Elliot Ness à huis-clos !
26 septembre 2011
Désolé pour le « HUIT », ce n'était pas un jeu de mot. mais bien une faute d'innatention.
André Vincent
lechevreuilobservateur.com
Qu'est-ce qu'un lèse majesté ?
Téléjournal 22H
Manifestation : derriere les coulisses
Extrait vidéo
Rappel: Élections 2003
Infoman
Publicité du PCC
Conférences de Gilles Rhéaume
26 septembre 2011
Désolé pour le « HUIT », ce n'était pas un jeu de mot. mais bien une faute d'innatention.
André Vincent
26 septembre 2011
Monsieur La Boissonière
Je vous remercie de tous ces compliments, mais je ne suis qu'un simple citoyen et je n'ai aucune prétention ni intention de me mettre en évidence ou d'occuper quelque fonction que ce soit.
Je ne suis pas un maître à penser. Je me considère tout simplement comme un indépendantiste, un démocrate et un patriote.
Et comme la vie est bien courte sur terre, je n'ai aucune prédisposition pour la renommée, la gloire, les honneurs et les privilèges. J'aime les gens simples, humbles et ceux qui doutent.
Oui, comme Anne Sylvestre, ma chanteuse préférée, j'aime les gens qui doutent : Pour écouter c'est ici : http://www.musikiwi.com/paroles/anne-sylvestre-gens,doutent,33429.html
J'aime les gens qui doutent
Les gens qui trop écoutent
Leur coeur se balancer
J'aime les gens qui disent
Et qui se contredisent
Et sans se dénoncer
J'aime les gens qui tremblent
Que parfois ils ne semblent
Capables de juger
J'aime les gens qui passent
Moitié dans leurs godasses
Et moitié à côté
J'aime leur petite chanson
Même s'ils passent pour des cons
J'aime ceux qui paniquent
Ceux qui sont pas logiques
Enfin, pas comme il faut,
Ceux qui, avec leurs chaînes,
Pour pas que ça nous gêne
Font un bruit de grelot
Ceux qui n'auront pas honte
De n'être au bout du compte
Que des ratés du coeur
Pour n'avoir pas su dire
"Délivrez-nous du pire
Et gardez le meilleur"
J'aime leur petite chanson
Même s'ils passent pour des cons
J'aime les gens qui n'osent
S'approprier les choses
Encore moins les gens
Ceux qui veulent bien n'être
Qu'une simple fenêtre
Pour les yeux des enfants
Ceux qui sans oriflamme,
Les daltoniens de l'âme,
Ignorent les couleurs
Ceux qui sont assez poires
Pour que jamais l'Histoire
Leur rende les honneurs
J'aime leur petite chanson
Même s'ils passent pour des cons
J'aime les gens qui doutent
Et voudraient qu'on leur foute
La paix de temps en temps
Et qu'on ne les malmène
Jamais quand ils promènent
Leurs automnes au printemps
Qu'on leur dise que l'âme
Fait de plus belles flammes
Que tous ces tristes culs
Et qu'on les remercie
Qu'on leur dise, on leur crie
"Merci d'avoir vécu
Merci pour la tendresse
Et tant pis pour vos fesses
Qui ont fait ce qu'elles ont pu".
Paroles et Musique: Anne Sylvestre 1977 autres interprètes: Vincent Delerm (2007)
26 septembre 2011
Le HUIT CLOS: justice derrières des portes closes. Pour protéger qui? Charest et sa clique, encore une fois... Non merci, pas pour moi. Vivement une justice libre et transparente.
Vive un Québec juste, transparent et libre!
Jacques L. (Trois-Rivières)
26 septembre 2011
Ce que je n’aime pas de Mme. Bombardier c’est que dans les grands enjeux, elle a une propension au statu quo, finement dit je l’admets mais c’est presque toujours une façon de noyer le poisson et nous faire croire que nous sommes dans l’erreur si nous ne pensons pas comme elle.
