Comment choisir la bonne option sans nuire à la cause?
1 décembre 2011
Merci M. St-Louis. Vous démontrez, avec plusieurs autres, que nous sommes entrés dans une période de réflexion intense. Nous devons collectivement trouver une façon d'amalgamer nos espoirs et de calmer nos angoisses.
Malheureusement, le temps, manipulé par des forces toxiques, joue contre nous et détourne notre attention. Sans compter que les événements récents jettent le trouble dans nos coeurs et sapent notre confiance.
Calmons nos esprits. Revisons nos objectifs. Y a-t-il péril en la demeure? L'indépendance est-elle une solution? Est-ce pour maintenant ou pour plus tard? Voulons-nous d'un troisième référendum piégé?
Choisissons donc le guide qui nous parlera de nous maintenant. Celui qui nous offrira les meilleurs outils pour protéger nos biens collectifs et sauvegarder nos personnes.
S'agit-il encore d'anglophones, de francophones, d'allophones. S'agit-il d'autochtones, de peuples fondateurs, de nouveaux arrivants?
Ou s'agit-il d'une population brimée, violée dans ses droits occupant un territoire dilapidé?
Il y a péril! Tous les bras, quels qu'ils soient, sont appelés au secours. Car si la maison brûle où poserons-nous les cendres de notre héritage?