Bèèèèèèè!
28 août 2009
« La dictature, c'est "ferme ta gueule", et la démocratie, c'est "cause toujours". »
Woody Allen
lechevreuilobservateur.com
Qu'est-ce qu'un lèse majesté ?
Téléjournal 22H
Manifestation : derriere les coulisses
Extrait vidéo
Rappel: Élections 2003
Infoman
Publicité du PCC
Conférences de Gilles Rhéaume
28 août 2009
« La dictature, c'est "ferme ta gueule", et la démocratie, c'est "cause toujours". »
Woody Allen
28 août 2009
Je ne considère pas qu'il y ait un ordre quelconque pour faire les choses. Je considère plutôt que la société québécoise est assez riche en ressources humaines et assez spécialisée pour travailler à la fois sur l'odonymie, l'affichage, la loi 101 et l'analphabétisme. L'alphabétisation est effectivement un défi que le Québec se doit de relever, mais cela n'empêche pas de travailler sur d'autres dossiers au même moment.
Jonathan Godin
28 août 2009
Voilà que, chacun de notre point de vue, nous avons tous raison!
Nous parlons de cette immense division, de cette rivalité qui aseptise, neutralise, disperse.
D'être conquis et gouvernés par des ennemis héréditaires d'une autre culture hégémonique, qui n'ont jamais abandonné la volonté de nous assimiler, dilapide nos forces et nos énergies. Tous les organismes culturels cherchent l'appui de tous les paliers de gouvernements et en viennent à évacuer le politique, la responsabilité de créer avec et dans sa culture. On devient «international» pour banaliser son ancrage, amadouer le subventionneur.
Nous sommes triturés, cloisonnés, individualisés, comme pour tuer le collectif, le projet de pays même. Luc Archambault brille dans son amertume, une rage d'impuissance. Pourtant ce qu'il écrit est de l'évidence même:
illustrer et vendre la culture doit se concevoir pour tout le Québec!
Pourquoi cela n'est pas et ne sera pas pour demain matin? Tous les fossoyeurs de culture que sont nos maîtres du reste du Canada, entretiennent à grands frais, commandites et autres tours de passe-passe, subventions et honneurs, la servitude d'une portion significative de créateurs, de gens de culture.
Après Jean Lapointe, Michaël Jean, il ne manquait plus que Jacques Demers, bouffon analphabète sympathique, pour ridiculiser une responsabilité d'État, ramener au burlesque le destin d'une culture.
La fracture Québec-Montréal donne la moutarde au nez par diversion.
Le vrai défi qui doit nous préoccuper: comment opérer cette union des forces culturelles ce qui est aussi, comment créer une force politique qui va fonder un peuple. Quand le financement de la culture, des communications comme de la recherche cessera d'être une arme contrôlée par un pouvoir culturellement opposé, l'existence d'outils de promotion commun, s'imposera de soit. À moins que le Jazz et Juste pour rire ne soit plus guère français que de façade, ce qui est déjà plutôt le cas...
Depuis cent ans et plus, nous stagnons. Nous montons des vétilles en montagnes. Le Montréal français se nourrit et nourrit tout autant qu'il reçoit. Présentement, l'estomac se dit fédérale et le cœur national. Voilà un cancer à la veille d'entrer dans un phase critique.
Un certain Québec pense que Montréal les abandonne. C'est tout le Québec français qui est réduit en miettes à petit feu. Notre minorisation à Montréal sera la vraie défaite de tout le Québec.
Et il n'y a pas ni orgueil ni fanfaronnade qui puisse masquer indéfiniment la réalité. Diviser, c'est régner n'est-ce pas... Montréal est déjà une ville presque anglophone; Québec se targue de Red bull et Last finger tout en agissant tel le cœur de la francophonie des Amériques. Pourquoi une ville anglophone s'associerait-elle à ville francophone? Demandez à Toronto! Encore un peu et c'est d'Ottawa qu'on réclamera de mieux vendre la belle culture multiethnique du Canada. Alors exit toute rivalité.
Pourtant ce n'est pas ça que nous voulons! Alors ouvrons les vraies perspectives, dressons les chantiers de travail. Travailler aux mêmes tâches, c'est ça qui unit.
S'attaquer à Madame Marois, à la suite de Pierre Cloutier, ça fait croustillant;
c'est pourtant une arnaque, ça empêche d'unir les forces. Ce n'est que diversion inutile.