Je suis d’accord qu’il ne faut pas recommencer les commissions d’enquête tous les dix ou quinze ans mais dans l’immédiat nous n’avons pas le choix. Devons-nous arracher une dent pourrie à l’os ou faire un plombage superficiel pour cacher la contamination de la gencive? En fait, ce que Mme. Bombardier propose, c’est la manière Charest dont nous connaissons les méthodes peu orthodoxes, le peu de crédibilité et les infimes résultats de ce qui est déjà instauré. Le ‘’marteau’’ de Charest n’a pas d’arrache-clou alors ces derniers vont toujours émerger avec sa méthode. Ne nous laissons pas leurrer.
La suggestion de Pierre Cloutier est fort pertinente mais je pense qu’il serait d’accord avec le fait, qu’actuellement, il n’y a rien d’autre qu’une bonne commission d’enquête publique élargie pour arracher la dent. Une excellente hygiène buccale devra suivre pour éviter les caries politiques tous les dix ou quinze ans. N’est-ce pas par la bouche que les mensonges émergent d’abord?
Ivan Parent
26 septembre 2011
On va pas se taper des enquêtes publiques à tous les 10-15 ans. Il faut faire preuve de plus d'imagination que cela.
J'ai 2 suggestions concrètes :
1 - un jury citoyen, style grand jury comme on le retrouve auz État-Unis siègeant à huit-clos ;
2 - une chambre "Haute" citoyenne tirée au sort, faisant partie intégrante de l'Assemblée Nationale, qui agirait comme organisme de surveillance et de contrôle sur toutes les institutions publiques.
Pierre Cloutier
26 septembre 2011
Tant que Pauline Marois va être à la tête du PQ et que le plan de gouvernance dite "souverainiste" ne sera pas bonifié, il n'y a pas d'union possible. Vous rêvez en couleurs.
Pour faire une union, il faut un programme commun. Quel va être ce programme?
Pierre Cloutier
26 septembre 2011
Chaque fois que je tente d'avoir accès au sois-disant programme de Québec solidaire (Qs), soit je suis forcé de m'engager à le soutenir avant d'avoir seulement accès au dit site officiel de QS sans certitude que je pourrai lire leur programme, soit je suis redirigé de façons informatique vers un site sans rapport avec QS. Il est clair que ce parti n'en n'est pas un, il est plutôt une diversion qui n'est pas indépendantiste mais plutôt illusioniste.
Il n'y a pas que QS qui ment aux québécois. Le Parti communiste du Québec (PCQ), qui est la branche québécoise OFFICIELLE du Parti communiste du canada (PCC), a fait l'affront aux québécois d'inscrire dans son programme que le PCQ aspire à faire l'indépendance du Québec. S'il y a des indépendantistes québécois au sein de cette autre diversion politique qu'est le PCQ, ils doivent en sortir au plus sacrant!
Le complot politique visant à empêcher la Nation canadienne-Française et les québécois de réaliser l'indépendance du Québec existe, je viens d'en citer deux autres preuves concrètes ci-dessus. Il existe une foule de détails comme ceux que j'ai cités qui ne manque pas de le confirmer.
Mais les indépendantistes québécois existent aussi. Le Parti Indépendantistes (PI) de Monsieur Éric Tremblay, quant à lui, est nationaliste et veut réaliser l'indépendance du Québec pour en faire de façon officielle un Pays de langue française reconnu par tous les organismes mondiaux, dans le but de permettre en priorité l'existence et l'émancipation de sa Nation fondatrice. Quel mal y a-t-il à vouloir exister en tant que Nation libre et indépendante?
À mes yeux, le PI reprend le flambeau délaissé par le RIN en septembre 1968. Je pense important de le souligner ici.
[Réjean Pelletier]
26 septembre 2011
Il faut que le soir de la journée électorale, nous ne sachions pas qui formera le gouvernement pour la raison suivante: Que tous les partis à l'exclusion du WIP, le West Island Party de Jean Charest, se seront coalisés.
