Défaite électorale appréhendée.
6 juin 2016
Lisée a raison !!!
Le référendum est une idée du FÉDÉRAL !!!
http://www.radioego.com/ego/listen/22895
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6 juin 2016
Lisée a raison !!!
Le référendum est une idée du FÉDÉRAL !!!
http://www.radioego.com/ego/listen/22895
6 juin 2016
Post Scriptum
J'incline à penser qu'il est éclairant de signaler d'où l'on parle.
Aussi je désirerais introduire le petit complément qui suit, que par distraction j'ai omis d'insérer en finale de mon intervention précédente.
Alors voici :
[...] Texte signé par une Française émigrée naguère en Québec pour y (le) construire, non pour le saper dans sa langue et dans sa culture... tout en traitant de «raciste» - Ô suprême bêtise! - tout ce qui ne se soumet pas à cet asservissement volontaire dont témoigne, hélas, le restaurateur montréalais «Jerome» Ferrer. Eh oui, des veaux*, monsieur! Comme en Quarante. Hormis une poignée de braves. Autour de Charles. Bien entendu.
Merci.
Et désolée du contretemps.
MC
* Plat de prédilection de notre cuisinier Ferrer peut-être bien, qui plus est. Question de culture et de tradition, n'est-ce pas. Allez savoir…
PS : Mettez-y le paquet, ce 7 Juin en cour, gens de Vigile, contre vos détracteurs : Cette volonté d’utiliser la Justice à des fins idéologiques, pour abattre un site cybernéen d’information et de réflexion de haute qualité, participe franchement de la barbarie. Et c’est parfaitement indigne d’une authentique Démocratie. Vos accusateurs sont des êtres sans scrupules pour qui la Liberté et le Droit ne sont plus que de vulgaires instruments de pouvoir au service de leurs opinions et de leurs préférences politiques. C’est ignoble. Profondément ignoble. La Justice au service de la Tyrannie, voilà ce qui se présente dans ce Procès.
6 juin 2016
@ James A. Wilkins
"J’en conviens que certains détails restent à bonifier mais SVP proposer quelque chose de mieux au lieu de critiquer sans alternative."
Je me considère comme un référendiste invétéré...oui à une question claire dans le premier mandat.
6 juin 2016
"Les forces du statu quo savent qu’elles ne peuvent obtenir un clair OUI des Québécois,es. Elles ne pourront pas « contenir » la Souveraineté démocratique constituante du Peuple en marche PROCLAMANT primordiale La DÉMOCRATIE, la PRIMAUTÉ de Sa Souveraineté démocratique constituante, dans l’UNION de TOUTES les forces démocratiques citoyennes et politiques du Peuple Souverain du Québec, de gauche à droite, dénonçant les forces néo-AUTOCRATES canadianisatrices..." Luc Archambault
Je ne vois pas ce qu'il y a de compliqué à comprendre dans ce paragraphe. Ca coule de source. Il s'agit maintenant que cette vérité soit répétée par le plus grand nombre et la plus grande diversité de citoyens possible.
"Lisée fera de son mieux pour redresser le Québec dans le Canada « démocratique » et « respectueux de nos droits »... Cette fabrique d’illusions sur la nature du Canada qu’a toujours été le PQ se retournera une nouvelle fois contre nous, nous empêchera de rebondir au détour des tensions, désorientés, comme ce fut le cas au lendemain du référendum de 1995 et encore au lendemain de celui de 1980. "
Gilles Verrier
Ici, aussi ca coule de source. Avec toutes les fourberies du PQ depuis sa création, et le départ tout aussi soudain que surprenant de PKP, il ne fait point doute dans mon esprit que le PQ est devenu le parti qui nous retarde dans notre avancée pour et vers la création d'un pays. La conviction des députés n'est tout simplement pas là.
Je termine en citant Verrier à nouveau (et invite les lecteurs à lire son dernier commentaire à L. Archambault):
"Le pays du Québec naîtra dans un monde renouvelé ou pas du tout."
6 juin 2016
Monsieur Archambault
Voilà à quel cul-de-sac nous mènent les péquistes qui, depuis la fondation de ce parti en 1968, n'ont rien fait pour éduquer le peuple sur la question de l'indépendance. J'irais même plus loin en écrivant que les dirigeants du PQ ne connaissent même pas la vraie signification du mot indépendance. Ils devraient tous aller suivre un cours 101 en Afrique pour savoir comment procéder pour créer un pays; beaucoup de pays d'Afrique ont obtenu leur indépendance durant les années 1950 et 1960.
