La guignolée
2 décembre 2010
Madame Boucher,
J’ai lu votre mot avec beaucoup d’attention et j’ai été touché par votre démarche honnête et qui transpire la sincérité. Malheureusement, ce gouvernement là, en étroite collaboration avec tous ses députés, même le vôtre, s’attache à détruire le Québec, comme vous le dites, à créer de la pauvreté. Au cours des dernières semaines j’ai tenté à plusieurs reprises de faire entendre raison aux députés libéraux mais, c’est tout à fait inutile; ils suivent les directives du menteur en chef, leur parrain, et ne s’occupent d’aucune façon des personnes qui les ont élus. C’est pitoyable.
Lors des prochaines élections c’est là que ça va se décider. Il Faut que tout le monde sorte voter, c’est tout ce qu’on peut faire pour l’instant. La population autrefois libérale de Kamouraska a cette fois été voter avec un taux très élevé pour une partielle. C’est un début.
Je serais surpris que votre député ait quelque forme que ce soit de courage. Il va suivre en bon petit soldat sans jugement les directives de son parti et ne va tenir aucun compte de vos doléances aussi sincères et vraies soient-elles. Vous savez, au fond, tout ce gouvernement pourri me fait pitié. Ils rigolent et se croient les plus forts mais l’expérience de la vie m’a appris que rien n’est éternel. Rien ne se gagne et rien ne se perd. Tous les membres de ce sale gouvernement vont un jour en payer le prix. En attendant, il y a la guignolée avec toute l’humiliation de devoir quémander. Tenez bon madame Boucher, la solution ne serait être très loin.
Ivan Parent