Oui chef !
10 octobre 2016
Super bon texte! On sent un regain d'énergie parmi nous. L'espoir renaît. Oui, l'indépendance est encore possible!
Democracy Now
Canal D - Sovimage
avec Stéphane Bureau
10 octobre 2016
Super bon texte! On sent un regain d'énergie parmi nous. L'espoir renaît. Oui, l'indépendance est encore possible!
10 octobre 2016
Pas la peine de répondre à Couillard, il est déconnecté, il ne veut rien savoir et surtout depuis vendredi soir il a peur.....
9 octobre 2016
On saura bientôt, monsieur Nantel.
Dans un sondage récent de Léger, le PQ avait l'appui de 36% des francophones, la CAQ, 28% , le PLQ, 21% et QS 12%.
Si l'appui au PQ chez les francophones baisse dans le prochain ou les deux prochains sondages de Léger marketing, on devra admettre, avec le Globe and Mail, que Lisée va tuer le PQ.
Il devra alors faire vite et se trouver ou inventer des raisons pour adopter la position de Martine. En sera-t-il capable?
Enfin on arrive à la minute de vérité qu'Alexandre Cloutier n'aurait fait que repousser et rendre insoluble.
9 octobre 2016
Tout à fait d'accord avec vous M.Marineau.En ce qui me concerne,le parti Québécois c'est terminé,ils ont trahis l'idée d'indépendance,le PQ ,deviendra le nouvel Union Nationale,qui va sombrer dans peu de temps.Ce sont de vieux bleus,dommage.
Michel Grenier.
9 octobre 2016
Aux élections fédérales de 2011 et 2015, on a convaincu les québécois que le priorité des priorités était de sortir les conservateurs. Au grand plaisir de certains vigiliens ici, les québécois ont donc congédié leurs représentants indépendantistes, pour les remplacer par les représentants fédéralistes. NPD en 2011, et PLC en 2015.
Finalement, le but a été atteint en 2015. Toutefois, on est en droit de se demander si notre projet de pays n'aurait pas été mieux servi par un autre gouvernement du PCC. En tout cas, je n'ai pas l'impression que notre projet a progressé en 2015, mais qu'il a plutôt régressé.
Vendredi passé, la PQ a choisi le thème de la campagne électorale de 2018: Sortir les libéraux. Depuis plusieurs mois, on martèle aussi le fait que la division du vote assure les libéraux de détenir le pouvoir ad vitam aeternam.
C'est donc dire que pour déloger les libéraux, il y a un parti de trop. Pour sortir les libéraux, il faudra donc que les électeurs québécois votent massivement pour congédier un de ces deux partis. S'ils choisissent de congédier les représentants du PQ, parce que ce parti est indépendantiste, nous aurons alors encore perdu, et encore un fois, sans même vraiment combattre.
8 octobre 2016
@M. Michaud:
«On pourra faire disparaître les paradis fiscaux, rétablir la taxe sur le capital sur les banques, rendre plus efficace la gestion des systèmes de santé et d’éducation, rebâtir le ministère du transport, réviser le système d’intégration de l’immigration, créer une caisse autonome d’assurance-emploi au Québec ... »
Wow! Rien que ça?
«... et faire la convergence des souverainistes pour être prêt pour le référendum dans le 2e mandat.»
À quoi bon faire l'indépendance? Vous venez de démontrer que l'on n'en a nullement besoin pour accomplir de grandes choses.
8 octobre 2016
Il est simple de simplement changer l'article un en disant le parti tiendra un référendum dans le 2e mandat. Le premier mandat servira à redresser l'État national et rédiger et mettre en place la constitution provisoire et ensuite poser différents gestes d'État pour faire grandir la puissance de la nation québécoise.
On pourra faire disparaître les paradis fiscaux, rétablir la taxe sur le capital sur les banques, rendre plus efficace la gestion des systèmes de santé et d'éducation, rebâtir le ministère du transport, réviser le système d'intégration de l'immigration, créer une caisse autonome d'assurance-emploi au Québec et faire la convergence des souverainistes pour être prêt pour le référendum dans le 2e mandat.
8 octobre 2016
On voit que les pro Lisée se gargarisent des plus beaux espoirs. Comme la cigale, vous pouvez rêver. M. Lisée a prononcé un discours magistral et je l'en félicite.
L'un parle de son succès à cause de sa position identitaire, l'autre à cause d'avoir mis le référendum dans le tiroir.
M" Lisée n'est pas encore élu chef du gouvernement. Déjà, tous les tiers partis se sont fait entendre d'une façon non enthousiaste. Le PLQ n'a pas dit son dernier mot et il a engrangé déjà des milliards d'économie qui serviront à acheter
nos braves petits Qu;bécots. Ils sont toujours sensibles aux promesses d'élection. Deux ans d'ici l'élection c'est une éternité.
M. Lisée a le défaut de changer d'idée. Ex. la chartre de M Drainville, il l'avait reniée en 2013. Voyant que son adversaire Cloutier avait une tendance trop inclusive, M. Lisée l'a sortie comme on sort un lapin de son sac.
Comment fera-til pour gagner ses élections à moins de renier le parti de Lévesque et de Parizeau et en supprimant l'Article 1 de programme du PQ.
C'est un véritable affront et je constate hélas que sur ce site, il y en a qui sont prêts à échanger la souveraineté pour un plat de lentilles (pour le pouvoir).