À lire toutes les théories invraisemblables sur Vigile pour comment faire l'indépendance au Québec, j'en perds parfois mon latin. Imaginez-vous que j'ai passé pour un radical en écrivant, il y a quelques années, que suite au rejet ILLÉGAL du Québec par Pet Trudeau avec son rapatriement à sens unique de la constitution "canadian" en 1982 que le gouvernement péquiste de l'époque n'avait qu'à quitter le Canada par une élection référendaire comme au Kosovo et en se dotant d'une constitution adoptée et votée par le peuple pour valider sa situation qui avait été invalidée par Ottawa. C'est pas sorcier ça il me semble.
C'est incroyable comme il se perd de l'énergie avec cette question pourtant si simple. Mais le PQ, étant un parti infiltré par des fédéralistes, des vrais collabos qui contrôlent son agenda politique, le PQ ne réalisera jamais l'indépendance du Québec. Seule la création d'un nouveau parti politique résolument indépendantiste nous mènera au pays si ils restent assez de Québécois pour le supporter dans sa quête de l'indépendance.
André Gignac 6/6/16
6 juin 2016
Vous avez totalement raison, M. Chartier.
C'est quasiment de la fraude intellectuelle que de faire croire aux québécois que l'indépendance n'est nullement nécessaire afin de réaliser un Québec plus vert, plus prospère, moins inégalitaire, etc... N'est-ce pas ce que propose Lisée pour son premier mandat?
S'il réussi, il aura démontré que le fédéralisme est le meilleur système politique au monde. Toutefois, cela ne m'inquiète nullement.
6 juin 2016
Messieurs Archambault et Pomerleau,
Le "talentueux" Lisé a été le conseiller de Bouchard durant la fusion forcée des villes et pour l’assassinat politique de Michaud. Il a beau présenter le plus beau projet d’État, l’homme sonne faux. Machiavel l’aurait certainement embauché pour l’exemple éloquent de ses calculs politiques.
"Si Jean-François Lisée assumait des convictions profondes, il aurait quitté depuis longtemps le PQ. Car il lui est impossible en son for intérieur et avec l’acuité qu’on lui connaît de croire en l’avenir du parti dont le premier article est de faire l’indépendance." Denise Bombardier : http://www.journaldemontreal.com/2016/05/20/lisee-le-pyromane
Pourtant, je suis d’accord avec Pomerleau, il est le seul qui propose de remettre l’État sur ses rails, une condition oh combien importante pour nous donner les moyens de nos ambitions! Et pourtant, il n’aura pas mon vote.
J’ai vu une pléthore de politiciens caquistes et péquistes changer de camps lorsque le pouvoir leur était davantage accessible. Il offre toutes les couleurs de celui qui pourrait virer capot et offrir ses services à un Canada renouvelé. Aussi brillantes soient ses idées de l’heure, je vous rappelle qu’il fut conseiller à Pariseau et Bouchard, tous deux ayant échoué dans notre projet de faire du Québec un pays.
Dans le contexte, nous n’avons plus de choix, nous devons consommer cette rupture avec le reste du Canada. Archambault a sur ce point complètement raison, nous n’avons jamais dit oui au Canada. Il y a une illégitimité de fond. Elle doit être libérée d’une façon ou d’une autre.
Comment ?
Un avenir bouillant se prépare.
Des "forces telluriques" sont à l'oeuvre, et l’économie est à la veille de sombrer. Le décor changera, les fondations aussi.
Alors, sera le temps pour les vrais indépendantistes de se lever et de faire du Québec un pays. D’ici là, ménageons notre monture.
6 juin 2016
Il y a un grand absent dans les discussions entourant la course à la chefferie du Parti Québécois: Les finances publiques!
Or il ne se prend aucune décision dans le conseil des ministres sans en tenir compte.
Et ces mêmes finances publiques sont en passe de devenir l'argument fondamental pour l'indépendance du Québec, devant la langue et la culture.
Les attentes interminables dans les urgences d'hôpitaux, les délais pour une chirurgie, la moisissure dans les écoles, la pénurie d'orthophonistes pour les élèves en difficulté, la qualité des soins qui se détériore dans les CHSLD et l'état délabré de nos infrastructures partagent tous la même chose en commun: ils sont la conséquences du piètre état des finances publiques.