Quand elle dirigera un gouvernement majoritaire, la grande chef d'état qu'elle peut être, apparaitra! Pas avant...
Gaëtan Dostie
28 août 2009
wowo AM
Les missionnaires ont, entre autres, appris et préservé les langues amérindiennes, on peut faire pire comme "génocide culturel". Les relations entre Français et Indiens n'ont pas été les mêmes qu'entre Anglais et Indiens. Donne rien de montrer ainsi ton ignorance.
Ce que Amherst a fait n'est pas "culturel" mais simplement criminel.
Et il l'a fait contre les alliés des Français qui continuaient de se battre au nom de leur alliance française.
Et quelle est donc cette manie de névrosé de toujours vouloir excuser les fautes des Anglais et affirmant que c'était pareil pour les Français?
C'est comme un ressort qui se détend dès qu'on touche au maître.
28 août 2009
Ça doit bien venir du fait que la grande majorité des films sont réalisés en anglais, aux États-Unis. Ils les produisent à la chaîne contre quelques films québécois et français de France. Nos francophones, pressés et bilingues, veulent voir la copie originale "pas doublée".
Ça va continuer comme ça parce qu'on est un radeau dans une mer anglophone. Faudra s'y faire ou déménager en France. Est-ce que la France aurait le même problème ? Probablement pas, j'espère.
28 août 2009
CHIRAC, Jacques
Homme d’État français (1932-)
<< Une esthétique du pouvoir a remplacé l’exercice du pouvoir concédé à des entourages mondains, des experts technocratiques, des analystes financiers, des éminences lovées dans des cabinets ministériels plus habiles à flatter qu’à trancher. Peu à peu, des clans parisianistes ont pris le contrôle des leviers de commande de l’État, réduisant toute initiative à un effet d’annonce, la soumettant à l’appréciation des sondages, voire de la mode. D’où une dictature sournoise de l’émotion, dans une atmosphère de cour ou de Bas-Empire, aggravée par une dérive monarchique dans le fonctionnement des institutions. >
Source : La France pour tous
28 août 2009
Bonjour M. François A. Lachapelle
Vous écrivez :
« Ici au Québec, les adversaires à la souveraineté du Québec sont légions à diviser pour régner. »
C'est étonnant de voir à quel point vous abondez plus loin dans votre pamphlet dans ce que pourtant vous déplorez. Ainsi, les canadianisateurs ne sont pas les seuls à « Diviser pour régner »
Quant à moi, oui je déplore la montréalisation du Québec, non pas pour diviser, mais pour faire l'UNION du Québec. Qui dit montréalisation dit « centralisation ».
pour les 10 prochaines années, le siège du Gouvernement du Québec sera établi à Montréal parce que le pôle d’influence urbain critique se trouve à Montréal avec les cerveaux disponibles et les 4 universités.
La trop grande centralisation d'un État provoque son asphyxie et sa mort.
Non content de celle qui existe, la fuite en avant vous pousse même promouvoir une plus grande centralisation. N'importe quoi ! Comme si le Canada gagnait à faire sa capitale à Toronto. Comme si Washington devait déménager à New York.
Et combien même, tel déménagement serait-il susceptible de faire l'UNION de nos forces et favoriser l'accroissement de l'appui à la souveraineté du Québec et de Québec ? Si tant est que cet appui soit si faible à Québec. ± 2% de moins que la moyenne nationale comme l'a démontré Jacques Noël.
Et comme si tout cela ne suffisait pas, vous nous insultez ! On est loin de l'UNION qu'il nous faut contre la division.
« Comme on juge un arbre à ses fruits, la ville de Québec était jusqu’à tout récemment pleine de pourriture, cachée derrière ses beaux monuments et sa prospérité économique la meilleure au Québec. »
« Lorsqu’on a le ventre plein, on manque de courage pour défendre une cause comme celle de la souveraineté du Québec. »
Cela vaut pour tout le Québec. Et si cela nous empêche de répudier un État abusif qui ne fait que ça nous attribuer des miettes pour nous faire taire, jamais ce peuple souverain n'invalidera la légalité illégitime du Canada unilatéral centralisateur pour fonder un État valide sur notre territoire national qui soit dit en passant n'est pas Montréal...
« Les habitants de la ville de Québec depuis de nombreuses décennies vivent trop grassement. »
Allez dire ça aux gens de Ville-Vanier et de la base-ville ! En fait à l'auditoire des radios néo-poubelles...
