Le phantasme des fédéralistes d'un Québec aspirant à l'indépendance mais trop faible pour la faire date de loin. Le premier à avoir évoqué cette éventualité est un certain Paré, de l'Actualité, qui se nourissait aux auges torontoises et d'outre Outaouais.

Si les fédéralistes de Charest et autres accélèrent la déstructuration du Québec, c'est qu'ils ont observé la tendance et craignent sa matérialisation.

Vive le Québec libre!

Avant de la risquer dans un prochain référendum, il serait utile de la poser aux Québécois, dans un sondage solide de Léger marketing.

Pour l'Hôpital Montfort, il fut exemplaire et parfois héroïque. Sa tante d'ailleurs, c'est Francine Lalonde, le héraut des droits des Francos-Ontariens. C'est la SSJB-M, présidée par Guy Bouthillier, qui assuma les frais de location du grand aréna d'Ottawa lors de l'historique assemblée. La SSJB aussi à fait don d'une somme substantielle et récurrente à la Fondation de l'Hôpital, présidée par Mme Lalonde.

Les aspirations et les choix politiques peuvent être différents des miens. Je suis de ceux qui prêchent que chaque communauté de l'Amérique française doit décider elle-même de ce qui est bon pour elle. CHacune doit chercher à obtenir le plus possible. POur le Québec, c'est un pays qu'on peut et qu'on veut avoir. Ce n'était pas l'Opinion du défunt qui par ailleurs fut aussi un défenseur du fait français.

Monsieur Gratton était un grand Canadien-Français. Il y a une vie politique canadienne-française au Canada. Il fut un de ses artisans. Il a aussi servi sous Bryan Mulroney qui fut élu avec l'appui de René Lévesque et de ses troupes.

Les québécois n'accepteront pas d'être encore une fois contraint à la petitesse de cette argumentation dépassée, toute canadienne.

Jacques L. (Trois-Rivières)

N'oublions pas que l'identité canadienne a déjà été largement francophone. Il s'agit simplement d'une autre étape d'appropriation, par les anglophones, des symboles francophones.

«Le président ivoirien est complètement 
isolé et bunkérisé. Oui, mais lequel ? 
Il faut bien dire que, de retour à Abidjan, on ne peut que s’étonner du fossé entre l’opinion internationale et les réalités du pays.»

Lisez la suite à l'adresse ci-dessous.

http://humanite.fr/10_01_2011-laurent-gbagbo-contre-le-reste-du-monde-461991

Ce qui va lui arriver et lui arrive: elle perd peu a peu sa crédibilité.

JRMS

Merci pour votre encouragement.

Pourquoi ça ne marche pas la souveraineté floue ou rampante ? Pourquoi mettons-nous tant de temps à FAIRE plutôt qu’à DIRE, pour DIRE quoi ? Pourquoi le cap de l’indépendance, cette destination collective, NATIONALE, et non pas des projets de pays à répétition et des débats interminables dans le SOCIAL ?

Qu’est-ce qui est coincé ? Où est-ce que ça bloque ? Et aussi, qui ou quoi nous en empêche ? C’est essentiellement une dérive conceptuelle qui nous dérange, nous mêle et nous déboussole. Une trop longue ANNEXION nous empêche de voir clair et avec détermination.

Il a autant d’objectifs de souveraineté qu’il y a d’individus qui se disent indépendantistes. La boussole est mal orientée et les multiples déclinaisons ne nous permettent pas d’atteindre le port désiré. Alors, tout le monde s’occupe dans son coin croyant savoir ce que c’est que l’indépendance.

Combien d’indépendantistes pourraient adhérer sincèrement, dans leur for intérieur, à ce que vous pouvez lire à l’Adresse Internet qui suit :

ICI : http://blogscienceshumaines.blogspot.com/2010/10/mettre-le-cap-sur-lindependance.html

Pour la détermination, il faudra d’abord que les Québécoises et les Québécois s’affranchissent complètement des séquelles laissées par l’annexion britannique et canadian ainsi que de l’idéologie fédéraliste qui est, elle-même, sous la dépendance de l’idéologie impérialiste canadian.

Ce terrain doit être déminé totalement afin de prendre conscience qu’il faut penser autrement, c’est-à-dire dans l’optique indépendantiste. Il faut mettre fin aux débats qui concernent nos privations (les oppressions accidentelles) et s’atteler à la tâche de l’action vraiment indépendantiste (soit mettre fin à l’oppression essentielle que subit le Québec). Pour cela, il faut créer l’unité québécoise conte l’unité canadian. Il faut enfin se donner un corpus indépendantiste adéquat qui nous permettra de FAIRE l’indépendance du Québec et non pas d’agir uniquement au gré des circonstances qui nous affligent.

Une chose dont je suis convaincu c'est que cet évènement n'est pas fortuit et qu'il y a des forces politiques et économiques qui en manient l'exécution. René Préval est-il du nombre? Personnellement j'en doute, d'autant plus que ses possibles alliés n'ont jamais manqué une occasion pour le noircir. Par contre, qu'il ait des proches qui soient parties à l'opération Duvalier, devient plus plausible pour moi.

Dans tous les cas nous en sommes à des spéculations que seuls les faits pourront confirmer ou contredire. NOus sommes d'accord que tout celà n'est pas une simple improvisation.