CUBA et son effroyable réalité
29 août 2010
Pour les lecteurs et lectrices de M.Perez, un petit détour qui en vaut la peine.
http://www.legrandsoir.info/Ne-le-dites-a-personne-parce-que-ca-ne-s-est-pas-passe-a-Cuba.html
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29 août 2010
Pour les lecteurs et lectrices de M.Perez, un petit détour qui en vaut la peine.
http://www.legrandsoir.info/Ne-le-dites-a-personne-parce-que-ca-ne-s-est-pas-passe-a-Cuba.html
29 août 2010
Je pense comme M. Le Hir que Charest ne témoignera pas. Il sait fort bien que personne ne le croira. Et il sait aussi qu'il serait tout à fait ridicule quoique chez lui, le ridicule ne tue pas.
Que nous prépare le mafieux en chef ?
28 août 2010
Ce travail est commencé depuis plusieurs années. Pour tout le monde, l'essentiel consiste à s'instruire en profondeur sur ces questions de paix, de guerre, de défense territoriale, comprenant défense économique, défense civile, logistique et défense armée. Faute d'acquérir une compétence suffisante, nous courons vers des problèmes qui vont nous saisir d'un coup et que nous ne pourrons régler.
Il y a du travail à faire.
JRMS
28 août 2010
RCDB,
Ce à partir de quoi, dans mon propos, vous tirez des conclusions qui ne sont pas les miennes, n'est pas, comme vous le suggérez, au coeur de mon désaccord avec le PQ.
Le message de ce parti est à l'effet qu'il soit préférable de faire du nationalisme provincial avant d'en arriver à entreprendre directement l'indépendance, et c'est à cela que je n'adhère pas.
Quand à la question de la concurrence de la nationalité canadian au Québec, je la soulève effectivement mais ne désire pas la confondre avec le débat sur les nationalismes civique vs ethnique, deux concepts qui selon moi, ne sont pas nécessairement mutuellement exclusifs.
Je dis simplement, à cet égard, qu'on ne peut accuser les Québécois de manquer de volonté indépendantiste en faisant semblant qu'il n'y a pas au Québec un groupe canadian qui adhère peu à la nationalité québécoise et qui s'exprime habituellement en bloc contre l'indépendance.
Merci de votre commentaire.
28 août 2010
Contradiction libérale ou le temps des bouffons.
J'l'écoute pu! la Commission Bastarache (Nathalie Normandeau) à l'entrée du caucus libéral avant l'ovation à Jean Charest.
http://www.radio-canada.ca/audio-video/pop.shtml#urlMedia=http://www.radio-canada.ca/Medianet/2010/RDI2/24HeuresEn60Minutes201008261902.asx
Partie 2/5
28 août 2010
C'est grâce aux médias que Charest depuis 1973 à commis tous ses crimes contre la Nation Québecoise . Ce qu'il ne peut pas faire ouvertement il le fait en dessous de la table en imposant l,Omerrta à ses minissssses
27 août 2010
Il y a peut-être une autre solution :
« Peut-on décider qu'un événement est bon ou mal si Dieu n'existe pas ? "Si Dieu n’existe pas, qui est en droit de décider de manière absolue de ce qui est bien ou mal ?" Personne. Et c'est vrai ! Comme le dit bien Dostoïevski dans Les Frères Karamazov : « Mais alors, que deviendra l'homme, sans Dieu et sans immortalité ? Tout est permis, par conséquent, tout est licite ? » Personne n’a rien à nous dire sur notre manière de vivre. En effet, s’il n’y a pas de Dieu, alors il n’y pas de règles objectives qui dictent ce qui est bon ou mauvais. Par conséquent, dans un monde sans Dieu, qui est en droit de dire ce qui est bien ou mal ? Qui a le droit de juger que ce qu’a fait Hitler est inférieur à ce qu’a fait l’abbé Pierre ? Dire que ceci est bon, ceci est mauvais perd toute signification dans un univers sans Dieu. Car, dire que quelque chose est mauvais parce que c’est interdit par Dieu est parfaitement compréhensible à quelqu’un qui croit en un Législateur divin. »
Chems Eddine Chitour
http://www.mondialisation.ca/index.php?context=va&aid=20607
Je préfère votre "âme républicaine", mais nous n'y sommes pas encore.
27 août 2010
Voilà du Bousquet pur porc, première qualité. Si je n’avais vu votre photo au début, j’aurais cru que ce texte était écrit par un élève d’une école primaire qui, surpris par ses parents, promet de ne plus jamais, jamais, jamais recommencer à faire en cachette des solos de guitare.
Comparer les saletés et mensonges éhontés de Charest aux pipes de Clinton relève d’une fantaisie sidérale. Les frasques sexuelles de M. C.linton n’ont jamais causé quelque tort que ce soit à ses compatriotes sinon tout le salissage politique que ses ennemis ont fait autour de cet événement somme toute….courant. Je ne vois vraiment pas comment quelqu’un peut faire un rapprochement entre Jean Charest qui connait le tabac du mensonge, de la tromperie et le cigare de M. Clinton.