Prétendre vouloir mettre de l'ordre dans la province avant de réaliser l'indépendance du Québec est un leurre dans lequel René Levesque nous a entraîné en 1981 et que Lucien Bouchard et Bernard Landry ont poursuivi entre 1998 et 2003.
Au terme de cette gouvernance, est-ce que l'appui à l'indépendance a progressé?
Absolument pas! Bien au contraire, le Parti Québécois a même été chassé du pouvoir en guise de récompense!
Et la situation va aller en s'agravant d'un gouvernement successif à l'autre, fut-il péquiste, libéral ou caquiste. Certes avec un gouvernement du Parti Québécois il y aura moins de corruption mais la rigueur budgétaire persistera.
Avez-vous déjà oublié l'incapacité de Pauline Marois de respecter son engagement d'éliminer la taxe santé de 200$? Et les mesures coercitives d'Agnès Maltais envers les assistés sociaux de plus de 50 ans?
Ce sera de pire en pire d'un gouvernement à
l'autre. Il est désormais impossible de maintenir l'intégrité des programmes sociaux sans l'entièreté de ses recettes fiscales.
Si vous ne maîtrisez pas cette question, alors vous ne savez pas pourquoi vous êtes indépendantistes!
Et si vous ne savez pas l'expliquer à la population, alors vous ne servez pas la cause de l'indépendance.
C'est l'indépendance ou l'austérité!
Ajouter à cela le mécontentement des producteurs laitiers face aux importations de lait diafiltré que seul un Québec indépendant aurait la volonté de mettre un terme.
Sans oublier, non plus; l'imposition du passage de l'oléoduc Energie-Est sur notre territoire et dont la population ne veut pas.
Enfin, et non des moindres, il y a la ratification prochaine de traités commerciaux transatlantique et Asie-Pacifique qui menacent gravement la souveraineté des pays et la qualité de nos emplois.
Bref, les raisons ne manquent pas pour réaliser l'indépendance du Québec qui est plus urgente que jamais!
Ce dont nous manquons, ce sont des visionnaires, des stratèges et des communicateurs...
6 juin 2016
Lecteur du Devoir depuis la fin des années 1960 et abonné de longue date, collaborateur du quotidien pendant plusieurs années, j'ai décidé de ne pas renouveler mon abonnement pour plusieurs raisons. Citons-en quelques unes:
Ligne éditoriale fluctuante, assez floue. Traces d'opportunisme et de frilosité.
Traitement de l'art, de la littérature en général et de la poésie en particulier, de plus en plus insatisfaisant.
Censure des commentaires des lecteurs ( j'avais osé qualifier Couillard de lobotomiste-extractiviste !)
etc., etc.,
Le Devoir me semble sur une mauvaise trajectoire et j'espère un solide coup de barre......avant de remonter à bord.
5 juin 2016
@ J-C Pomerleau
Ce que vous ne dites pas c'est que Lisée fera l'économie de la vérité sur le Canada. Il entretiendra les illusions officielles du PQ concernant ce pays usurpateur et assimilateur. C'est ce que reproche Luc Archambault (avec raison) à Lisée et aux autres. Il cite Duceppe sur son admiration pour le Canada. Quant à l'auteur de l'article, il a bien démontré de quoi est capable l'homme qui a écrit le discours du Centaur. L'histoire du Canada est sortie des écoles, elle est aussi sortie de la politique. Cette opportune amnésie de ceux qui ne veulent pas voir la réalité en face nous reviendra comme un boomerang au moment critique. Et entretemps, Lisée fera de son mieux pour redresser le Québec dans le Canada «démocratique» et «respectueux de nos droits»... Cette fabrique d'illusions sur la nature du Canada qu'a toujours été le PQ se retournera une nouvelle fois contre nous, nous empêchera de rebondir au détour des tensions, désorientés, comme ce fut le cas au lendemain du référendum de 1995 et encore au lendemain de celui de 1980.
On nous volera la prochaine initiative, près du but (si on se rend jusque là...), et il n'y aura pas d'autres conséquences que la perpétuelle déprime, ce qui n'est pas sans rappeler Sisyphe.