« L’homogénéité et l’individualisme de la société de la ville de Québec facilitent l’enracinement des thèses conservatrices à comparer au brassage ethnique que vivent les habitants de la grande région de Montréal. »
Alors comment expliquer que le Québec hors Montréal soit plus souverainiste que Québec ?! Soyons sérieux !
« Que la ville de Québec prenne conscience de sa vraie richesse, à savoir une richesse historique et architecturale. »
Voilà bien tout ce qui peut irriter les gens de Québec et partant, participer à la division que vous déplorez. Faudrait savoir, vous voulez l'UNION de nos forces ou leur dissolution dans la division.
Contre la division je ne vois qu'une chose. Tenter de comprendre ce qui s'oppose à l'UNION, à la réunion de ce que nous sommes.
Je déplore comme vous le fait que Québec ne soit pas la première à choisir d'invalider plus que les autres villes et régions du Québec un État tutélaire canadianisateurs pour fonder un État démocratique valide et légitime sur notre territoire national. Et pour être en mesure de renverser cette tendance, il faut étudier les causes et agir sur elles.
La facilité et la paresse sont à exclure. De même que les moralisateurs reproches. On n'obtient rien de tangible ainsi. Il faut donc aller plus loin, chercher plus loin. Ce qui nous permettrait de changer les choses et transformer une rivalité en synergie.
Ce n'est pas parce que le Québec est borné qu'il refuse la canadianisation du Québec, c'est parce que la centralisation du Canada est sa pire faiblesse. Elle nie notre existence en tant que peuple souverain capable de se vivre dans toutes ses forces.
Ce n'est pas parce que nous sommes gâtés à Québec que nous répudions la centralisation du Québec à Montréal et partant, la montréalisation du Québec. C'est parce que cette mauvaise politique nuit à tout le Québec. Parce que ce centralisme culturel et identitaire divise le Québec, l'affame.
Ce n'est pas possible de fonder un pays sur une seule métropole avalant la vie même de toute la province en se croyant autarcique et autosuffisante. Cette coupure de son pays qui la nourrit, l'enrichit cette métropole est le séparatisme qu'encouragent les canadianisateurs.
On ne peut pas fonder un pays sur une vie métropolitaine riche alors que les populations qui nourrissent et enrichissent la métropole seraient obligées de vivre dans un arrière-pays sans vie, sans pouvoir sur leur propre vie en tant que pêcheurs, mineurs, agriculteurs, forestiers, guides touristiques dans des campagnes à l'abandon ou dans une ville de Québec disneyworldisée, puisque privée de vie propre. Personne n'a envie de visiter une ville sans vie.
« Les touristes continueront de s’exclamer devant la beauté de la ville de Québec et l’attrition finira par vider les marches du parlement de fonctionnaires nombrilistes et conservateurs, rien de très dynamique pour un futur pays. »
Ce que vous décrivez est déjà la réalité. ET c'est justement contre quoi les fonctionnaires de Québec se battent. Et ce pourquoi je me bas aussi, comme d'autres à Québec. On a vidé Québec des centres de décision technocratiques. Voilà pourquoi les fonctionnaires qui restent à Québec sont défaitistes et frustrés. Tout est décidé de Montréal. À Québec ne restent que les grouillots, les manoeuvres. Voilà pourquoi le 400e a été un échec à ses débuts. Et ce n'est que parce que Québec a repris en catastrophe les rennes que le 400e a été un succès. Ce n'est que parce que Québec s'est réapproprié sa fierté et dignité que l'Axe Montréal-Ottawa-Toronto et ce qu'il avait décidé de faire a été contré pour faire de la fête le succès qu'il a été. N'eut été de la montréalisation de Québec, cette fête n'aurait pas été canadianisée. Si les Montréalais du PQ au pouvoir n'avaient pas perdu le pouvoir, n'avaient pas perdu Québec, n'avaient pas montréalisé Québec et le Québec, n'avaient pas transféré tous les centres décisionnels technocratiques à Montréal, nous n'en serions pas là.
Québec serait toujours une ville dirigée par un maire souverainiste. M. L'Allier n'aurait pas quitté précipitamment, lâché par des montréalisateurs qui n'ont pas entendu ses suppliques et épuisé par d'incessantes luttes pour contrer cette dévitalisation de Québec. Il a fait l'erreur semble-t-il de tenter de changer la tendance de l'intérieur. Maintenant c'est trop tard, Québec pour survivre a du sortir de cette spirale partitionniste montréaliste pour se reconstituer en tant que ville capable de se tenir debout.
