Chose certaine, de nos jours, avec la centralisation des mouvements d’information, lesquels provoquent à leur tour les mouvements d’opinion, nous atteignons un sommet dans l’art de la manipulation des masses des pays « démocratiques », une manipulation-devenue croyance aveugle dans bien des cas et qui peut se comparer aux pires époques d’endoctrinement religieux ou politique, l’Allemagne nazie par exemple, et je force à peine le trait.

En fait, c'était déjà le cas à l'époque. Et dénoncé par Hitler lui-même dans Mein Kampf. Les Boches qui bayonettaient les bébés belges, voire les mangeaient, ou qui crucifiaient des prisonniers de guerre canadiens, devraient vous rappelez quelque chose.

Le mensonge transformé en vérité grâces aux techniques de Barney. Depuis que les Barons Voleurs ont décidé de monopoliser l'information, votre esprit est convoité.
Et plus le mensonge est gros, plus il semble impossible qu'il puisse être une forgerie. Répétez-le incessamment et il devient accepté.

Hasbara. Un art bien développé pour surmonter les esprits critiques.

Je ne peux plus écouter ou entendre ces mercenaires québécois (des vendus) au service de la propagande fédéraliste de Radio (assimilation) Canada qui nous désinforment et qui nous diminuent collectivement à planche. Et dire que les Québécois paient annuellement 50 milliards d'impôts pour se faire désinformer, dévaloriser et assimiler de la sorte par les colonisateurs "canadian" avec l'aide de nos collabos ou hommes de service si vous voulez; c'est à faire ch...

Si les indépendantistes québécois ne prennent pas les grands moyens et s' ils ne bougent pas rapidement pour renverser cette propagande et cette désinformation dirigée contre le Québec en créant un média quelconque pour donner l'heure juste aux Québécois; mieux vaut lancer la serviette pour l'indépendance du Québec.

Nos colonisateurs ou bourreaux avec leurs valets de service ont quasiment réussi à faire des "zombies" avec nous-autres. Moi, je suis rendu à penser que pour changer les choses au Québec, ça prend une révolution rien de moins! Il y a longtemps que j'ai compris! Oui le Québec. c'est beau mais après l'indépendance, il va l'être encore plus!

André Gignac 7 déc 12

Et mettons en parallèle le traitement réservé à la Crise Syrienne.

Pour le moment, j'en conclue que les 17 TWh serviront PROBABLEMENT a réduire la production d'électricité des provinces maritimes produites avec des hydrocarbures ou par du gaz.

http://blogues.journaldemontreal.com/rejeanparent/actualites/grande-guignolee-charitable-ou-egalitaire/

Je n'ai pas suivis son entrée au Palais de Justice mais je parierais que vous avez raison.
Si c'est le cas vous avez un excellent point.
Comme si le silence du gouvernement actuel sur ces évènements avait déteint sur nous.

L'héritage français explique peut-être cette manie de certain canadien-français (ni canadian, ni français) de chier sur tout ce qu'est le Québec (PLQ, Alliance QC, PowerCorp et consort). Pour l'heure, je vais aller sur ma moto-neige prendre un grand bol d'air et d'espaces libres, libre de toute influence de française quelconque allergiques à tous ce qui n'est pas odieux.

Cela dit, il y a quand même des français qui valent la peine de les connaître, mais ils sont rares, tout comme le sont les québécois de quelques origines qu'ils soient.

Vive le Québec libre

Tout d'abord, vous n'avez pas besoin d'être membre du PQ pour voter en faveur du PQ et ainsi être un péquiste. Ensuite, le PQ n'avait rien à perdre à instaurer Pharma Québec, il ne l'a pas fait par principe de droite, car le ministre a même considéré le projet comme étant "trop radical". Ensuite, le projet pharma Québec n'est qu'une politique parmi tant d'autre pour aller chercher des nouveaux revenus et présentement le PQ semble allergique à augmenter les revenus de l'État et cela c'est une attitude typiquement néo-libéral. Il ne pense qu'à réduire l'ÉTAT et c'est exactement ce qu'il est en train de faire, il coupe partout. La décote n'est qu'un foutu prétexte de plus qui d'ailleurs est aussi un prétexte que les fédéralistes avancent contre l'indépendance du Québec. Le PQ est présentement soumis au banque et il ne fait absolument rien pour s'en libérer.

C'est plutôt votre partisanerie qui vous aveugle, car le PQ est irrémédiablement à droite comme la CAQ et le PLQ. Si on compare l'histoire du PQ à celui du PLQ, il est même plus à droite sur le plan social et économique.

Cependant, le "move" initial du PQ dans cette affaire rappelait le copinage du PLQ ou du PC au fédéral, ce qui est, on doit le constater, pratique courante chez les partis de l'establishment.

Le problème, c'est qu'en Occident, on vit dans un système féodal déguisé en démocratie.

La classe riche dirigeante forme une aristocratie totalement détachée du reste de la population.

Et un peu comme les anciennes monarchies, le peuple reconnaît cette situation comme étant de droit quasi divin par l'admiration et le culte dont les riches sont l'objet.

Comment expliquer autrement que les mêmes partis de l'establishment soient réélus malgré qu'ils ne parviennent jamais à améliorer le sort des classes socio-économiques subalternes.

Je prendrai l'exemple frappant de nos voisins du sud. Comment se fait-il par exemple que le président Obama puissent jouir présentement d'un regain de popularité dans un pays où 47 millions d'individus survivent avec des bons de nourriture?

De plus en plus, nos sociétés ne tiennent que par le culte de la personnalité que le peuple rend aux décideurs, ce qui n'est pas sans rappeler l'empire romain où le peuple rendait un culte à l'empereur.

Le chemin risque toutefois d'être long avant que cette "idée" prenne forme chez nous au point d'être appliquée ici. En ce sens j'appuierais pleinement votre proposition pour une proportionnelle de type régional comme vous nous rappelez si justement qu'avait proposé Robert Burns.

Merci monsieur Cliche pour cet article éclairant.

Cette déplorable situation provient en partie de cette supposée intelligentsia dont fait partie Chantal Hébert, récemment décorée, et pour laquelle, cette intelligentsia de merde, Nous sommes à notre place si Nous sommes à genoux.

Le Bloc n’a pas, n’a jamais eu, et n’aura jamais la cote auprès de ces journaleux qui se tournent vingt-huit fois la langue dans la bouche avant de parler. Il n’est pas nécessaire que le Bloc lève le ton. Mais qu’il appelle un chat un chat, et un chien un chien, quand il le faut. Et il le faudrait plus souvent…