Si j’étais ministre de l’Éducation?
16 septembre 2023
Bonjour M. Henri Marineau,
Quand je lis vos suggestions, je pense à ces «Émilie Pronovost» qui enseignaient à différents niveaux dans leur école de rang. Peut-on rêver à un retour à la simplicité? J’en doute comme vous; est-ce possible de penser la simplicité au lieu de la complexité? Peut-être…
Oui, je suis d’accord avec vos vertus, mais je pense aussi que nous récoltons par notre manque de responsabilité collective un Québec qui s’en va à la déroute par sa faute, par sa grande faute, et par celle de ce géant américain qui ne cesse de nous écraser de ses valeurs à douter.
Le doute nous manque.
Il faut effectivement maintenant investir dans notre avenir plus que jamais, mais la tâche sera gargantuesque, car les influences qui viennent des différents médias de communication (télévision et Internet surtout) viennent étouffer les vertus que nous souhaitons inculquer aux jeunes à faire pousser le plus droit possible. L’argent qu’il faudra investir sera-t-il suffisant pour contrecarrer celui des industries des communications monstrueuses et richissimes dont leurs moyens financiers semblent infinis?
Nous avons trop cru à la vie facile; il est primordial de revenir à la nécessité de l’effort de tout un chacun pour avancer vers une «réussite» qui demeurera toujours aléatoire et imparfaite.