Pour votre pénitence, vous réciterez trois chapelets et ferez un acte de contrition, vous aurez ainsi droit à 500 jours d’indulgence sur Vigile.
Ivan Parent
27 août 2010
La noblesse du vampire
Il est dans la nature humaine de mépriser les parasites. Toutefois il
est une gradation dans ce mépris qui fait qu’on exècre les petits
parasite mais beaucoup moins les gros. Il est aisé de se scandaliser
du b.s. qui travaille en desous de la table; les Gilles Proulx de
ce monde ne s’en priveront pas. Il est beaucoup plus hazardeux
de se scandaliser des gros pègreux, des compagnies multinationales
qui ne se gènent pas pour poluer, voler, contourner les lois,
extorquer de l’argent public pour mieux se payer des salaires indècents.
Ce sont les mêmes compagnies qui font des représentations
auprès des gouvernements pour qu’il n’augmente surtout pas
le salaire minimum. L’établissement d’un salaire maximum ? «Oh
ma chère quelle hérésie, laissez moi mes millions que je puisse les
mettre à l’abris dans les paradis fiscaux avec mes amis pègreux»
Des normes environnementales contraignantes? Vous voulez
qu’on déménage avec nos milliards?
Ah bien sur on pourait continuer longtemps; ce n’est que le constat
d’un problème. Ce qui est plus triste, c’est la complaisance peureuse,
ignorante et complice de ceux qui disent : c’est comme ça,
si c’est pas moi qui tient le sac du voleur ce sera un autre...
«Il ne sont grand que parce que nous sommes à genoux»
«Sous les statues, Les vers grouilles»
-Pierre Vadeboncoeur.
«Quand deux esclaves se rencontrent, ils parlent en mal de la liberté
»
27 août 2010
Monsieur Nadeau,
Moi aussi, j'ai certaines réserves sur la pensée de M. Mathieu Bock-Côté. Par exemple, sa manie d'associer de façon exclusive le multiculturalisme à la gauche, cette manie-là me tombe autant sur les nerfs que sur la rate. À mon avis, le multiculturalisme, une doctrine très prisée dans le monde anglo-saxon, a infiniment plus à voir avec la droite néolibérale qu'avec une gauche sociale-démocrate ou socialiste.
Cela dit, votre accusation de «délire traditionaliste» à l'endroit de M. Bock-Côté dépasse la mesure. En somme, vous l'accusez de paléolâtrie (survalorisation du passé) et de néophobie (mépris du présent). Est-ce à dire qu'il vaut mieux être paléophobe et néolâtre ? À ce que je sache, personne n'a encore réussi à démontrer la supériorité éthique d'une telle posture.
Le Québec s'est sécularisé et cela est irréversible. Le principe de la séparation de l'Église et de l'État prévaut, doit prévaloir et prévaudra. Hormis les Bérêts Blancs et quelques autres bouffons, tout le monde s'entend là-dessus. Mais faut-il pour autant vider notre culture de tout ce qui provient du catholicisme ? Dans son texte, M. Bock-Côté évoque, entre autres aberrations, le cas de ces notables de tout poil qui se croient désormais obligés d'éviter le mot «Noël» quand approche le 25 décembre, par respect, croient-il, pour les non-chrétiens. Franchement ! Cela, c'est vraiment du délire et, malheureusement, c'est plus qu'anecdotique.
Luc Potvin
Verdun
27 août 2010
Je choisi le parti de la mafia. Le PLQ.
Car comme on le vois maintenant, sa corruption met en lumière notre condition de colonisés, d'abusés. Notre perte d'honneur et de dignité comme peuple.
Le PQ est celui qui berce le peuple. Celui du faux espoir et du statu-quo. Celui qui endors le peuple pendant qu'il laboure la terre pour le prochain PLQ.
Il faut remettre la merde dans la face des Québécois, jusqu'à ce que l'odeur infecte les réveille.
27 août 2010
Le seul hic, c’est que le mandat de la Commission Bastarache doit porter uniquement sur le processus de nomination des juges et non sur le financement du Parti libéral ou des autres Partis politiques. Qu’il y ait certaines pressions politiques dans la nomination des juges, personne n’est assez naïf pour ne pas y croire? Mais jusqu’où s’arrête la limite éthique acceptable et où commencent les pressions politiques indues? Bien malin celui ou celle qui pourrait se vanter de connaître dans les détails les dessous du rouage de la nomination des juges qui règne depuis des décennies au Québec? Ne sautons pas trop vite aux conclusions? La seule chose dont nous sommes sûrs, c’est que cette Commission coûtera plus de 6 M aux contribuables québécois.
Marius MORIN
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