBC franco. Que le Journal de Montréal se refuse à avoir une page éditorial est aussi explicite.
Depuis, la psyché collective carbure, par procuration, via les chantres de la transformation du citoyen en consommateur. Le tout largement subventionné par vous et moi ! On a de la classe tout de même, on fournit le KY !
"Les puissants se servent des institutions même qui établissent la liberté de principe pour faire régner l'inégalité de fait dans le cadre de la loi." - Jean Jaurès
Nous sommes libres, de toute la longueur de notre chaîne...
Les journalistes, artistes et artisans de l'industrie culturelle sont désormais pris en otage et réduis au silence, sinon à l'insignifiance et au dirigisme de l'information comme de la création.
Tous les hommes ont leur prix nous assure-t-on...
Quel est celui de l'âme d'un peuple ?
Nous sommes des Québécois à peur entière !
"Il n'y a pas d'élégance à être un bon perdant quand l'enjeu perdu est la liberté." - John Hay Whitne
29 octobre 2007
Héritier intellectuel de Lord Durham, le Bonhomme Laughréa tente de nous sauver de nous-même en nous révélant que notre salut passe par notre assimilation. Avec seulement 2 ou 3 siècles de retard, il semble se prendre pour un missionnaire des temps passés, habité de compassion pour les pauvres sauvages que nous sommes, et à qui il désire montrer la voie vers la civilisation.
Toujours avec quelques siècles de retard, il adopte aussi les thèses évolutionnistes qui le poussent à ordonner les identités culturelles sur une pyramide de perfectionnement, comme le révèlent plusieurs de ses autres écrits.
Désirerions-nous viser l'excellence, nous abandonnerions dare-dare cette idée idiote de conserver notre langue et notre culture, cette sotte prétention de nous croire un peuple, pour embrasser l'anglais dans l'allégresse. Nous viendrions enfin à réaliser que l'adoption des identités canadienne et américaine nous permettrait de parachever notre ascension vers le haut de la pyramide évolutionniste de la culture et de la civilisation.
L'identité québécoise n'est fondée que sur la langue, nous apprend-t-il cette semaine. Point de conscience historique, point de combat identitaire, point de valeurs partagées, point de désir de vivre ensemble, point de projets de société... Que la langue. Les Québécois feraient de Satan lui-même un citoyen honorifique pourvu qu'il parle français. Quelle caricature !
Pour nous montrer le chemin, pour nous sortir de notre fiction et de notre confusion, il nous offre ailleurs l'exemple d'une autre identité qui, elle, existe naturellement, qui est elle concrète, réelle : l'identité juive. (Qui par un heureux hasard est la sienne.) Une identité dont il prêche la supériorité : ce qui se mesure, comme tout le monde le sait, en prix Nobels.
Dommage que la supériorité culturelle et intellectuelle du Bonhomme ne lui permette pas de voir toutes les contradictions qui le composent.
--Nier que la langue française puisse être un véhicule identitaire légitime et important ici ; alors qu'il prêche la supériorité d'un état qui s'est consolidés entre autres sur la re-création d'une langue disparue.
--Révéler que le « nous » québécois serait exclusif ; alors qu'il se réclame d'une identité fondée sur le folklore religieux du « peuple élu ».
--Dénigrer le combat identitaire québécois, démocratique et pacifique ; alors qu'il excuse la ségrégation raciale et confessionnelle d'Israël et cite ce pays comme modèle.
--Demeurer aveugle au bien fondé de la défense du français, langue de la majorité démocratique au Québec qui est réellement menacée par les visées assimilationnistes canadiennes, et comparer cette défense à du fascisme ; alors que le peuple dont il se réclame aura subi une des plus virulentes campagnes de salissage et d'extermination de l'histoire.
Mais point de cette compréhension chez le bon docteur qui, toujours drapé de son titre professionnel pour se donner prestige et autorité, se proclame expert « ès identités ».
D'ailleurs le bonhomme, très imbu de lui-même et de sa supériorité intellectuelle, ne dialogue jamais partout où il dissémine ses inepties. Pourquoi le ferait-il ? Les Québécois à qui il s'évertue à annoncer leur non-existence sont, après tout, un non-peuple. Ils sont des individus confus qui ne réalisent pas la fiction de leur existence collective.
En guise de dialogue et de démonstration, il préfère se répéter et se copier-coller un peu partout. Ceci car, comme il le dit lui-même sur le site de Michel Vastel : « éduquer consiste à répéter inlassablement l’essentiel afin que les égarés ou les démunis ne se laissent pas attraper et dominer par l’accessoire, un peu comme le poisson se fait attraper par le leurre tiré par le pêcheur ».
Le Bonhomme Laughrea doit bien nous prendre pour des poissons.