@ Luc Archambault
Une analyse fondée sur la vérité historique de notre situation, que vous revendiquez à juste titre chez les politiciens restera absente. Le mondialisme interdit désormais à un peuple d'avoir son histoire propre et enracinée. Ça s'appelle la rectitude politique (ou la dictature des minorités) et il faut la pratiquer pour être un «parti de gouvernement». Par conséquent, l'idée d'un référendum qui supposerait qu'un éclairage conséquent soit apporté sur les enjeux que vous évoquez tombe d'elle-même. Les conditions permettant la tenue en bon ordre d'un tel exercice ne pourront être réunies. Il ne faut pas pour autant cesser de répéter la vérité sur le Canada. Mais il semble bien que seuls des citoyens assez indépendants des partis politiques peuvent encore le faire, dans un climat où ce qu'ils disent est reçu dans l'incrédulité ou l'hostilité. Mais c'est le seul espoir éventuel de salut. Seule note positive au tableau, bien d'autres pays du monde (dont la France) voudraient bien retrouver leur souveraineté nationale. La Russie et la Chine, deux pays parmi quelques autres qui ont le poids nécessaire pour maintenir leur indépendance malgré tous les sarcasmes et toutes les pressions feront des émules. Ils en font déjà... C'est de ces horizons que peut nous venir la plus prometteuse inspiration. Le pays du Québec naîtra dans un monde renouvelé ou pas du tout.
5 juin 2016
Merci M. Paquette
Je suis stupéfaite de lire les deux messages antérieurs et de constater qu'ils penchent vers la proposition de JFL.
C'est votre message M. Paquette auquel il faut adhérer immédiatement. Ces pseudo-indépendantiste se révèlent par la timidité de leur ambition. Leur rêve est enterré par la peur.
Il y a un très grand danger de mettre encore une fois le projet souverainiste en veilleuse. Battre le PLQ n'est pas un projet de société mais plutôt une invitation à se saboter .
Regardez ce qui est arrivé à René Lévesque: il a d,abord proposé au Québécois d 'être un bon gouvernement. Tout en tâchant d'être ce bon gouvernement, il n'arrivait pas à trouver une date pour proposer son référendum. Les années passaient et le bon peuple commençait à trouver que le bon gouvernement avait du poids dans l'aile. Quand enfin il s'est décidé à annoncer ce fameux référendum, soit en 1980, les conditions gagnantes n'étaient plus là. IL l'a perdu à 40& contre 60%.
Est-ce que JFL sait lire dans le futur et peut prévoir ce que sera le contexte au Québec 2022. 6 ans est une éternité en politique?
Il y a Mme martine Ouellet qui propose un référendum peu de temps après la prise du pouvoir du PQ. Et c'est là-dessus qu'il faut se brancher. Il faut se retrousser les manches et se mobiliser tous ensemble,dans les 4 coins du Québec pour y arriver.
Il faut convaincre les autres aspirants-chefs à s'enligner eux-aussi pour convoquer les Québécois à se donner un pays peu de temps (1 an ou 2) après les élections.
Trois ans pour rallier le maximum de Québécois est certainement suffisant. Pensez à l'adage: il faut battre le fer quand il est chaud. Si l'on hésite et on remet sans cesse, la ferveur se dilue.
Je suis très agacée d'entendre ces grands discoureurs qui nous rabattent les oreilles avec ces impossibles convergences avec les tiers partie. Bien sûr que les figures de proue de ces parties dont le rôle principal est de faire du mirage feront tout pour s'y opposer. Mais bon sens, c'est pas eux qui nous intéressent mais bien les électeurs qui votent pour eux. Et ces électeurs ne sont pas attachés par le nombril?
C'est eux qu'il faut convaincre. S'ils ont déserté le PQ pour aller butiner ailleurs, ils sont bien capables de retourner là ou ils étaient auparavant en autant qu'on cesse d'être des peureux et des défaitistes.
Oui cessons de prendre les Québécois pour des imbéciles! Soyons convaincus et convaincants . N'oubliez pas que le temps joue contre nous. Voilà la leçon qu'il faut tirer de René Lévesque, de Lucien Bouchard et de Pauline Marois.
5 juin 2016
Je ne sais plus trop, le mot pays pour le Québec est devenu tabou, il me semble. À 54 ans j'ai l'impression que mes espoirs pour mon peuple ne sont plus partagés, suis-je devenu fataliste? Pour moi c'est évident que nous méritons d'être un pays francophone, si cette émancipation n'est pas ressentie par les autres, que peut y faire le prochain chef?
Il, elle, doit rassembler et convaincre.
C'est le peuple, les habitants du Québec, qui détiennent le sésame à l'indépendance, pure et simple. Le prochain chef du P.Q. devra identifier les liens unissant son option au cœur de la population. En 2016 ces liens sont-ils toujours les mêmes qu'en 1980? 1995?
Bonne chance à l'élu (e).
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