Je suis le premier à le déplorer, mais cela n'a été provoqué que par la propre turpitude des souverainistes montréalistes qui ont régné trop longtemps à Québec.
En 1984, mon éditeur avait pu tisser un lien d'amitié avec Jacqueline Picasso. Il a forgé le projet de rendre hommage au maître de Mougins pour souligner le 10e anniversaire de son décès. J'ai participé à cet hommage puisqu'il a en quelque sorte été mon maître. Un livre d'art a été imprimé chez Arnera à Vallauris, l'imprimeur de plusieurs estampes de Picasso. Un livre préfacé par Jacqueline Picasso. Après avoir visité l'antre du maître l'éditeur a formé le projet d'exposer ici la collection de Jacqueline Picasso pour compléter le lancement du livre d'artiste et l'a proposé à Clément Richard ministre péquiste de la culture à l'époque... Et celui-là s'est empressé de délocaliser la chose prévue pour le Musée national des Beaux-arts de... Québec, pour transporter l'expo à... Montréal... L'expo de la Collection de Jacqueline Picasso à Montréal, ça vient de... Québec.
Cette exposition qui a fait la carrière de M. Théberge, qui a ouvert les portes du Musée des Beaux Arts de Montréal à une filière des Musées du monde entier et qui a attiré l'attention du monde muséal international sur... Montréal, permettant ensuite à une floppée de grandes expos internationales de voir le jour par la suite, à... Montréal. ET où a s'est terminé la carrière de M. Théberge... à Ottawa...
Ce n'est l'à qu'une des multiples montréalisations du Québec... avaler ce qui se passe dans tout le Québec en dévitalisant le Québec. Des histoires d'horreur semblable sont légions. ET je parle de cette expérience personnelle non pas pour me plaindre personnellement, mais simplement pour parler de ce que je connais moi et qui est commun à tous les secteurs d'activité de Québec, du Québec. Ce n'est pas comme ça qu'on va construire un pays. Le pays n'est pas Montréal. Le pays c'est LE Québec.
Quand les souverainistes montréalais auront compris ça, quand ils et elles cesseront de blâmer Québec, quand ils et elles cesseront de faire la morale à Québec, et au Québec sous prétexte de sauver Montréal, quand ils et elles se pencheront vraiment sur les causes du problème que pose le centralisme montréaliste, nous pourrons nous attaquer à la source de nos problèmes et non rester à la surface d'une « rivalité » qui est toute autre chose qu'une « rivalité ». Il est plutôt question de « vitalité ». Et, la vitalité n'est pas de concentrer ses forces dans un organe ou quelques muscles. La vitalité d'un corps réside dans l'équilibre et le développement de tous ses organes, de tous ses muscles, de toutes ses capacités. Il en va de même pour un pays. Et, c'est aussi dans le corps même de ce pays que doit se développer notre vitalité. Et non dans la dévitalisation de ce qui semble périphérique quand on vit au centre de la métropole montréalocentriste du Québec.
« Que voulez-vous, Québec est un village encore en 2009... »
Voilà bien tout ce qu'il faut contrer... Québec n'est pas Montréal... Certes. Mais ce n'est pas non plus et ne doit surtout pas être pour les souverainistes montréalais, ce supposé village qui n'a de valeur qu'en tant que carte postale disneylandisée.
« Un montréalais depuis 1949, François A. Lachapelle »
Je veux bien croire que vous, Montréalais d'adoption avez renié votre berceau, votre région d'origine, mais ce n'est pas en imitant ce déni, ce reniement que nous pourrons fonder un pays digne de ce nom. C'est plutôt même le contraire, c'est en prônant l'occupation de tout le pays, c'est en développant tout le pays que nous pourrons le fonder sur des bases vitales valides décentralisées.
Un changement de cap s'impose
Un changement de cap s'impose du côté des souverainistes montréalais. Cette discussion pourrait être l'occasion rêvée en cette période cruciale de préparation des prochains rendez-vous électoraux décisifs de l'année en cours et de celui à venir dans 2, 3 ou 4 ans.