N'oublions pas que nous sommes toujours une province que que M Lisée devra lui aussi se cogner à la dure réalité de la péréquation et des transferts fédéraux, lesquels ont tendance à favoriser l'Ontario, l'Alberta,CB. Nouvelle Ecosse et
Terre-Neuve. Pas le Québec. Et à Ottawa, le PM est le fils de l'autre. Plutôt coriace sous un visage angélique.
Enfin, M. Lisée a dû être élu au 2e tour. Il a une majorité mais pas si forte que ça. Il a à composer avec 14 collègues de son cocus qui appuyaient Cloutier.
Il y en a encore des misogynes qui ont tendance à rapetisser une femme brillante et qui a beaucoup de colonne vertébrale comme Martine Ouellet. Elle a quand même recueille près de 18 % des voix, un tour de force pour une candidate qui a passé toute sa course dans l'ombre des 2 autres, qu'on a même souvent tenté de faire taire. À côté du grand Cloutier
au bord des larmes, elle a gardé son tonus et son sourire. Une femme comme elle, on devrait l'appréciée au lieu de lui préférer souvent des "assis"
Alors, ces 18% représentent une bonne voix pour tous ceux et celles qui désirent que le souveraineté soit mise à l'avant plan.
J'ai le gout de dire à ces opportunistes de la 1ère rangée et de la facilité:"Bâtissez vous un parti! Le PQ n'est pas un parti de prostitués"
8 octobre 2016
Prochaine étape: Le congrès de Septembre 2017.
Sur le chemin des victoires de JFL, il demeure un obstacle bien encombrant: L'article UN du programme du PQ. C'est trop évident que Couillard et Legault feront ressortir l'incohérence de l'engagement de JFL de ne pas tenir de référendum dans un premier mandat, et de cet article UN.
Hier les membres ont accepté de mettre l'indépendance en sourdine, pour se concentrer sur la priorité des priorités, tel qu'énoncé par JFL: «Sortir les libéraux».
En septembre 2017, les membres seront donc appelé à faire ce qu'il faut pour atteindre cet objectif. D'une façon ou d'une autre, il faudra neutraliser cet article UN.
Évidemment, cela ne sera que temporaire, et les membres pourront la ré-introduire pour 2022...
8 octobre 2016
Lettre parue dans «Le Journal de Montréal», Opinions, le mercredi 24 juin 2015, p. 24.
Couillard, porte-étendard de la fête nationale
En prévision de la fête nationale du Québec, le premier ministre libéral Philippe Couillard a adressé aux Québécois un message commençant par la phrase suivante: «Depuis plus de 400 ans, nous formons un peuple accueillant et ouvert.» Comme cette entrée en matière est curieuse, comme si l’accueil et l’ouverture aux autres étaient les plus importants pour un peuple menacé comme l’est le peuple québécois.
Nous pouvons lire un peu plus loin: «Et c’est au contact de la diversité québécoise de tous les horizons et de toutes les régions que notre nation s’affirme et s’enrichit. Nous sommes unis dans l’adversité. Unis dans le respect de nos différences. Unis parce que notre drapeau et notre fierté du Québec appartiennent à toutes les Québécoises et à tous les Québécois.»
Il est édifiant que le grand patriote Couillard se serve de notre fête nationale pour nous rentrer dans la gorge son projet de hausser le nombre d’immigrants, alors que tout porte à croire que nous en ressortirons affaiblis.
Sylvio Le Blanc, le 22 juin 2015
8 octobre 2016
Lettre parue dans «Le Soleil», Carrefour des lecteurs, le dimanche 7 juin 2015, p. 26.
Le valeureux Coiteux
Le gouvernement libéral, par la voix de son ministre responsable de l’Administration gouvernementale et président du Conseil du trésor, Martin Coiteux, se félicite d’avoir respecté son objectif de «croissance zéro» du nombre d’employés de l’État pour l’année financière 2014-2015. Il rappelle avec contentement que dans le passé il y avait en moyenne une augmentation annuelle de 6250 personnes. Le hic, c’est que l’année financière 2014-2015 n’a pas été une année comme les autres. En effet, à la suite des menaces du gouvernement touchant les régimes de retraite de ses employés, plusieurs ont décidé de prendre leur retraite de peur de perdre les avantages de la convention collective se terminant le 31 mars 2015. M. Coiteux devrait attendre la fin du mandat de son gouvernement avant de se féliciter. Parce que, pour compenser les départs à la retraite (souvent précipités) de ses employés, il se pourrait que le gouvernement soit contraint d’embaucher plus que de coutume d’ici 2018. De sorte qu’à ce chapitre, le mandat actuel pourrait bien ressembler aux mandats précédents.
Sylvio Le Blanc, Montréal, le 5 juin 2015
Lettre aussi parue dans «Le Journal de Montréal» (Opinions, le dimanche 7 juin 2015, p. 40) et «Le Journal de Québec» (Opinions, le dimanche 7 juin 2015, p. 14).
8 octobre 2016
Lettre parue dans «lapresse.ca» («Le Soleil»), Opinions, Carrefour, le dimanche 20 avril 2014.
Privilégier l’immigration francophone chrétienne
Une collègue de travail d'origine marocaine et de confession musulmane m'a dit que, selon elle, toutes proportions gardées, il y a plus de femmes voilées à Montréal qu'il y en a au Maroc. Si cela est avéré, c'est le monde à l'envers. Les musulmans étaient 12 000 au Québec, en 1980. Ils sont maintenant 300 000. Tout cela parce que nous faisons des enfants au compte-gouttes. Quand allons-nous privilégier les émigrés francophones de confession chrétienne (ils sont nombreux, pourtant)? Dans la semaine des quatre jeudis?
Sylvio Le Blanc, Montréal, le 16 avril 2014
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