Le lendemain, ils se présenteront au bureau du lieutenant-gouverneur pour former un gouvernement de salut national dans lequel siègeront des gens du PQ, de QS,de l'ADQ, du PI,des gens du Parti Vert, des gens du parti de François Legault, des gens du nouveau parti Option national de Jean-Martin Aussant et les indépendants.
François Legault utilise de façon abusive le mot coalition alors qu'il ne s'agit que de lui et sa gang. Une véritable coalition l'obligerait à se positionner et à lui bloquer la voie.
Il nous faut battre le gouvernement corrompu de Jean-Charest.Il nous faut même les faire tomber en chambre pour ne pas leurs donner le plaisir de finir leur mandat et de déclancher des élections.Il doit bien y avoir au moins 5 hommes ou femmes honnêtes au PLQ qui pourraient se manifester.
26 septembre 2011
"Loin du St-Laurent, les Vaillancourt s’assimilent rapidement..."
Voilà un bel exemple à suivre par chacun des 50,000 immigrants qui choisissent le Québec comme terre d'accueil.
26 septembre 2011
D'où la nécessité des États généraux sur l'Indépendance (ÉGI).
Depuis que l'idée fut accaparée par PQ, pour la faire sous-traiter par Larose du Conseil de la Souveraineté, elle semble se diriger sur une voie de garage...
...à moins qu'il ne sorte quelqu'annonce du passage, ce jeudi prochain, à la SSJB, de M. Gilbert Paquette, de la coalition "Cap sur l'Indépendance". Vigile.net étant partie des 23 organismes indépendantistes sous ce parapluie, il nous revient d'appuyer sa démarche visant à démontrer que l'indépendance n'appartient pas à un parti mais à la nation dans la rue. Si des mercenaires comme J.-L. Mongrain déforment sciemment la réalité en affirmant à grand tirage qu'une simple poignée de citoyens sont descendus dans la rue samedi dernier pour dénoncer Charest, alors que nous avons vécu la réalité à plus de 2,000 personnes... il faut faire boule de neige au point qu'on ne puisse plus nous cacher: réclamer le départ du PLQ, c'est bien, mais il faut des millions, réunis, à demander une case sur le bulletin de vote qui dit: INDÉPENDANCE.
26 septembre 2011
À l'attention de Monsieur Haché...
I - C'est bien de cela dont il est question en "démocratie tronquée". Les partis politiques, leurs fiers-à-bras que sont tous ces députés véreux, hypocrites et sans courage ne rendent jamais de compte au bon peuple ;
II - Cette démocratie rampeuse, ronronnante, sans toit ni loi n'en a rien à foutre du bon peuple parfois innocent mais trop souvent ignare et inculte de sa seule faute ;
III - Je reviens à mes prétentions initiales. Duchesneau est en service commandé d'autant que le rapport échoué de nulle part sur les tables de la grosse presse dépendante et dictatoriale GESCA - RADIO-CADENAS n'a rien de vraiment incriminant au fond si ce n'est qu'apparence de généralités. Comment il se fait qu'un tel rapport aussi secret à l'attention du ministre -puis coulé- ne comporte absolument aucune référence aux criminels enquêtés ? Quelle honte en plus d'entendre cet individu raconter au bon peuple que c'est compliqué de faire la preuve de collusion mais n'est-ce pas là en quoi consiste son travail bien rémunéré, non ? ;
IV - Qui a commandé ce coulage dudit rapport secret sans conséquence juridique en cours ? Duchesneau a fait la preuve à TLMP de ses incompétences à diriger cette enquête ;
V - Comment il se fait en plus que Duchesneau aille à TLMP et dicte en conseils au Gouvernement, les enquêtés, de lancer une enquête à HUIS CLOS sous l'égide de trois (3) juges nommés, non élus, et que cette recommandation ne se trouve pas au rapport lui-même ? Il y a anguille sous roche comme je le disais Monsieur Haché. Il faut enquêter sur les enquêteurs et seuls des policiers honnêtes, intègres et ferrés dans le monde du crime organisés sauront rendre compte de cette criminalité astucieuse. Nous sommes bien loin des cages à homards de Parizeau, n'est-ce pas ? Duchesneau est partie prenante au gros show de boucane (plan de match) aucune illusion ce disant ;
VI - Les gros poissons ont les deux (2) mains sur le volant, il faut que ceux et celles qui savent parlent et écrivent à l'attention du peuple québécois et non seulement aux enquêteurs désignés et dirigés par l'establishment ;
ECCE HOMO !!!