29 octobre 2007
Ce serait bien de comptabliser les textes et leurs auteurs selon les thèmes ou événements de la scène politique qué-can. Les anglophones et les francophones classés selon qu'ils comptent plus de points dans leurs filets ou dans ceux de leurs adversaires.
À mon avis, mais je peux me tromper, Pratte finirait en tête du classement pour le journaliste éditorialistes Québécois qui comptent le plus de points dans les filets du Québec... Mais il est évident qu'il est loin d'être le seul bien au contraire puisque dans les journaux québécois c'est la majorité. De là à dire quels sont les meilleurs pointeurs dans nos filets avec un peu de rigueur il y faudrait de la méthode. Mais le résultat en vaudrait la peine.
Le classement opurrait être quotidien hebdomadaire et pour la saison et finalement à vie.
Du côté anglophone je crois qu'on perd notre temps: ils sont à peu près normaux et travaillent la plupart du temps dans les intérêts des leurs. De notre côté c'est évidemment le degré d'enthousiasme dans l'hostilité au progrès du Québec français qu'il nous importe de mesurer et cela en vue de déterminer avec un peu de précision leur degré de d'adversité .
Il serait finalement intéressant de dégager les mobiles invoqués pour justifier cette aberration qui consite à marquer dans ses propres filets de façon vraisemblablement délibéré.
Je ne suis pas entrain de blaguer, l'équipe des Canadas de Montréal ne garderait pas des joueurs aussi fous dans leur équipe.
En fin de compte si le hockey est notre sport national avec pour principal équipe les Canadas de Montréal, le journalisme politique lui est exclusivement celui d'Ottawa dont les journalistes passent leur temps à compter dans des filets pratiquement déserts au Québec.
François Therrien
29 octobre 2007
Oui, enfin merci!! Après le mouvement "tout sauf le PQ", ça suffit les accusations diffamatoires. Alors pour clouer le clou au cercueil des vampires canadians, voici quelques extraits sur la citoyenneté canadienne et la citoyenneté israélienne...
([www.cic.gc.ca->www.cic.gc.ca])
Devenir citoyen canadien : Qui peut présenter une demande
Pour être admissible à la citoyenneté canadienne, vous devez réunir les conditions dans toutes les sphères qui suivent :
|Âge|
|Statut de résident permanent|
|Temps vécu au Canada|
|Aptitudes linguistiques|
|Antécédents criminels (motifs d’interdiction)|
|Connaissance du Canada|
Aptitudes linguistiques
Le français et l’anglais sont les langues officielles du Canada. Vous devez parler suffisamment bien l’une ou l’autre de ces langues pour communiquer avec autrui. Autrement dit, vous devez connaître suffisamment le français ou l’anglais pour comprendre les gens et vous faire comprendre d’eux.
Droits et responsabilités du citoyen
L’octroi de la citoyenneté canadienne vous donne de nouveaux droits et responsabilités.
[entre autres]
|demander un passeport,|
|se porter candidat à une élection,|
|voter aux élections.|
_________________________
Politique de la citoyenneté d'Israël ([www.tlfq.ulaval.ca->www.tlfq.ulaval.ca], sur vigile)
1.3 La politique de la citoyenneté
Par la suite, en 1952, la Loi sur la citoyenneté fut adoptée et fixa les conditions d'octroi de la citoyenneté israélienne. La loi oblige tout candidat à la citoyenneté israélienne d’avoir une certaine connaissance de l’hébreu, mais ne nécessite aucune connaissance de la langue arabe.
29 octobre 2007
Bonjour,
J'ai bien lu votre critique de ma chronique concernant le projet Marois. Je sais que D. Turp travaille sur un projet de constitution depuis longtemps. Vous avez pleinement le droit d'être pour. Pour ma part, même si je suis "pour", j'estime qu'il y aurait peut-être eu quelques précisions à apporter, notamment en ce qui a trait aux citoyens du Canada, comme par exemple les francophones nés hors Québec et qui risquent fort - assimilation aidant - de ne pas avoir une connaissance appropriée du français s'ils viennent s'établir au Québec. J'ai comme l'impression qu'on y a pas pensé. Et les autochtones? Les a-t-on oublié eux aussi? Une clause spécifique ne s'imposerait-elle pas pour eux? Loin de moi l'idée de démolir le projet, et je crois que vous l'avez bien compris. Je l'ai dit et le répète : ce projet mérite d'être bonifié pour espérer vraiment pouvoir prendre son essor. Et ne vous inquiétez pas, je l'ai lu, et c'est pourquoi je dénonce la désinformation qui perdure depuis quelques jours à son sujet. Sur ce dernier point, nous sommes totalement d'accord.
Au plaisir de rediscuter avec vous.
Michel Gendron
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!