Elvis Gratton et les deux précieux ridicules
19 février 2010
@ J.C. Pomerleau
Superbe analyse
Certains juifs critiquent ses méthodes
l’Affaire Michaud n’est pas cataloguée dans le rapport
19 février 2010
@ J.C. Pomerleau
Superbe analyse
19 février 2010
"Quelle belle stratégie de la part des fédéralistes Davis Ward Philipps Vineberg et Saputo d’avoir mis Lucien Bouchard dans leur poche en 2001 et en 2004. Lui qu’il nous dit qu’il est temps de s’occuper d’économie où était-il lorsque la caisse de dépôt a annoncée des pertes de 40 milliards $ ? Pouvait‘il parler ?"
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"Il était à la Chambre de commerce de Montréal et faisait partie de nos zélites du Québec inc (ou Québec sinks) qui ont réservé un "Standing ovation" à Rousseau qui venait de nous dire que la Caisse avait perdu 40 milliards !
Après avoir entendu Rousseau nous dire que " Le papier commercial c'était un mystère que la Caisse en eut autant", Lucien Bouchard est venu dire que Rousseau avait été "transparent"
Donc avec St Lucien on avait affaire à un "mystère transparent". En fait Bouchard était là pour contrer les pressions pour une demande d'enquête publique sur les pertes de la Caisse. Laquelle aurait mené au Cabinet d'avocat auquel il était lié ( Davis Ward Philipps Vineberg ). C'est de ce cabinet qu'a sortie la petite entreprise Coventree par qui le désastre du papier commercial arrive à la Caisse. Coventree a été le plus gros promoteur de PCAA non-bancaire au Canada (16 milliards) et la Caisse (qui avait été son principal actionnaire a été son meilleur client.
Entre les intérêts supérieurs du Québec et ceux de son réseau d'affaire, Bouchard a fait son choix depuis longtemps.
JCPomerleau
19 février 2010
Monsieur Duval
Les deux frères Bouchard me font penser à nos anciens curés, d'une époque pas tellement lointaine, qui savaient comment nous manipuler et nous culpabiliser pour nous maintenir agenouillés et dans l'ignorance, ce qui faisait l'affaire de nos notables et de nos colonisateurs avec qui le clergé de l'époque collaborait de très près. Nos manipulateurs d'autrefois ont été remplacés par des politiciens style Bouchard qui savent jouer avec notre culpabilité collective qui est toujours présente malgré que nous ne voulions pas nous l'admettre. Oui, nous avons encore la culpabilité facile au Québec. La xénophobie, c'est le propre des colonisés qui n'ont pas de pays comme nous au Québec et qui souffrent de dépendance et d'insécurité collective. Lorsque nous aurons notre pays, le problème disparaîtra de lui-même. D'ici-là, il faut s'immuniser contre la culpabilité collective.
André Gignac le 19/2/10
19 février 2010
Le Bloc Québécois a déjà commencé à réagir. Les lecteurs trouveront ci-dessous un lien avec son communiqué du 15 février 2010 appelant le gouvernement Harper à intervenir. Le communiqué se termine comme suit:
Devant ces constats, compte tenu des excellentes relations bilatérales qu’entretient depuis fort longtemps le Canada avec le Rwanda et puisque le Canada est encore actuellement un des importants bailleurs de fonds de ce pays et qu’il a appuyé sans réserve la candidature du Rwanda au sein du Commonwealth, nous demandons au gouvernement Harper de faire pression sur le gouvernement de Kagame pour que cesse tout acte d’intimidation afin de permettre une campagne électorale et des élections libres et démocratiques.
Attendons voir, mais j'ai l'impression qu'Ottawa attend surtout les ordres de Washington pour cesser d'appuyer le FPR au Rwanda.