Il nous faut faire l'UNION de nos forces régionales, politiques et citoyennes
Cela commence par un dialogue vrai entre les défenseurs d'une ville de Québec démontréalisée, d'un Québec décentralisé, revitalisé. C'est cette revitalisation qui pourra seule revitaliser une mouvance souverainiste démontréalisée dans l'UNION de nos forces. Pour cela il faut mieux que le simple déni de ce que je soumets à votre attention et ce que d'autres soumettent à l'attention des souverainistes montréalais. Cela vaut pour Québec, mais aussi pour toutes les régions du Québec.
28 août 2009
La Tour Eiffel est le symbole de Paris, le Vatican le symbole de Rome, le Palais impérial le symbole de Tokyo, le Big Ben le symbole de Londres, l'Acropole le symbole d'Athènes, etc....
28 août 2009
Bonjour,
Votre information est très intéressante. Avez-vous davantage de détails sur ces canons français qui seraient à la BFC Shiloh au Manitoba?
Ce que vous dites ne me surprend pas et, comme le dit une autre personne qui a répondu à votre message, pour ceux qui exposent ces trophées, ils sont exhibés comme des prises de guerre ... On trouve au fort Ticonderoga (ex-Carillon) une très belle collection de canons et obusiers français, ainsi que quelques pièces au fort Niagara, tous deux dans l'État de New York.
Les arsenaux français ainsi que le Musée des Invalides à Paris possèdent de nombreux vieux canons français des XVIIe et XVIIIe siècles, il faudrait pouvoir s'en faire offrir plusieurs pour "meubler" quelques anciens sites militaires français du Québec (Chambly, l'Ile aux Noix, la citadelle de Québec, le fort de Senneville (après restauration), le site du QG de Montcalm à Beauport (bientôt vendu pour des constructions immobilières), et d'autres encore (dont le site du fort Jacques Cartier à l'embouchure de la rivière Jacques Cartier près de Donnaconna en train de disparaître par désintéressement total).
Pour compléter les infos de l'autre lecteur qui fournit cet article sur les fouilles subaquatiques du Saint-Laurent, il y aurait également des fouilles à faire en rade de Louisbourg au fond de laquelle se trouvent les restes de plusieurs vaisseaux de guerre français.
28 août 2009
Le Militant le # 53
M. Pierre, très bien dit mais il y a un hic. La Presse
qui appartient à Desmarais, RDI contrôlé par Toronto !
Les gens ordinaires écoutent RDI et comme vous le dites
si bien les gens sont désabusés. On le serait à moins.
Il y a une chose que vous reprochez au Parti Québécois mon
Parti, d'avoir reononçer à l'indépendance ? Je vous demande
bien pardon, avant que je renonce à la Souveraineté, les poules
auront des dents et les hypopotames voleront.
M. Pierre, je vous dirai que j'ai été voir un grand Sage
avec un grand S il m'a tout appris, sans blâmer les religieuses du temps, on n'apprend pas grand chose de la vie dans les Orphelinats.
Mais permettez moi une suggestion, demander à tout ceux qui
sont comme vous qui veulent à tout prix un pays, de boycotter RDI
Dites leurs d'aller sur Vigile ou le respect des individus
est exigé et qu'on y apprend en un jour plus que tous les journeaux fédéralistes réunis.
Bonne Journée M. Pierre
d'un militant qui a été faire un tour en tôle malgré lui en 1970 d'ailleurs vous avez mon numéro de cellule inscrit en haut
Salut !
le militant
28 août 2009
Hum !
Voilà un texte malheureusement oublié par la censure vigilante.
27 août 2009
Bonsoir M.Pierre Schneider,
Daniele Fortin nous a fortement recommandé de prendre connaissance de votre lettre envoyée à tous les députés du Parlement Québécois. Personnellement j'endosse à 100% le contenu de ce document. Pourtant, je prend la responsabilité de refroidir l'ardeur qui transpire de votre texte.
J'ai écrit à Mme Marois, j'ai reçu un accusé de reception un mois plus tard et puis plus rien. Dans le même élan, j'avais mis tous les députés du Parti Québécois sur ma liste d'envoi.
J'en n'ai jamais entendu parlé.
J'ai écrit à mon député, Bernard Drainville, qui n'a pas daigné me répondre, même pas un accusé de reception.
Les "Big Boss" du P.Q. sont très bien organisés pour nous solliciter lors des levées de fonds. Aussi pour nous inviter à des soupers causerie (un autre moyen de collecter du Fric.....)
Je suis pour une République du Québec, un Québec Indépendant et Libre.
Je crois bien, mon cher Pierre que nous sommes solidaires dans notre combat.
Marcel Lepot
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!