26 septembre 2011
Une coalition s'avère nécessaire à certaines conditions
2001-09-26, par Bruno Deshaies
Au-delà du vote et de l'électoralisme, d'une constitution provisoire, d'une coalition des partis « souverainistes » ou du conseil de la souveraineté et même des réseaux de résistance ou encore du nombre incalculable de sites qui nous proposent un Canada français en Amérique du nord sans compter tous les autres groupes de défenses des droits, de l’économie au service du peuple, des marcheurs ou encore des mouvements spontanés de citoyens et autres mouvements de la rue, on sent bien que les Québécois cherchent dans toutes les directions.
On cherche des solutions concrètes à court terme. Un coup d’éclat qui va faire basculer l’univers canadian et nous procurer l’indépendance facile. Un gouvernement souverainiste très agressif sans la préparation psychologique de la population québécoise, c’est de la pensée magique. Ou, au contraire, un autre gouvernement souverainiste étapiste après deux rejets référendaires, il y a de quoi s’interroger sur nos comportements politiques.
Allez parler à des jeunes universitaires de l’indépendance du Québec, vous m’en donnerez des nouvelles. Discutez avec le « monde ordinaire » et, sans prévention, vous verrez bien jusqu’où va le sentiment national. Mais, n’allons pas trop loin inutilement, donnez-vous la peine de relire sur le site de Vigile les dossiers sur les thèmes choisis par la direction du site, vous constaterez qu’on est loin d’une unité de pensée au sujet de l’indépendance nationale du Québec. Il est impossible de faire l’indépendance nationale du Québec si chacun ne veut rien partager et discuter en profondeur. En ce moment, nous accumulons les monologues.
En guis de réflexion, j’aimerais citer cet extrait d’un géographe français et aussi spécialiste de géopolitique au sujet de l « autorité souveraine ».
« Comme l’expliquent les philosophes, notamment ceux qui ont jeté les bases de la démocratie athénienne il y a plus de deux mille cinq cents ans, toute communauté ou tout ensemble politique, qu’il s’agisse d’une cité ou d’un empire, a besoin de lois et d’une « autorité » − celle d’un roi, d’un président, d’un conseil des sages, etc. − qui représente implicitement ou statutairement un groupe dirigeant (l’aristocratie) ou, mieux, l’ensemble des citoyens. Cette autorité est nécessaire pour maintenir l’ordre, par l’exercice d’une violence reconnue par tous comme légitime, pour faire face aux désordres internes comme aux menaces extérieures. Cependant, ces principes de sagesse révérés par les juristes et les philosophes ne se transmettent pas par le seul exercice de la raison à l’ensemble des citoyens, surtout s’ils sont très nombreux, mais aussi par la force de certains mots qui entraînent de puissants sentiments.
Pour être bref, disons que l’autorité (du latin auctor, auteur, celui qui agit ou qui est à l’origine de quelque chose) désigne le droit et la capacité de commander, le pouvoir d’imposer l’obéissance, mais aussi tel ou tel organe de pouvoir, par exemple l’autorité judiciaire. […]. (Dans Vive la nation. Destin d’une idée géopolitique, Paris, Fayard, 1997, p. 225.)
Personne ne suit Archives de Vigile. Soyez le premier!