Moi, si j'émigrais...

Le multiculturalisme et ses dérives


Minute, marmotte ! Des citoyens d’Outremont, « religieux très pieux », se comportent en racistes ? Oui. Ils ne sont pas des Québécois et c’est ce qu’ils veulent. J’enrage, tais-toi l’écureuil ! Moi, émigrant, disons en Italie, je me transforme vite en Italien. Je fais tout pour que mes enfants puissent se sentir des Italiens, parmi les petits Italiens, au sein des petits Italiens. Ici, plein d’émigrants qui nous méprisent. Ça suffit, pas vrai le rat musqué ? S’intégrer à notre nation, 84 % on est. Question d’épanouissement, d’intégration indispensable jadis. Je pense à nos Curzi, Nuovo, Corbo, tant d’autres. Ce refus est un raciste. Oui, le raton laveur sur mon bac noir ! dehors ! Si je n’estime pas les Italiens, je n’avais qu’à émigrer ailleurs. Eille, l’Arabe, en Suisse fais comme les Suisses. Sage et vieil adage partout. Avec minarets ou sans !
En 2009, nous sommes entourés d’émigrants qui se « renferment » en ghettos nostalgiques. Pour s’imperméabiliser au centre-ville à 84 % de la population. Ces ghettos se multiplient, malsain, comportement. Méprisant. On dirait un reproche à ce que nous sommes ! Bizarre. Oui, un racisme, dans « Parc Extension », dans « Côte-des-Neiges », ailleurs. Une erreur et une attitude insultante. Là, il y a grogne. Réaction, protestation. Les Hammisch, intelligents, colonisent un territoire précis aux USA. Parmi nous, le « ghetto encouragé » (sauce multiculturelle à la Trudeau-le-jetsetter-anational, qui voulait nous diluer) est un piège à cons, nuisible aux émigrants abusés. Par la mollesse imbécile des chefs politiques actuels. Par notre complaisance de mous. Par la tolérance accommodante des mollusques aux pouvoirs.
Oui, mésanges voletantes, m’exilant au Moyen-Orient, je m’intègre, je lis le Coran, j’étudie les us et coutumes de ma nouvelle patrie, l’histoire de mon nouveau pays, sa culture ancienne ou populaire. Ce nouveau monde où je décide de refaire ma vie exige ce respect. Ici au Québec ? Pas d’espace pour le bon sens ? Moi, migrant, tout faire pour que les miens ne se sentent pas trop longtemps « des étrangers ». Il est important de me fondre à cette nation où j’aurais décidé de m’installer. Cette simple logique ne fonctionne pas au Québec ? Nos « carpettes » en autorité encouragent le ghetto maudit, le subventionne (via un cégep traître, Marie-victorin) multiplient les entorses aux lois. Ils font en sorte que les enfants de nos émigrants perdent des chances de devenir des citoyens parmi les autres. Danger car ils hypothèquent leur bonheur.
Et si un Richard Martineau dénonce « qu’au Moyen-Orient c’est le rejet total face aux autres cultures et religions », la « nouille » Lysiane Gagnon rétorquera : « De sales dictateurs en ces contrées,rien à faire. »
Autrement dit : « Vos gueules, les Martineau et abandonnons tous ces abusés aux mains de ces tyrans despotiques ! » Belle pensée humanitaire.
Dire aussi que l’enfermé en ghetto est comme encouragé dans son mépris raciste à notre égard par trop de Québécois américanisés, aliénés (tel Hugo Dumas et Cie), colonisés dominés par la culture « pop and rock » des riches voisins. L’émigrant l’imite, jouant le minoritaire consentant. Ce tout greffé à l’« amerian way of life ». Adieu alors le respect de notre culture et du français au centre-ville.
Redressons-nous, debout ! Tiens mon Noireau-Barak, une pinotte pour ta gueule !


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