je suis totalement en accord avec vous.Il est important pour les québécois que nous sommes, de dire à ceux qui nous nuisent les perceptions que nous avons à leur égard. Ne pas leur dire "nos vérités", revient à refuser de reconnaître l'existence de celles-ci. Or, si on veut que ceux qui nous nuisent se rendent compte de leur ingratitude, il faut que nous leur disions que nous les voyons faire...et que nous n'avons pas l'intention de les laisser faire sans qu'ils en subissent les conséquences.

Quant à la corruption au Québec, il faut voir qui sont ces personnes corrompues... Des anciens du NON, des fédéralistes québécois mercenaires et adorateurs du veau d'or. Des Québécois qui pratiquent les nouvelles valeurs québécoises (tricherie, mensonge, rouerie, et j'en passe). J'espère que quelqu'un n'aura pas la bonne idée de les inclure dans notre Charte. D'ailleurs, nos journalistes sont au parfum de toutes ces malversations depuis longtemps et de crainte de se faire qualifier de complices silencieux devant l'extravagance de la situation, ils se sont mis eux-mêmes à table.

Veuillez m'excuser SVP

S'il vous est possible : 2 fautes d'orthographes à corriger dans mon commentaire envoyé ce soir à "Trop d'État et pas assez de liberté", si vous le pouvez :

- dans le dernier paragraphe = "habite" avec un "nt" et "caduque" avec un "s".

Merci, pour cette attention corrigée à la langue

S Caron

Mille excuses,

Hélèna.

C'est toujours avec une grande curiosité et un immense intérêt que je clique sur "Vigile". Je suis accroc. Je lis tout. J'ai mes préférés, c'est normal. Vous êtes parmi ceux-là, monsieur Labrie. Je remarque vos louables efforts dans votre style d'écriture. J,ai peine et colère quand je lis des articles d'une justesse impressionnante, cohérents et même remarquables mais truffés de fautes grammaticales. Car, à ce moment, je déchante, j'ai de la misère. Je ne parle pas des coquilles ou des oublis mais de fautes impardonnables à ce niveau d'analyse et de critique sur la politique corrompue et notre système malade. Je me dis :"Protéger notre langue, n'est-ce pas la bien écrire pour commencer ?" Si l'on ne la connaît pas dans sa grammaire et son orthographe ou si on néglige ses règles comment peut-on bien la défendre et y tenir ?"
Je remercie Monsieur Le Hir de vous encourager à rester avec nous. Vous êtes nécessaire.
Salutations,

Hélèna

Je suis également d'espérance en ce Discours, mais pas très optimiste cependant.. à tort peut-être

Un Discours, qui saurait porter dans sa profondeur ces notions de Liberté réelle et d'aliénation inconsciente affectant tout être humain, procurerait ce Vent de fraîcheur comme lors de cette paix d'un soir où entre amis ou famille, l'on discute sans être pressé

Je me demande ce soir ce que nous faisons de nos textes fondamentaux, de ce qu'ils nous enseignent.. Ces temps-ci, Baruch Spinoza attire de nouveau mon attention

Spinoza nous parlait de Fortitude.. et non de fortune
Il entendait par là la fermeté d'âme et générosité..

De l'État, il disait :

" L'État le plus violent sera donc celui où l'on refusera à chacun la liberté de dire et d'enseigner ce qu'il pense, tandis que l'État bien réglé sera celui où l'on accordera à chacun cette même liberté "

Un Discours de la gauche saurait-il porter ce message d'un Etat n'ayant pas à fonder sa cause dans une gérance à outrance et ce, en continuant de faire confiance en l'Homme en constante recherche de compromis

Il y a, de mon point de vue également, une certaine urgence que notre humanité prenne mieux conscience des forces d'aliénation qui l'habite si elle veut aspirer à cette liberté réelle qui lui rendra caduque bien des luttes et guerres inutiles

Suzanne Caron

Le Québec n’a pas d’armée, mais il devra nationaliser ou requisitionner le matériel militaire, sur son territoire. Comme l’a fait l’État libre de Croatie, par rapport à la Yougoslavie, la Slovaquie par rapport à Tchécoslovaquie. Le Québec par rapport au Canada. Ensuite nous devrons être appuyé par des milices patriotiques québécoises. En voici une : http://www.milice.qc.ca
Ils devront faire un serment à la Patrie, comme l’armée allemande à une certaine époque.

« Et à qui fera-t-on croire que les innombrables immigrants du Canada anglais, dont la plupart ne voulaient pas se battre pour leurs propres pays, vont accepter de venir mourir dans le West Island montréalais, à des milliers de kilomètres de chez eux, dans le seul but de nous voler du territoire ? »

Pour ce qui est des immigrants, en effet, quand le rêve américain va s’évanouir, ils vont se ranger du côté du peuple le plus fort au Québec, c’est-à-dire les Québécois.

moi aussi je suis de votre avis sur ce que devrait être la politique souverainiste concernant le vote des communautés ethniques anglicisées qui nous a privé de notre pays en 1995.Monsieur Parizeau avait parfaitement raison de le dénoncer et monsieur Bernard Landry entre autres en s'en scandalisant a commis une bourde stratégique monumentale! Nous en payons encore le prix. Il faut radicaliser le discours souverainiste sur les immigrants anglicisés et faire savoir à ces communautés que nous ne les laisserons plus nous nuire sans qu'elles aient à leur tour à en payer le prix.Finis les moutonnades et les bons sentiments! Nous sommes engagés dans un combat politique pour la survie d'un peuple.Cette survie, moi aussi je crois qu'elle ne repose pas sur l'immigration mais sur nous-même.Présentement et depuis quelques années, parce que trop massive, l'immigration chez-nous est une nuisance et source d'érosion de la solidarité sociale et culturelle.Elle nous éloigne de la prise du pouvoir er de la matérialisation du projet de pays. Ce n'est pas pour rien que les libéraux de Jean Charest cherchent à la gonfler comme ils l'ont fait tout en réduisant les budgets de francisation.

Pour ma part, je suggère que dans chaque région du Québec il y ait une conférence de presse bien orchestrée de citoyens et de citoyennes du milieu et bien décidés à soutenir l'opération. Dans chaque région, ce sera l'inscription officielles des premiers citoyens et citoyennes en soutien à cette déclaration.

Une manière d'aller chercher une certaine publicité et de susciter l'intérêt un peu partout à travers le Québec. Quant au reste la dynamique des divers milieux fera le travail.

"Vous vous demandez pourquoi vous écrivez sur Vigile. La réponse est simple : vous avez le Québec chevillé au corps et au coeur, aussi loin que vous soyez. Non seulement la distance n’y fait-il rien, mais elle se trouve en fait à exacerber votre sentiment d’identité."

Même pour des séjours temporaires à l'étranger, la distance favorise toujours une réflexion plus efficace sur notre question identitaire. Par comparaison, sans doute. S'il nous arrive d'hésiter à publier sur Vigile.net à cause du doute sur son degré de pénétration dans notre peuple, vous avez expérimenté un moyen de tester cette efficacité souhaitée: "Affichez votre écoeurement". Cette démonstration, alliée à la pétition, à la publicité qu'a faite John James au site, à l'augmentation des collaborateurs d'envergure, plaident en la faveur de notre fierté de participer à Vigile.net depuis des années. Et tout ça par l'initiative d'un seul homme, Bernard Frappier.