19 février 2010
Monsieur Déry
Vous avez raison sur toute la ligne! Oui, ça fait 15 ans, c'est-à-dire depuis le référendum volé et non contesté par Bouchard en 1995, que nous tournons en rond au Québec. Ça prend un grand rêve ou projet collectif pour te donner l'espoir en l'avenir sinon c'est le grand cauchemar comme celui que nous vivons présentement avec ce gouvernement malhonnête et déprimant en place.
Je me rappelle de l'époque stimulante des années 70, époque qui nous permettait d'avoir les rêves les plus fous. Nous sortions à peine de la grande noirceur; le projet de l'indépendance du Québec qui dormait en sourdine a ressurgi et nous avons commencé à y croire avec Bourgault et Lévesque qui défrichaient le terrain. Le pays et la liberté étaient envisageables et possibles. Il ne faut pas désespérer et cesser d'y croire puisqu'il n'en dépend que de nous tous pour remettre le train de l'indépendance sur la bonne voie. "All aboard!", tout le monde embarque!
André Gignac, patriote le 19/2/10
19 février 2010
Le titre de cet article est certainement bizarre. Les acadiens SONT francophones.
18 février 2010
Monsieur Labrie.
Dans tous les candidats dont vous faites mention, la plupart proviennent de l'aile droite du mouvement indépendantiste. Des gens qui parlent beaucoup d'économie,
(ce qui est bien) mais très peu de social à long terme.
Inclure monsieur Dumont dans une coalition indépendantiste relève de la blague.
Monsieur Dumont a été chef d'une formation reconnue pendant 15 ans(et ce, sans partage) et vous voudriez qu'il travaille en équipe avec des indépendantistes, fussent-ils de droite ?
Oui, vous avez raison de chercher une unification des troupes indépendantistes, mais il faut savoir dans quelle équipe vous voulez envoyer vos joueurs.
18 février 2010
Je suis parfaitement d'accord avec vous sur tous les faits historiques. Mais, on n'enseigne pas ça à l'école.
18 février 2010
Si je vous comprends bien, comme dirait René Lévesque, le mot probité ne vous convient guère lorsqu'appliqué à Lucien Bouchard. J'en prends évidemment bonne note ainsi que les exemples que vous me donnez.Il y a un article de Réjean Labrie "Misons sur l'affirmation identitaire" actuellement en circulation sur Vigile qui me laisse bien songeur. Je vous invite à le lire et à regarder de près les personnages que l'auteur voit pour mener à bien la lutte de l'indépendance... J'y ai mis un commentaire... Je me demande si tout celà n'est pas lié à une action concertée mettant en évidence des personnages d'une certaine élite de droite.
18 février 2010
Je vous dirai que le projet de l'indépendance n'est pas uniquement une question d'identité, mais aussi de projets de société. Nous ne luttons pas pour parader avec un drapeau unique, mais pour bâtir une société où les mots justice, participation, démocratie, solidarité ont un sens autre que celui que leur a donné le folklore dans lequel la démocratie représentative et le néo-libéralisme les ont enfermés. Si nous luttons pour notre indépendance c'est pour que tout un peuple puisse se reconnaître et participer à son devenir collectif en donnant à ces mots leur véritable sens. Avec tout mon respect, certains des noms mentionnés dans le présent article nous garderaient bien au chaud dans le folklore d'une démocratie sans participation et d'un néo-libéralisme au service d'oligarchies bien alertes pour mettre au pas les récalcitrants. De cette indépendance nombreux sont ceux et celles qui n'en veulent pas.
18 février 2010
Monsieur Morin
Merci pour votre commentaire suite au mien, je l'ai bien apprécié.
André Gignac, Patriote le 18/2/10
18 février 2010
ERRATUM:
À la fin du dernier paragraphe, la phrase aurait du se lire comme ceci: son étapisme qui
dure depuis 34 ans et qui nous fait tourner en rond... au lieu de: son étapisme qui dure depuis 44 ans et qui nous fait tourner en rond... Merci
André Gignac le 18/2/10
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